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RADIESTHESIE-GEOBIOLOGIE

Voici les articles et sujets que vous pouvez actuellement consulter sur cette page :

  • la géobiologie et l'élevage

  • L'échelle de Bovis : du grand n'importe quoi !

  • Se soucier de l'eau que l'on consomme

  • Le danger des nouveaux compteurs électriques LINKY

  • Attention à la rémanence !

  • Attention aux orgonites !

  • Comment vieillir un vin avec un circuit oscillant ?

  • Dynamisation de l'eau

  • Feng-shui et géobiologie

  • Géobiologie : harmonisateurs, rééquilibreurs, régénérateurs, neutralisateurs et consorts

  • Pourquoi les zones situées à l'aplomb d'un cours d'eau souterrain sont-elles particulièrement néfastes à la vie ?

  • N'est-il pas curieux que les hauts sacrés soient situés au-dessus de cours d'eau souterrains ?

  • La biologie de l'habitat et notre responsabilité dans les nuisances qui nous affectent

  • La maison initiatrice

  • La correction géobiologique est-elle toujours souhaitable ?

  • Le S.C.A.P.

  • Le taux (ou niveau) vibratoire

  • Il n'est pas aussi anodin que çà de brancher une lampe de chevet !

  • La radiesthésie mérite d'être universellement reconnue

  • L'eau informée

  • L'émetteur-grille

  • Les circuits oscillants simples

  • Les faiseurs de pluie

  • Mangez-vous de bons oeufs ?

  • Les pierres à cupules

  • Les soit-diant bienfaits des lampes à sel

  • Les téléphones sans fil eco-DECT+

  • Pendule, baguettes ou biochamp ?

  • Plaidoyer pour une médecine de l'habitat

  • Quand la géobiologie se met au service du jardinier

  • Quelles précautions prendre, dans sa chambre, pour bien dormi?

  • Quelques informations et réflexions...

  • Savez-vous que l'on peut utiliser des coquilles Saint-Jacques pour améliorer le taux vibratoire d'une pièce ?

  • Téléradiesthésie : astucepour la recherche sur plan

  • Un test très simple pour confirmer la réalité d'un point géopathogène

  • On peut économiser facilement de l'énergie

La géobiologie et l’élevage

Dans ma pratique professionnelle de la géobiologie, j’ai eu à intervenir, régulièrement, pour solutionner des problèmes de santé et de mortalité récurrents dans des élevages, en particulier dans ceux de vaches laitières, après que le vétérinaire s’occupant du troupeau ait examiné, sans succès, tous les paramètres pouvant être en cause médicalement parlant (alimentation, abreuvement, hygiène, etc.).

De mon point de vue, la géobiologie en élevage est l’une des plus complexes qu’il soit donné d’exercer car elle nécessite, à la fois, une observation attentive, une étude complète , méthodique et rigoureuse et une compréhension fine des phénomènes en cause.

Les symptômes caractéristiques de nuisances dans un élevage :

-un lait de mauvaise qualité (présence de cellules somatiques)

-une production de lait anormalement basse

-des problèmes inflammatoires quasi chroniques, tels que des mammites

-des problèmes de pieds ou d’aplombs

-des veaux qui n’ont pas la force de téter leur mère et qui finissent par mourir de faim

-une fosse à lisier qui croûte (les bactéries ne travaillent plus ! )

-des vaches qui fuient la salle de traite, qui sont nerveuses à son approche

-un rallongement de la durée de la traite, avec des pis pas complètement vidés

-des déjections dans la salle de traite

-des animaux qui répugnent à boire dans les abreuvoirs métalliques

-des troubles du comportement

-des problèmes de fertilité

-des animaux qui meurent

-de l’agressivité dans les troupeaux

-une réduction de la consommation d’eau

Les perturbations en cause :

Les animaux, et surtout les plus jeunes, sont très sensibles (et beaucoup plus que les humains) aux perturbations qu’ils perçoivent d’autant mieux que leurs pattes sont en contact direct avec le sol (ils ne sont pas isolés, comme nous, puisqu’ils ne sont pas chaussés ! ). Les différences de potentiel électriques du sol sont fortement ressenties. La résistance d’une vache à un courant alternatif de 50Hz est de 500 Ω alors que celle d’un être humain est de 1000 Ω ! Les structures métalliques d’un bâtiment d’élevage et la mise à la terre sont de 10 à 400 fois plus conductrices que ne l’est une vache !

  • Les perturbations naturelles du sous-sol :

-les nocivités telluriques :

  • Les eaux souterraines et, en particulier, les points de croisement des courants

  • les failles géologiques

  • les cavités souterraines

  • la nature du sol, les discontinuités géologiques, les « sols qui bougent »

  • les réseaux négatifs Hartmann, Curry et autres, notamment leurs points de croisement (nœuds géopathogènes), étant précisé que les nuisances qu’ils canalisent et transportent (informations) proviennent de la pollution électrique (ils jouent le rôle de courants porteurs)

  • Les nuisances créées par l’homme :

  • Toutes les installations électriques : les lignes de transport, les pylônes, les transformateurs, les éoliennes (n’en déplaise aux écologiques dont le raisonnement est très réducteur ! ), les lignes haute et moyenne tension, les compteurs communicants, les néons (qui devraient être bannis des bâtiments d’élevage en raison de leur très grande nocivité et dont les puissants champs magnétiques traversent tout)…

  • Toutes les antennes, en particulier celles de la téléphonie mobile

  • Les mises à la terre défectueuses et mal implantées (problème très important qu’il faut aborder avec beaucoup d’attention).

Il faut préciser que les réseaux de distribution électrique sont conçus pour que le courant de neutre retourne à sa source (soit au poste de distribution), par le neutre du réseau et le sol, en suivant le chemin de moindre résistance électrique. A noter que :

  • le courant électrique circule mieux dans un sol humide que dans un sol sec,

  • dans tous les bâtiments d’élevage, il y a des tensions et des courants électriques de neutre mais, le plus souvent, ceux-ci sont très en-deçà des seuils de susceptibilité des animaux, de sorte qu’ils ne posent pas vraiment problème.

Les nuisances électromagnétiques créent un champ de torsion gauche lié au moment angulaire des particules quantiques, se caractérisant par une information négative, sans énergie, circulant en particulier dans les failles humides, sur plusieurs kilomètres ; elles se propagent généralement en étoile, dans 10 directions différentes, à partir de leur source d’émission.

Les normes en matière d’électricité sont totalement inadaptées et infiniment trop permissives et ne protègent pas les êtres vivants. Pour les vaches, elles ne devraient pas dépasser les seuils suivants :

-2V/m, pour le champ électrique

-2mG, pour le champ magnétique .

Les courants d’induction sont totalement ignorés tant de certains installateurs que de beaucoup d’ électriciens. Pourtant les néons et les pulsateurs des salles de traite, par exemple, génèrent un champ magnétique dans le proche voisinage des boucles métalliques fermées, telles que les lisses, ce qui, par induction, produit un courant électrique (souvent de l’ordre de 20 à 50 mA) circulant dans celles-ci.

Il y a aussi des erreurs manifestes dues à la non prise en compte, par certains installateurs, du phénomène de pile résultant de l’utilisation de métaux de nature différente, ou l’oubli de relier le lactoduc, pour assurer les équipopentialités requises pour connecter, entre elles, toutes les masses métalliques de la salle de traite. Ce type de négligence a des effets catastrophiques puisque, lorsque les gobelets trayeurs sont insérés sur les pis d’une vache, celle-ci est littéralement branchée sur un courant électrique de l’ordre de 200 à 300 mA, provoquant une intense agitation et un stress de l’animal !

Illustration du phénomène de pile (extrait d’une plaquette du CNIEL) :

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Effet de pile.jpg

Comme beaucoup d’installations sont défectueuses (prise de terre mal placée, retour du neutre à la centrale, pertes électriques sur le réseau de distribution ou provenant d’une ligne haute ou moyenne tension via le sol puis les conduites de moindre résistance rencontrées), des courants électriques vagabonds circulent dans la plupart des parties métalliques, notamment dans les tubulures et les cornadis (dispositifs autobloquants situés entre l’aire de vie des animaux et le couloir d’alimentation). Pour faire prendre conscience aux éleveurs de ces courants vagabonds, je les ai très souvent testés au moyen de la kinésiologie : ils en sont restés bouche-bée de ne plus avoir de résistance musculaire au contact des tubulures  ou des cornadis ; cette même démonstration s’est révélée également convaincante auprès des électriciens professionnels.

Les courants vagabonds peuvent être détectés sur des objets métalliques fixés au mur ou posés au sol. Ils sont, en général, alternatifs mais peuvent être continus ou semi-redressés. Ils deviennent un facteur de gros stress pour les animaux à partir de 1V, en courant alternatif. L’exposition intermittente à ces courants est plus nocive qu’une exposition continue (phénomène d’accoutumance).

Il faut aussi considérer que ces courants sont très nocifs pour les animaux non seulement en raison de leur grande sensibilité mais aussi parce qu’ils y sont exposés en permanence, lorsqu’ils séjournent dans les bâtiments d’élevage, et que, de plus, ils ne sont pas isolés  de sols continument humides et particulièrement conducteurs (un testeur électrique s’allume lorsqu’on le met en contact avec le sol).

Lorsqu’un courant vagabond a été détecté, il faut rechercher si sa source est intérieure ou extérieure au bâtiment d’élevage et, pour cela, on fait les mesures avec compteur électrique en service, puis avec compteur électrique éteint.

Illustration du trajet d’un courant parasite quand il entre en contact avec un bovin (extrait d’une plaquette du CNIEL) :

Courant parasite sur une vache.jpg

Le relevé des problèmes par le géobiologue :

Le géobiologue procède méthodiquement au relevé de toutes les nuisances ; d’abord, sur plan orienté, s’il peut disposer d’un tel document ; ensuite, in situ. Au préalable, il questionne l’éleveur sur l’état de santé et le comportement de ses animaux, sur l’antériorité des problèmes, et sur les travaux réalisés  et les installations mises en place juste avant l’apparition des difficultés. Il va également s’informer des installations extérieures susceptibles d’affecter le lieu : lignes haute et moyenne tensions, passage d’une ligne TGV, présence d’éoliennes, d’antennes de téléphonie mobile,  de transformateurs électriques, de clôture électrique à champ pulsé à l’intérieur, autour ou au voisinage des bâtiments d’élevage, de chien électrique, de distributeur DAC (distribution d’aliments concentrés),  du positionnement des prises de terre, etc. Il regarde attentivement l’environnement extérieur, les bâtiments d’élevage, la salle de traite, toutes les installations intérieures.

Ensuite, il recherche toutes les nocivités telluriques (failles, eaux souterraines, croisements de réseaux telluriques, etc.) et les localise précisément.

Puis, il relève et mesure minutieusement toutes les nuisances électromagnétiques et identifie leurs sources.

Enfin, il se livre à un travail de réflexion pour mettre en cohérence les différents éléments de son diagnostic.

Les préconisations et le travail de correction du géobiologue

L’une des 1ères choses que va faire le géobiologue est de donner des consignes pour faire :

-remplacer les néons par des néons à ballast électronique

-remédier aux défauts de liaison des éléments métalliques pour assurer les équipotentialités

-déplacer la (les) prise(s) de terre dans un endroit situé au Nord des bâtiments, dans une zone humide et géobiologiquement neutre, à une distance éloignée de tout mur extérieur d’au moins la hauteur du bâtiment. A noter que, pour réduire l’intensité du courant qui traverse un animal, il faut diminuer la résistance de la mise à la terre et l’amener à ne pas dépasser 5Ω par prise de terre.

Le reste du travail à réaliser, en général important, va dépendre des constations et relevés effectués. Il n’est donc pas possible d’en dresser ici la liste exhaustive.

Signalons toutefois le recours à des solutions telles que celles indiquées ci-après :

-faire relier, à une prise de terre spécifique, tous les bâtiments et masses métalliques

-faire éloigner les câbles, les lampes et les néons des structures métalliques

-faire poser des interrupteurs différentiels

-faire poser des isolants aux points de raccordement des structures métalliques

-vérifier que les interrupteurs électriques sont dans des boitiers étanches et sans source proche d’humidité

-poser des pierres levées orientées, produisant un effet piézoélectrique (le protocole en est donné dans un autre article de ce site)

-mettre en place des produits informés en des emplacements déterminés radiesthésiquement

-sensibiliser l’éleveur au fait qu’il fait partie intégrante du déséquilibre du lieu et que, par conséquent, il doit remettre en cause son état d’être.

L’échelle de Bovis : du grand n’importe quoi !

 

Tous les radiesthésistes et les géobiologues utilisent, dans leur pratique, l’échelle de Bovis pour mesurer la qualité vibratoire d’un aliment, d’un objet ou d’un lieu. Les termes employés pour qualifier les mesures sont, le plus souvent le « niveau vibratoire » ou le « taux vibratoire », en abrégé « TV ». et ces mesures s’expriment en « uB », soit en « unités Bovis ».

Au premier abord, cette échelle paraît attrayante et bien commode, …au premier abord seulement…car que mesure-t-on exactement ? et les résultats obtenus ont-ils un sens ?

Certains vont peut-être me prendre pour « un empêcheur de tourner en rond » mais, que voulez-vous, cette échelle de Bovis m’est toujours apparue comme un sophisme. Essayez donc de répondre correctement aux deux questions que je viens de poser et vous verrez que vous allez entrer dans un système sans sortie, en impasse…

André Bovis, le créateur de l’échelle qui porte son nom, cherchait, dans les années 1930, comment définir la quantité d’énergie vitale contenue dans chaque aliment, à divers stades (par exemple, pour un fruit, au moment de sa cueillette, puis ultérieurement, pour apprécier sa dégradation). Pour cela, il avait créé une règle graduée de 0 à 10 000 et avait choisi comme unité l’Angström. Curieux choix, en vérité, puisque l’Angström (Ä) est une unité de mesure de longueur, aujourd’hui tombée en désuétude, et qui vaut un dixième de nanomètre (0,1 nm), soit un dix millième de micron (0,001 µ) ou encore un dix milliardième de mètre (0, 0 000 001m). André Bovis prétendait, avec sa règle, et l’unité choisie (l’Angström), mesurer la longueur d’onde du rayonnement de l’énergie vitale. Il considérait que 6 500 Ä représentait la valeur de normalité du rayonnement , soit une longueur d’onde de 65 µ (650 nm).

Le choix de Bovis pour l’Angström est un choix arbitraire qui n’a aucun sens puisque cette unité est une unité physique de longueur , correspondant à une réalité physique, alors que l’énergie vitale est une énergie subtile qui n’appartient pas au plan physique et dont la réalité n’est pas reconnue scientifiquement. C’est ce qui fait d’ailleurs que, tout en continuant à avoir recours à l’échelle de Bovis, on a prudemment abandonné les Angströms pour leur substituer des « Bovis » (uB). Mais, sur le fond, qu’est-ce que cela change ?

En outre, comme si cela ne suffisait pas, la règle de Bovis, graduée de 0 à 10 000, s’est allongée au gré des opérateurs : d’abord, de 0 à 12 000, puis de 0 à 20 000, puis de 0 à 100 000 ; et, aujourd’hui, vous trouvez des règles à plusieurs millions de Bovis, et même à plusieurs milliards…Tout dépend de la fantaisie de l’opérateur. La normalité , fixée initialement, à 6 500, est, aujourd’hui, le plus souvent, reconnue à 10 000 voire 11 000 ou même 12 000…D’un opérateur à l’autre, on n’obtient pas, pour un même objet, la même valeur. C’est bien gênant, surtout que, pour un haut-lieu, par exemple, un géobiolgue X vous dira que la vibration est à 30 000 quand Y, lui, la mesurera à 1 500 000 !

Soit dit en passant, nous n’avons toujours pas dit clairement ce qui était mesuré avec cette échelle de Bovis dont , le moins que l’on puisse dire, est qu’elle est bien relative et extensive !

Pour progresser, il nous faut maintenant évoquer ce qu’est une vibration et comment elle s’évalue.

Une vibration est un mouvement oscillatoire (pour une définition détaillée se référer à Wikipédia) qui se caractérise par :

-une fréquence [cycle qui se mesure en Hertz (Hz)]

-une amplitude (déplacement qui se mesure en mètres (m)

-une accélération (qui se mesure en mètres par seconde (m/s).

Chaque objet tend à vibrer à une fréquence particulière appelée fréquence de vibration naturelle. Si une force vibratoire est appliquée à un objet à une fréquence égale à sa fréquence de vibration naturelle, on obtient un état de résonance (cf. Wikipédia).

Une vibration peut être amplifiée ou accélérée. Quid de la « qualité vibratoire » chère aux radiesthésistes ? Un patchwork de fréquences et d’amplitudes ? un produit « fréquence x amplitude ? ou, peut-être un quotient ? à moins que ce ne soit une intégrale mathématique ? Bien malin qui peut répondre à une telle interrogation !

Il faut bien en convenir, la mesure de la qualité vibratoire ne peut être définie et elle doit être considérée comme appartenant à l’idée qu’en a celui qui l’utilise, sachant que celle-ci est, de toute façon,  plus ou moins vague et floue et, par conséquent, ne peut être érigée en standard universel.

Je ne vais pas m’étendre davantage sur ce sujet. Mon propos est simplement de montrer qu’on ne peut se prévaloir de ce type de mesure pour affirmer péremptoirement que telle chose vibre à X uB et est, donc, nocive, bénéfique, neutre ou autre…

Sur Internet, il y a pléthore de sites qui présentent des articles sur l’échelle et le cadran Bovis. Curieusement, aucun n’évoque ce que je viens de vous dire. Et pourtant, si vous consultez ces sites, vous verrez que la plus grande confusion règne en ce qui concerne les valeurs données en Bovis.

Quelques exemples, pris çà et là :

« Toute l’humanité a vocation à élever sa vibration et à l’ajuster à celle de sa planète . … Beaucoup d'humains, par manque de structuration spirituelle, ne passeront pas en toute intégralité ( ?) les quatre années qui viennent car cette fréquence va encore tripler durant cette période ». Voilà une personne bien renseignée ! Fichtre : il va y avoir beaucoup de gens qui vont aller au tapis ! Ensuite l’auteur se réfère à ce bon vieux Bovis et à son cadran miraculeux. Pour lui- accrochez vos ceintures-« le biomètre nous donne trois dimensions de 0 à 20 000 UB : niveau physique, de 20 000 à 40 000 UB : niveau du corps éthérique, des nadis et des chakras, de 40 000 à 90 000 000 000 000 000 UB soit 16 zéros après le 9 ce qui correspond à des fréquences  vibratoires ressenties jusqu'à 10 km : domaine du spirituel, hauts lieux cosmo-telluriques, perceptibles seulement dans les plus grands sanctuaires.

Un lieu moyennement équilibré, donc neutre, présente 20 000 UB. En-dessous, le lieu est affaibli et peut devenir nocif. Au dessus de 6 000 000 000 000, le lieu est trop fort pour l'homme : il ne peut y rester trop longtemps sans se déséquilibrer énergétiquement ». A côté de çà, la bombe atomique ne semble pas si dangereuse que çà ! Si vous croisez un gars qui vibre autour de 6 suivi de 12 zéros, passez votre chemin…sans le regarder, sans vous retourner et faites le signe de croix le nombre de fois qu’il faut (plusieurs zéros après le chiffre initial) pour espérer vous en sortir…

Autre exemple qui n’est pas « piqué des hannetons » non plus : · « Un homme capable de magnétiser les gens se situe, en général, entre 400 000 et plus, il n'est pas rare qu'il ait la capacité de voyance.
 Les hauts lieux cosmo-telluriques sont souvent aux dessus de 60 000 000 000 (encore toute une série de zéros !).
 Au centre du labyrinthe de la cathédrale de Chartres, on trouve une valeur de 4 000 000. L'autel est situé sur un lieu vibrant à 2.300 000. Devant la vierge du pilier, plus précisément les prie-Dieu, on trouve une valeur de 23 000, or dès que l'on s'approche un peu des pieds de la vierge, la valeur tombe à 1000
(Mince, qu’est-ce qu’elle a aux pieds pour avoir un TV pareil ! Pourvu que çà ne s’ébruite pas !) ».

Allez, je vous mets encore un dernier exemple, pour le cas où vous ne seriez pas encore vraiment convaincu (en langue des oiseaux : con vaincu, on ne peut être plus explicite !) : « Voici l’échelle à laquelle vous devriez vous référer pour savoir si le magnétiseur vous donne de l’énergie ou bien vous en prend (ainsi que le prix de la consultation)

 - TV de 8000 à 9500 : votre magnétiseur ne fera pas de miracle ! Tout au plus vous serez rééquilibré en surface. Son magnétisme n’est pas assez puissant pour pénétrer les tissus. De plus, il détournera votre énergie à son profit si votre tv est supérieur au sien (syndrome des vases communicants). Au pire, vous sortirez plus fatigué et le porte-monnaie allégé.

 - TV de 9 500 à 12 000 : votre magnétiseur commence à être intéressant car il capte l’énergie environnementale (il en a de la chance, lui ! Et les autres, où la captent-t-ils ?) et ne prend pas la vôtre. Il peut travailler sur certains tissus : muscles, peau

 - TV supérieur à 15 000 : une bonne connaissance des énergies, un apport important de connaissances et d’expériences et vous avez là tous les ingrédients pour être en présence d’un magnétiseur qui peut vous soulager réellement et durablement. Vous pouvez vous fier à lui. C’est un magnétiseur qui sait également se nettoyer pour ne pas polluer vos corps énergétiques afin de vous faire profiter de l’énergie qu’il a et qu’il capte.

 - TV supérieur à 20 000 : ce sont des thérapeutes multi-composantes (Tiens, c’est nouveau, çà vient de sortir !) ; leurs longueurs d’ondes sont adaptées au travail  sur les muscles, la peau, les organes internes, les os, le système lymphatique et le système sanguin » Et d’ajouter : « mon Taux Vibratoire est de 190000 UB ». Ben, voyons ! Il y en a qui ne manquent pas d’air ! Ah, j’ai trouvé : celui qui a écrit çà a peut-être simplement mesuré la vibration de son Ego et ne l’a pas précisé parce qu’il ne fait pas de différence entre Lui et son Ego …Je plaisante !

Oui, ces exemples sont parfaitement authentiques ; je les ai reproduits littéralement (j’ai tout de même corrigé quelques grosses fautes d’orthographe) mais sachez que ce ne sont que des extraits…

J’espère que vous aurez, en tout cas, pris conscience que l’échelle de Bovis (que j’utilise moi-même) est loin, très loin, d’être la panacée et que son emploi ne se suffit vraiment pas à lui-même pour dresser la qualité biotique des aliments, des objets ou des lieux.

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Il y a une prise de conscience croissante de l’importance d’une bonne alimentation pour mieux vivre et c’est tant mieux ! Mais l’être humain est fait de 70% d’eau (et celle-ci représente , en fait, 99,4% de l’ensemble des molécules de notre corps car les molécules d’eau sont très petites), si bien que, lorsque nous ingérons une eau de mauvaise qualité, celle-ci circule mal dans notre corps et provoque une mauvaise élimination et, à terme, une intoxication chronique débouchant sur la maladie…C’est pourquoi il est essentiel de se soucier aussi et prioritairement de la qualité de l’eau que nous consommons : elle détermine largement la qualité de nos cellules et leur capacité de fonctionnement.

Passons rapidement en revue les deux eaux de consommation qui nous sont proposées :

-L’eau du robinet : elle est déstructurée en raison des techniques (adduction) d’amenée et des traitements qu’elle subit ; en particulier par le fait qu’elle circule dans des tuyaux métalliques, en ligne droite (au lieu, comme dans la nature, d’une circulation spiralée, en vortex), sous pression, qu’elle est chargée en un trop grand nombre de minéraux et qu’elle est chlorée. Ajoutons qu’elle est, très souvent, irradiée par des antennes placées sur les châteaux d’eau, sans parler des nocivités qu’elle rencontre au gré de son cheminement. Il s’ensuit une désinformation de cette eau qui, arrivée à destination, est devenue une eau morte et polluée, avec une polarité inversée.

-L’eau en bouteille : elle est également soumise à la pression lors de l’embouteillage. Par ailleurs, la très grande majorité des bouteilles d’eau sont en plastique et l’on sait que les molécules de matière plastique migrent dans l’eau…, d’autant que les bouteilles sont entreposées durablement sur leurs lieux de production, sur des aires de stationnement, puis dans les magasins, sans parler des conséquences du transport. Arrivée chez nous, cette eau ne vaut guère mieux que l’eau du robinet.

Il existe aujourd’hui des appareils qui cherchent à purifier et à revivifier l’eau : par exemple, la filtration par osmose inverse qui permet d’obtenir une eau quasiment pure ; mais le problème est que cette eau est désinformée car le filtrage casse les clusters à leur passage par la membrane de filtration et, par suite, l’eau produite est « indigeste ».

Que faire pour que l’eau soit, à la fois, redynamisée, ré-informée et vivifiée ?

Une petite réflexion tout d’abord : vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les Orientaux servent le thé en le versant d’assez haut, parfois même d’une hauteur de 1 mètre ? Tout simplement pour le ré-oxygéner, la chute du thé permettant de le brasser et d’y réintroduire de l’oxygène ( celui-ci ayant été perdu lors de l’ébullition de l’eau) , ce qui rend le thé digeste. Remarquons, en passant, qu’autrefois nos grands-mères avaient recours, pour la même raison, à un procédé analogue pour les biberons de lait du nourrisson : elle le battait avec une cuillère en bois ! Comme quoi la Tradition, pour peu qu’on lui prête attention, est souvent pleine de bon sens pratique. Tout comme le chat qui préfère aller boire l’eau qui tombe d’un robinet de lavabo ou d’une chasse d’eau plutôt que l’eau stagnante de sa gamelle…

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Revenons à notre sujet. Voici quelques moyens simples pour améliorer la qualité d’une eau :

-L’utilisation du mouvement (comme en biodynamie) : transvaser l’eau d’un récipient à un autre, à 3 reprises, et d’assez haut pour qu’elle « chante » ; puis l’exposer au soleil une demi-journée. Au lieu de transvaser l’eau, on peut aussi la secouer énergiquement ou alors la battre à l’aide d’un ustensile en bois. L’exposition au soleil a une action oxydante. On peut également exposer l’eau à la lune si on recherche un effet réducteur.

-Le recours à un additif : par exemple, mettre une cuillerée d’argile par litre d’eau, la laisser décanter puis la filtrer. Attention de ne pas utiliser une cuillère en métal. On peut aussi mettre le jus d’un demi citron bio dans un litre d’eau, puis secouer la bouteille (solution que j’utilise souvent pour mon eau de randonnée).

-La médiation d’un objet : on peut prendre un cristal de quartz rose, un cristal de roche et une améthyste (préalablement nettoyés et purifiés) et les immerger dans de l’eau pendant une heure. L’eau va  assimiler les vibrations des cristaux et se charger de leurs énergies (informations). De même, on peut soumettre l’eau à des aimants en ayant recours à des récipients aimantés (intéressant surtout pour l’eau calcaire).

-Les mains comme « magnétiseur » : mettre ses mains, durant 5 à 10 minutes, au-dessus d’un récipient (non métallique et non plastique), rempli d’eau, en y associant l’intention de purifier et de rendre vivante l’eau. Cela suppose de disposer d’une « bonne » énergie. On peut aussi magnétiser l’eau en lui envoyant notre souffle chaud, à plusieurs reprises (un nombre impair de fois, par exemple 7 ou 9).

Précautions de conservation :

-ne pas garder une « bonne » eau dans un environnement pollué (évier, appareils et prises électriques, éclairage fluorescent, téléphone, poubelles, etc.) ou à proximité d’une eau de basse vibration, de médicaments, ou de légumes et fruits traités, etc. La contamination se ferait automatiquement, les énergies les plus basses étant les plus stables.

-la conserver, à température ambiante, dans un endroit frais (cave), à l’abri de la lumière directe, dans un récipient en verre ou en grès.

-ne pas étiqueter le contenant (à cause de la colle et de l’onde de forme).

-choisir un endroit de garde calme et rangé (le désordre est une pollution ! ).

L’eau vive :

-Définition : une eau vive est une eau non seulement potable (au sens physique du terme) mais aussi qui réunit toutes les qualités du vivant, notamment sur le plan subtil (hautes vibrations, polarité dextrogyre, longue conservation hors zones déséquilibrées, qualités thérapeutiques). A cela, il faut ajouter une caractéristique qui peut étonner certains : celle de la transduction (encore appelée, dans le langage courant, duplication) ; cela veut dire que l’eau vive a la capacité de transmettre, directement et sans pertes, toutes ses propriétés à une eau courante : pour cela, il suffit d’ajouter, par litre d’eau courante, quelques gouttes d’eau vive pour que toute l’eau devienne de l’eau vive, cette dernière eau devenant, elle-même transductrice. Elle peut donc se multiplier à l’infini.

-Où trouver de l’eau vive ? Les eaux sacrées, les eaux mariales et les eaux bénites sont des eaux vives. Mais l’eau de rosée, recueillie au 1er quartier de lune, par temps clair, sur un support neutre, est aussi une eau vive. De même, récupérer de la neige en haute montagne et la laisser fondre permet d’obtenir de l’eau vive. Il en est également des eaux de torrent, à condition qu’il n’y ait pas de pollution à proximité. Et cela n’étonnera pas les radiesthésistes-géobiologues, en ramenant chez soi un galet de torrent glacier, on peut fabriquer de l’eau vive, l’information « eau vive » ayant été transmise au galet qui, mis en présence d’une eau de consommation, par transduction, va transmettre cette information…

-Comment obtenir une eau proche de l’eau vive, à partir d’une eau « correcte » ?

  • En ajoutant à l’eau une petite quantité des sels obtenus par trituration (broyage par friction) de fleur de sel de Guérande (1/3) et de bicarbonate de soude (2/3).

  • En ayant recours à du sel de l’Himalaya en gros cristaux transparents ou rose pâle (fleur de sel ou sel de cristal) :               Recouvrir d’eau un gros cristal de sel et attendre sa dissolution puis mettre dans l’eau quelques gouttes de la saumure  obtenue.                                                                                                                                                                                         

        Même procédure mais en utilisant comme récipient préalable une coquille Saint-Jacques orientée charnière au Sud : laisser sécher la saumure dans la coquille jusqu’à obtention d’une fleur de sel ; c’est cette fleur de sel qui sera ajoutée à l’eau pour la purifier et la vivifier.

Je voudrais maintenant partager avec vous ma manière de « fabriquer » ma propre eau de consommation, étant précisé qu’elle est constituée d’une chaîne de moyens :

-à la sortie du compteur d’eau, une bouteille en verre, remplie d’eau diamant (http://steel-storm-staelhe.info/ed.htm ), est couchée sur la canalisation (transmission des informations contenues dans l’eau diamant à l’eau de distribution).

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-un peu plus loin sur la conduite d’eau, dans le sous-sol, un aimant N48M, encercle le conduit d’amenée de l’eau.

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-avant d’être consommée, l’eau est d’abord mise en mouvement par création d’un vortex obtenu grâce à un vitaliseur Devajal (http://www.vivre-mieux.com/fr/energetique/328-devajal-vitaliseur-eau.html?gclid=CPDi8ob03NECFcW4GwodD88Bog#/couleur-bleu ) qui est un tube générateur de tourbillons, muni d’un pas de vis à double spirale, conçu pour dynamiser l’eau en la transvasant d’une bouteille à l’autre.

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-elle est ensuite transvasée dans une carafe spéciale TC Energy, respectant les proportions dorées (voir photo), puis posée sur un support circulaire en bois sur lequel est incrustée une croix celtique (dessin actif au sens géobiologique). Avant d’être consommée, on laisse le chlore contenu dans l’eau s’évacuer (produit volatile).

Se soucier de l'eau que l'on consomme

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Les nouveaux compteurs d’ERDF, dits LINKY ,vont remplacer progressivement tous les compteurs électriques en place, d'ici  2021.  Ils sont communicants car ils peuvent recevoir des ordres et envoyer des données sans l’intervention d’un technicien. Ainsi, ils permettront notamment :

-des relevés automatiques de la consommation électrique,

-des modifications à distance du contrat d’abonnement et de la puissance du compteur,

-un suivi de la consommation électrique réelle sur un site internet.

Mais, le problème, c’est qu’une nouvelle fois, on décide la mise en place d’appareils qui sont générateurs de champs électromagnétiques puissants et très nocifs pour la santé car ils fonctionnent  avec la technologie du Courant Porteur en Ligne (CPL), utilisant, via le compteur, le courant électrique 50Hz comme porteur pour des radiofréquences de 9 à 150KHz . Ce type de pollution est pourtant officiellement reconnu potentiellement cancérigène par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) !

Le Courant Porteur en Ligne (CPL) émet des ondes à fréquences élevées se diffusant dans l’ensemble de l’habitation,par l’installation électrique , et s’ajoutant aux ondes perverses rayonnées par le wifi, la téléphonie sans fil, la 3 et la 4G, les lignes électriques, les lignes TGV, les éoliennes,etc.

En outre,  des nouveaux compteurs communicants vont également être installés pour la distribution du gaz (compteurs Gaspar) ainsi que pour la distribution d’eau.

Comme on le voit, le principe de précaution est non seulement ignoré mais nié et l’on s’apprête, dans une indifférence quasi générale, à arroser l’Hexagone d’une pollution qui va provoquer et aggraver les maladies et les allergies dans des proportions que je n’ose pas imaginer…

Pour nous, géobiologues, nous allons être confrontés à ce problème qui sera également un nouveau défi. En effet, nous remarquons que, dans notre panoplie de solutions pour neutraliser les nuisances électromagnétiques, certaines deviennent obsolètes en raison de l’augmentation exponentielle des nocivités résultant de l’activité humaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si vous souhaitez plus d’informations sur ce sujet, je vous invite à consulter les liens suivants :

http://www.reporterre.net/Linky-le-compteur-qui-va-augmenter-notre-exposition-aux-ondes-electro

http://www.santepublique-editions.fr/agir-avec-vos-voisins-contre-l-implantation-des-compteurs-linky-dans-votre-immeuble.html

http://www.robindestoits.org/Compteurs-dits-intelligents-eau-gaz-electricite_r124.html

http://www.chaos-controle.com/archives/2014/05/01/29778612.html

 

Le danger des nouveaux compteurs électriques  LINKY

Attention à la rémanence !

 

L'effet de rémanence est bien connu des radiesthésistes et des géobiologues, mais certains oublient de prendre les précautions nécessaires pour éviter, dans leurs investigations, d'être induits en erreur.

Je rappelle que la rémanence est  la persistance de la vibration d'un objet ou d'un être vivant ayant séjourné en un lieu après que cet objet ou cet être vivant ait quitté le lieu. Il s'agit d'une imprégnation du lieu qui persiste plus ou moins longtemps selon la nature de l'objet ou de l'être vivant et la durée pendant laquelle il est demeuré dans le lieu. Elle peut durer quelques minutes, quelques heures, quelques jours, quelques mois, voire des siècles ou plus (cas, par exemple, des maisons où des crimes ont été commis). C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il n'est pas possible, en radiesthésie, de travailler sur une personne à l'aide d'une photo d'un groupe, les personnages de la photo s'imprégnant mutuellement.

Le matériel du radiesthésiste ou du géobiologue s'imprègne aussi : qu'il s'agisse de son pendule ou qu'il s'agisse aussi, par exemple, d'un crayon de papier ayant servi à une recherche sur plan (téléradiesthésie) ;  souvent, on emploie plusieurs pendules selon les recherches que l'on veut effectuer : sachez que 2 pendules imprégnés, posés en contact l'un de l'autre, manifesteront un effet de rémanence qui se traduira par un dysfonctionnement : par exemple, le pendule, lors de son prochain emploi, ne girera pas s'il n'a pas, préalablement, été nettoyé (évanescence). J'ai pu en vérifier la réalité alors que j'avais mis, par étourderie, dans le même étui, 2 pendules hébraïques opposés : l'un comportant le "Yahvé" et l'autre le signe de "Satan" ; à l'utilisation suivante, ni l'un ni l'autre ne fonctionnaient correctement. Une chose qu'il ne faut pas oublier non plus, c'est que l'opérateur lui-même est imprégné !

Par conséquent, chaque investigation radiesthésique ou géobiologique nécessite une désimprégnation à chaque opération : désimprégnation de l'opérateur et de ses outils. Comment procéder ? En fait, c'est simple mais il est indispensable de s'y soumettre si l'on ne veut pas risquer de se tromper : pour ce faire, l'opérateur va souffler sur ses doigts tout en joignant ses mains (comme on le fait pour une prière). Pour le pendule ou un autre outil, il suffit de le mettre à l'intérieur des mains jointes, ce qui provoque un court-circuit et une "remise à zéro". Il existe d'autres méthodes de désimprégnation mais celles que je viens de mentionner sont les plus simples et les plus rapides.

Les radiesthésistes et géobiologues sont d'autant plus sensibles à la rémanence qu'ils sont expérimentés. Les débutants peuvent s'avérer peu ou pas sensibles à cet effet mais, pour autant, ils ne doivent pas s'abstenir de prendre l'habitude de se désimprégner avant chaque recherche car, à un moment ou à un autre, ils réagiront à la rémanence.

Ami(e)s radiesthésistes et géobiologues, suivez ce conseil de précaution : vous vous rendrez vite compte qu'il est judicieux !

Attention aux orgonites !

 

Depuis quelques années les orgonites connaissent un certain succès car elles sont censées augmenter le niveau vibratoire du lieu où elles sont placées et neutraliser certaines nocivités comme celles des ordinateurs, par exemple. J'attire votre attention sur le fait que ces appareils ont la particularité de se charger et que, au bout d’un certain temps, lorsqu’ils sont saturés, ils rayonnent les nuisances emmagasinées et abaissent notablement l’ambiance biotique, devenant ainsi des objets nocifs et agressifs…le contraire de ce à quoi on les destinait !

Il y a aussi une autre information importante à apporter concernant les orgonites et qui n’est pratiquement jamais abordée : il s’agit de ses composants métalliques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Généralement, lorsque l’on consulte une documentation sur les orgonites, il est dit qu’elles sont constituées de copeaux de métaux en suspension dans une résine polymère durcie (je ne parle pas, ici, d’autres composants secondaires comme des végétaux, des minéraux, des cristaux de quartz biterminés, des spires métalliques, etc. qui ne sont pas indispensables), utilisant les propriétés découvertes par Wilhelm REICH et Karl WELZ. Les métaux cités fréquemment comme constituants sont l’aluminium, l’acier, le cuivre et j’ai remarqué que l’on indique habituellement que tous les métaux peuvent être employés…Voila qui témoigne d’une singulière ignorance ! Le problème est que la plupart des orgonites  commercialisées sont fabriquées sur ces bases erronées.

Pourtant, Wilhelm REICH avait bien insisté sur ce point : la fabrication d’accumulateurs à orgone ne peut se faire qu’avec des matériaux adéquats. Et ceux-ci sont les suivants :

-pour les métaux : acier , fer , acier galvanisé, laine d’acier, acier inoxydable, alliage en acier provenant de boites de conserve ;

-pour les matériaux non métalliques : laine, coton brut, acrylique, laine de verre, laine de roche, fibres de verre, cire d’abeille, terre, eau.

Par contre, sont absolument proscrits :

-pour les métaux : aluminium, cuivre et plomb ;

-pour les matériaux non métalliques : bois, contreplaqué, polyuréthane, amiante et tous les produits toxiques.

Par ailleurs, ce qui importe avant tout dans une orgonite ce sont ses constituants.  Certains fabricants prétendent améliorer, par leur forme, des orgonites et proposent donc, moyennant surcoût, des appareils ayant la forme de pyramides, cônes, solides de Platon, etc. Cependant, contrairement à ce que l’on pourrait penser à priori, certains accumulateurs à orgone ayant une de ces formes se montrent franchement négatifs. Bien que ce constat soit inexpliqué, il n’en ressort pas moins que certaines de ces orgonites ont un effet pervers et qu’elles ne devraient donc pas être fabriquées et vendues.

Je vous conseille donc d’être vigilant et de contrôler au pendule une orgonite avant de l’acheter. Et demandez au vendeur quels sont les métaux qui sont englués dans la résine polymère ; s’il ne sait pas, passez votre chemin… 

Comment vieillir un vin avec un circuit oscillant ?

 

Depuis quelques années sont commercialisés certains dispositifs pour accélérer le vieillissement des vins. Ainsi sont proposés, par exemple, des becs verseurs magnétiques permettant d'améliorer, sur le champ, la qualité d'un vin par oxygénation et par libération des saveurs. Il y a aussi la "clé du vin", munie d'une pastille en alliage de cuivre, d'or et d'argent, et qui est un instrument de bonification accélérée du vin (c'est, en tout cas, ce que ses fabricants et vendeurs prétendent...) grâce à l'oxydoréduction. En fait, ces procédés ne vieillissent pas vraiment le vin : au mieux, ils ne font que stimuler le développement des senteurs du vin et assouplir sa structure...Quoiqu'il en soit, il n'est pas question, ici, d'engager une controverse à ce sujet.

Je vais vous présenter un catalyseur à vin, peu connu bien que déjà ancien, et qui fonctionne sur le principe du circuit oscillant inventé par Georges LAKHOVSKY au début du siècle dernier et que l'on peut fabriquer soi-même. Un bon dessin valant mieux qu'un long discours, voici un schéma descriptif de cet appareil :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'appelle votre attention sur les points suivants:

-le circuit oscillant doit respecter précisément les dimensions indiquées ci-avant car  elles définissent la longueur d'onde sur laquelle l'appareil est réglé :un diamètre de 33.5 cm, une section de fil en cuivre de 6mm² ;

-les extrémités du circuit sont pliées sur une longueur de 12 mm et  enfoncées dans des emplacements creusés dans le support en bois, l'écartement de ceux-ci étant de 3.5 cm ;

-hormis le circuit oscillant qui est en cuivre, tout l'appareil est en bois, exceptée la vis destinée à régler en hauteur le support sur la tige et à le bloquer;

-l'angle formé par le circuit, par rapport à l'horizontale, est de 22.5° ;

-l'ouverture du circuit est orientée au Nord ;

-pour bonifier le vin, il faut poser la bouteille, dans cet appareil, environ 48 heures à l'avance, bouchon ouvert.

Pour construire le circuit oscillant, il suffit d'acheter du fil électrique, ayant la section requise, d'une longueur d'1 m environ et de le couder en cercle.

Avec un tel dispositif, on peut également améliorer la qualité de l'eau, mais on peut aussi hâter la germination de graines végétales ainsi que leurs qualités (meilleure résistance aux maladies) ou encore accélérer la croissance  (ainsi que les qualités gustatives de leurs fruits) de pieds de tomates ou d'autres légumes. De nombreuses expériences ont été faites avec ce type d'appareil, avec des résultats fort intéressants.

Dynamisation de l’eau

Il existe un grand nombre de solutions pour dynamiser de l’eau : celles qui font appel à un appareil spécialisé qui peut s’avérer coûteux et celles qui ne coûtent rien …

Voyons d’abord ce que signifie « dynamiser de l’eau Â» : pour moi, il s’agit de faire retrouver à l’eau ses propriétés de pureté  et de vitalité originelles mais aussi  de la charger d’une ou plusieurs informations à des fins particulières (par exemple, dans un but thérapeutique). Aussi, il existe différentes eaux dynamisées et qui n’ont donc pas toutes les mêmes propriétés.

Chez les radiesthésistes-géobiologues, il est courant de mesurer le taux vibratoire d’une eau (à l’aide de l’échelle Bovis) pour définir son niveau de dynamisation. Certes, il s’agit d’une indication sur la qualité biotique de l’eau mais, à elle seule, elle est insuffisante pour évaluer sa « richesse Â» intrinsèque.

La méthode de fabrication d’une eau dynamisée dépend de ce que l’on veut obtenir et de l’eau utilisée au départ. On a toujours intérêt à employer une eau qui soit la plus pure possible (donc non traitée) et, de ce point de vue, les eaux de source de montagne, les eaux des rivières ou torrents de montagne et les eaux de pluie sont les plus intéressantes.

Je ne vais pas passer en revue toutes les techniques (y compris les « spirituelles Â») auxquelles on peut faire appel pour dynamiser de l’eau car elles sont fort nombreuses bien qu’elles soient souvent très voisines de par les principes auxquels elles se réfèrent.

Je vais vous en indiquer une très simple, à la portée de n’importe qui :   versez de l’eau dans un récipient en verre (surtout pas dans un récipient métallique) ; puis, comme indiqué sur l’illustration, réunissez vos 5 doigts de la main droite (ou gauche, si vous êtes gaucher) en pointe, placez-les un peu au-dessus de l’eau et tournez votre main, dans le sens des aiguilles d’une montre, durant quelques minutes. Votre eau sera alors dynamisée, c’est-à-dire améliorée et vitalisée. Si vous voulez aller plus loin, vous pouvez, lorsque vous tournez votre main, ajoutez une intention ; par exemple, vous pouvez dire à cette eau : « Je te charge d’amour Â». Vous pouvez aussi la sacraliser en la touchant en surface et en faisant le signe de la croix.

Quand on boit une eau ainsi dynamisée, elle  a un goût différent.

Feng Shui et géobiologie

 

Bien que « Feng shui Â» veuille dire littéralement « vent et eau Â» et qu’il désigne l’art asiatique pour vivre en harmonie avec la terre, et que la géobiologie soit la technique qui s’occupe d’étudier la vitalité d’un lieu (terrain, habitation, ferme, commerce, usine, bureaux,…) par l’examen des facteurs susceptibles d’affecter les êtres vivants (humains, animaux et végétaux) qui y séjournent, et d’atténuer voire de supprimer les nuisances relevées, il n’est pas exact de dire, comme certains auteurs, que la géobiologie est le « Feng shui occidental Â». Ces deux disciplines anciennes se sont d’ailleurs développées indépendamment l’une de l’autre et dans des régions du globe bien distinctes. Ceci dit, il est vrai qu’elles poursuivent le même but mais, pour l’atteindre, elles utilisent des voies bien différentes héritées de  traditions distinctes.

Aujourd’hui cependant, il y a de plus en plus de professionnels qui maîtrisent, à la fois, le Feng shui et la géobiologie et qui les utilisent de manière complémentaire et concomitante, ce qui est facilité par certains troncs voisins dans ces « sciences -arts».

Mon propos n’est pas ici de retracer les spécificités de chacune de ces approches mais simplement d’attirer l’attention sur l’intérêt d’aborder l’évaluation et l’harmonisation d’un lieu sous différents angles simultanément.

Ce qui est frappant c’est que le Feng shui et la géobiologie accordent, l’un et l’autre, une grande importance à l’intuition, au ressenti et à l’observation. Certes, ils semblent, sur de nombreux points, aborder un lieu selon un regard bien différent mais, à y regarder de plus près, ces divergences ne sont, en fait, que des méthodes singulières distinctes mais non opposées et même, sur le fond, très similaires. Prenons un exemple : supposons qu’un praticien du Feng shui soit sollicité pour accompagner un couple qui projette d’acheter un appartement, pour avoir son avis avant de prendre une décision. Ce praticien va, entre autres, demander la date de naissance des intéressés en vue de définir leurs trigrammes de manière à s’assurer que le positionnement et l’orientation de l’appartement sont en accord avec le couple. Pour le même exemple, le géobiologue fera, lui, une mesure, avec pendule et cadran adéquat, de la résonance entre le couple et l’appartement, de façon à voir si cet habitat convient (beaucoup, moyennement, passablement,…) ou pas (du tout, un peu,…) à ce couple. La recherche, sur ce point, se rejoint donc, même si les éléments de référence et les moyens ne sont pas du tout les mêmes.

Il est vrai que l’on ne peut  faire ce genre de comparaison avec chaque partie du diagnostic. Et c’est, pour cette raison, qu’il est très intéressant d’associer les deux disciplines. Je vais reprendre un exemple : prenons une maison qui se situe à proximité (5m) d’une ligne électrique à moyenne tension (33kV). Cette habitation subit des champs électromagnétiques très importants qui  vont altérer très dangereusement la santé des occupants. Dans la plupart des cas, un praticien du Feng shui proposera comme solution le déménagement, solution d’ailleurs tout-à-fait pertinente. Le géobiologue donnera peut-être aussi le même conseil. Cependant, pour bien des personnes propriétaires de leur maison, il ne sera pas possible, ne serait-ce que pour des raisons financières, de suivre une telle recommandation. Le géobiologue va alors mettre en place un dispositif neutralisant ou atténuant fortement les effets nocifs de la ligne électrique pour que la santé des occupants de la maison soit préservée. A ma connaissance, le praticien de Feng shui n’a pas de réponse à ce type de problème.

Géobiologie : harmonisateurs, rééquilibreurs, régénérateurs, neutralisateurs et consorts

 

Un grand nombre de géobiologues prétendent pouvoir protéger les hommes et les animaux de toutes, ou certaines, influences telluriques, électromagnétiques et environnementales négatives auxquelles ils sont soumis. Pour ce faire, ils utilisent, entre autres, des appareils  commercialisés sous différents vocables : harmonisateurs, rééquilibreurs, neutralisateurs, compensateurs, régénérateurs biotiques, etc. Ceux-ci sont censés neutraliser tous, ou en partie, les rayonnements pathogènes et, ceci, ce façon durable.

Ma propre expérience dans le domaine de la géobiologie m’amène à être plus circonspect. L’efficacité de ces systèmes est souvent passagère, partielle et aléatoire. Pour vous les vendre, on vous dira que ce sont des dispositifs à ondes de forme, qu’ils sont construits selon le nombre d’or, la divine proportion,…, qu’ils font appel aux technologies les plus pointues, que ce sont des produits informés, qu’ils sont composés de matériaux particuliers qui protègent des nocivités, que ce sont des circuits mis en oscillation, etc. C’est d’ailleurs vrai, mais la question qui se pose est de savoir si, pour autant, ils sont capables de nous mettre vraiment à l’abri des ondes négatives, et ceci, de manière pérenne. A ma connaissance, selon les recherches menées par des instituts  reconnus dans le domaine de la géobiologie, aucun appareil ne serait en mesure de garantir un tel résultat…Par conséquent, même si la géobiologie est, aujourd’hui, en mesure d’assainir notablement les habitations et les lieux de vie, elle n’est pas à même de transformer définitivement un endroit malsain en un lieu parfaitement sain. Ceci doit être dit, même si cela peut affecter l’enthousiasme de certains.

Certains de ces appareils se chargent, de telle sorte que l’effet de neutralisation, obtenu au départ, disparaît progressivement et, dans certains cas, ils finissent par inverser leurs effets et deviennent des « Ã©metteurs de nuisances Â».

Il faut dire aussi que l’efficience d’une installation d’harmonisation d’un lieu est tributaire d’un facteur essentiel qui ne dépend pas directement du géobiologue : je veux parler ici de l’éthique des habitants du lieu concerné. Quand, dans une maison ou un appartement, les occupants (ou une partie des occupants) ont un « profil négatif Â» (pensées très souvent négatives, critique fréquente des autres, caractère névrosé, réactions colériques, etc.), ils créent, participent à la création ou attirent des entités négatives qui s’installent sur eux et dans leur habitation, abaissant ainsi le niveau vibratoire du lieu, ce qui favorise la réapparition et la multiplication des nocivités. Aucun appareil ne pourra jamais neutraliser ces effets délétères. Seuls les occupants, en prenant conscience de leur responsabilité dans la création de ces nuisances et de la nécessité de corriger leur façon de penser et d’être, pourront relever leur niveau de vibrations et, par là même, celui de l’endroit où ils vivent. De mon point de vue, après avoir mis en place sa (ses) solution(s) d’assainissement du lieu expertisé, le géobiologue devrait prendre le temps d’expliquer à son client qu’il a, lui-même, un travail à entreprendre (sur lui). Le géobiologue apporte une aide essentielle mais celle-ci doit être suivie d’une démarche personnelle du client.

Je ne cherche, par ces propos, qu’attirer votre attention sur un marché qui, dans certains cas, est plutôt lucratif et vous inciter à la prudence. Sachez que certains systèmes ou méthodes (qui ne coûtent rien ou qui sont peu chers) se révèlent au moins aussi pertinents, sinon plus que l’un de ces appareils dont le prix varie de 100€ à 2000€ ou plus.

Pourquoi  les zones situées à l’aplomb d’un cours d’eau souterrain sont-elles particulièrement néfastes à la vie ?

 

Quand un géobiologue fait l’expertise d’une maison ou d’un appartement, l’une des premières choses dont il se soucie est de vérifier qu’elle ou qu’il ne soit pas implanté(e) sur une zone parcourue par un ou plusieurs cours d’eau souterrains car il sait que ceux-ci génèrent de sérieuses nuisances pour ses habitants : difficulté d’endormissement , insomnies, sommeil agité, fatigue systématique au réveil, fatigue chronique, nécessité d’uriner souvent la nuit, stress, angines et bronchites chroniques, rhumatismes, eczémas, asthme, énurésie infantile, cancers, etc.  Quand  il s’agit d’une étable,   les animaux qui y séjournent subissent également des agressions de la part de ces circulations d’eau dans le sous-sol qui se traduisent, par exemple, par de l’agressivité, un amaigrissement, des maladies, une perte de rendement du lait (pour les vaches laitières), des diarrhées, etc.

Pourquoi ces zones sont-elles géopathogènes ?

Le déplacement de l’eau engendre du frottement sur les matériaux rencontrés (sable, graviers, roches) si bien que les molécules d’eau s’ionisent positivement (électricité statique), et cette ionisation remonte verticalement à la surface du sol, sous forme d’un champ électrostatique nuisible qui se propage. Il en résulte :

-une modification du magnétisme terrestre que le radiesthésiste-géobiologue détecte au moyen de baguettes ou du pendule ;

-une majoration de l’électricité positive  (ions +) de l’air  qui, entre autres, attire la foudre ;

-un accroissement de la puissance du champ d’ondes ultra-courtes et un ralentissement du rayonnement infrarouge.

Cette négativité est forte lorsque deux cours d’eau se croisent (zone porteuse de l’onde très dangereuse du « vert électrique négatif Â») et elle est considérablement renforcée si, de surcroît, l’un des cours d’eau suit une faille.

Elle dépend aussi de l’orientation de chaque cours d’eau (l’orientation ouest/est est, de loin, la plus redoutable) et de la qualité de l’eau en circulation.

Dans les sous-sols, cette ionisation provoque des taches d’humidité, souvent en forme de cloche, avec une polarité des murs inversées.

N’est-il pas curieux que les hauts-lieux sacrés soient construits au-dessus de cours d’eau souterrains ?

 

En lisant mon article intitulé « Pourquoi les zones situées à l’aplomb d’un cours d’eau sont-elles particulièrement néfastes à la vie ? Â», l’un de mes correspondants s’est étonné de l’affirmation contenue dans la question,  qui semble très contradictoire par rapport au choix qui a été fait par les constructeurs celtes et romans d’édifier les hauts-lieux sacrés justement sur ces endroits telluriquement perturbés. C’est une observation pertinente, en tout cas à première vue…

Effectivement, construire au-dessus de  rivières souterraines est, à priori, un mauvais choix puisque l’on sait que ces endroits là sont vibratoirement négatifs et géopathogènes. Cependant, le constructeur d’autrefois se déterminait en prenant en compte un ensemble de facteurs et critères complémentaires, et non pas un seul, et, en outre,  il possédait l’art de transformer le tout en énergie bienfaisante. Il serait fastidieux d’expliciter tout son travail car il faudrait, au préalable, rappeler tout un savoir sur lequel il était basé. Je vais toutefois essayer d’éclairer le sujet par quelques réflexions qui vous permettront, je l’espère, d’appréhender le type d’approche qui était effectué.

Pour répondre à la question basique « Pourquoi élire le sanctuaire sur des nappes d’eau souterraines ? Â», je dirai simplement que l’eau lui apporte l’information tellurique dont il a besoin et qu’elle contient (l’eau est un formidable support mémoriel, un extraordinaire « disque dur Â»), de telle sorte que puisse être réalisée la symbiose entre le Ciel et la terre. Mais, pour que cette information arrive en surface, il faut aussi que soit créé un point de remontée ; c’est pourquoi,  sur l’emplacement du courant d’eau principal, à l’aplomb ou voisinage de l’autel, il y a un croisement de lignes positives de réseau tellurique, au moins de niveau 3, qui est une sorte de point de déflagration qui met le sanctuaire en résonance avec le cosmos. A ce dispositif s’ajoutent : le passage d’un courant tellurique (à ne pas confondre avec un réseau tellurique), c’est la fameuse vouivre de la Tradition (dont l’apport énergétique est considérable),  souvent, -et c’est encore un élément fortement géopathogène-,  une faille (ou, à défaut, une crypte) qui permet au courant tellurique de sortir de terre et d’apporter sa merveilleuse vibration, un vortex qui rayonne une énergie positive puissante et concentrique (harmoniques) et une cheminée cosmotellurique positive. S’il n’y avait que les rivières souterraines, le lieu serait inévitablement néfaste et inapproprié pour une église (ou un autre sanctuaire), mais tout ce système de phénomènes telluriques associés judicieusement confère à l’endroit un caractère magique et sacré formidablement propice à l’installation d’un temple.

Presque toujours,  les églises romanes sont bâties sur une zone d’au moins 3 cours d’eau souterrains (1 central et 2 perpendiculaires), la partageant en 3 zones   vibratoirement, physiquement et symboliquement distinctes. Les menhirs sont situés au croisement de 2 rivières souterraines et les dolmens sont parcourus par une veine d’eau longitudinale.

Il arrive qu’en l’absence de cours d’eau, l’homme ait construit,  sous ces sanctuaires, en lieu et place,  des canaux artificiels ou posés un lit de galets de rivière (ceux-ci ayant enregistré la mémoire de l’eau et pouvant donc, comme un courant d’eau, la restituer).

Par ailleurs, les sanctuaires sont orientés en fonction de l’orientation des cours d’eau souterrains et des réseaux telluriques pour pouvoir équilibrer parfaitement les énergies (ce qui explique pourquoi l’axe de certaines églises est courbe).

L’architecture n’est pas en reste. Le constructeur roman a, systématiquement,  eu recours à l’architecture sacrée et au symbolisme pour mettre en harmonie le visible avec l’invisible ; il a, par exemple, utilisé l’envoûtement (c’est-à-dire l’art de mettre l’homme sous l’influence des voûtes) en faisant ainsi passer le pèlerin de la droite à la courbe, passage propice à la transformation spirituelle.

Bien d’autres éléments pourraient être évoqués pour faire comprendre que les constructeurs des sanctuaires celtes et des églises romanes n’ont rien laissé au hasard, tant sur le plan du visible que celui du subtil. Tout est merveilleusement orchestré. Malheureusement , beaucoup d’édifices anciens ont perdu tout ou partie de leur caractère sacré en raison de l’ignorance qui s’est progressivement installée et qui fait que, par exemple, beaucoup d’autels ont été déplacés de leur position d’origine (en particulier depuis Vatican II) et que des aménagements ou reconstructions ultérieurs ont été réalisés sans tenir compte de la science antique des bâtisseurs.

 

La biologie de l'habitat et notre responsabilité dans les nuisances qui nous affectent

 

Beaucoup de personnes faisant appel à un "médecin de l'habitat" attendent de la géobiologie qu'elle résolve leurs problèmes de mal-être ou (et) de santé liés à leur habitat, en mettant en place des solutions  efficaces immédiates durables, et ceci pour un coût très faible, pour ne pas dire dérisoire... Cette façon de voir les choses est très superficielle et n'est pas réaliste. Elle témoigne de la méconnaissance des problématiques en jeu et du fait que les occupants d'une habitation n'ont, en général, pas conscience de leur propre responsabilité dans le mal vivre qui les touchent.

Voyons un peu de quoi il retourne .

Commençons, d'abord, par les principaux facteurs en cause.

Certes, tout bon géobiologue qui se respecte, lorsqu'il procède à l'expertise d'une habitation, recherche les zones perturbées, identifie l'origine des nuisances et les localise. Seront ainsi répertoriés les problèmes telluriques (failles, cours d'eau souterrains, croisements de réseaux telluriques, etc.), la pollution électromagnétique, les radiofréquences, les masses métalliques importantes, les ondes de forme agressives,...

On pourrait croire que ce travail étant fait, il lui suffit ensuite de mettre en place des dispositifs neutralisant toutes les nocivités pour  que l'habitation soit équilibrée et énergétiquement harmonieuse. Il est entendu qu'une telle intervention est faite pour redonner au lieu une bonne salubrité. Mais il ne faut surtout pas en rester là ! Ce serait déresponsabiliser les occupants de l'habitation et leur laisser croire que l'on peut pallier à leurs excès et laxismes et à leur manque de discernement dans leurs décisions et actions !

Dans les investigations que je mène, il est très fréquent, par exemple, que je constate l'état gravissime, dans les habitations, de rayonnements de radiofréquences et d'hyperfréquences aux effets thermiques et athermiques particulièrement dangereux. La neutralisation de ces effets est délicate et, souvent, partielle. Je suis surpris de la réaction habituelle des occupants d'une maison à qui j'indique que leur habitat est parcouru de champs importants nocifs dus, par exemple, à l'utilisation du wifi, de téléphones sans fil et de radars de surveillance et qui me demandent de faire ce qu'il faut pour :

-que la dangerosité soit supprimée,

-mais qu'ils continuent à pouvoir polluer sans aucunement changer leurs habitudes !

Soyons clairs : cela n'est pas possible !

 Le travail du géobiologue ne sera efficient que s'il se fait en collaboration avec son client : essayer de corriger les erreurs est vain si ces erreurs sont reconduites et même amplifiées.

L'équilibre d'un lieu est fragile et il ne peut être maintenu qu'à la condition de vivre dans le respect du Vivant, non pas seulement à un moment de sa vie, mais en permanence. Je sais bien que certains me rétorqueront qu'il faut vivre avec les moyens de son époque et qu'il n'est pas question de retourner au Moyen-âge ! Sans doute ! Mais il est tout-à-fait possible de concilier le confort, le "progrès" et une vie en accord avec la Nature ! Mais encore faut-il savoir se remettre en question et ne pas suivre aveuglément toutes les technologies, nouvelles et anciennes, sous le simple prétexte qu'elles sont pratiques et attrayantes.  L'escalade technologique peut, et doit, se faire avec discernement et prendre en compte l'homme dans toutes ses dimensions : physiques, biologiques, psychologiques, spirituelles.

Prenons un exemple simple pour bien faire comprendre mon propos :

La plupart des gens utilisent (ou font appel à des professionnels qui emploient) des produits à base d'extraits pétroliers pour le traitement de la charpente de leur maison, en raison de leur  efficacité, sans se soucier de leur toxicité redoutable qui dure des...années et qui peut occasionner de graves problèmes de santé, en particulier pour les personnes dont les chambres sont situées dans les combles. Il existe des produits de traitement naturel et ce sont ceux-ci qu'il faut privilégier, même s'ils sont un peu plus chers !

Je pourrais prendre de nombreux autres exemples des mauvais choix que nous faisons dans la vie, pour notre habitat, en ne prenant comme critères que l'efficacité physique et le prix, sans considération sur les conséquences éventuelles sur le Vivant ...

Par ailleurs, peu de gens ont conscience que notre état d'esprit impacte fortement sur notre vie au point de nous rendre malade ou en bonne santé : nous sommes les créateurs de notre "mal être" et de notre "bien-être". Notre habitat est en corrélation avec ce que nous sommes...

La maison initiatrice

 

Certaines personnes ont une idée du travail du géobiologue similaire à l’idée qu’elles ont de celui du médecin : elles attendent, en effet, que l’intervention du géobiologue visant à la neutralisation des nuisances de leur habitation supprime, une fois pour toutes, le mal être ou la (les) maladie(s) de leur lieu de vie, méconnaissant le fait  qu’il y a d’étroites interactions entre une habitation et ses occupants.

Je fais très souvent le constat que, dans un lieu perturbé par le tellurisme, les champs électromagnétismes, ou autre, une partie seulement des occupants en ressent un mal être ou en est malade, ce qui montre bien  le caractère personnel de la relation  vibratoire qu’il y a entre un être humain et son environnement.

Depuis un certain temps, lorsque l’on me demande de venir faire une expertise géobiologique dans une habitation, je demande à ses occupants de prévoir, lors de ma venue, un moment d’échange avec moi, après mon intervention, pour évoquer le fait que les nocivités que je détecterai (éventuellement) sont en résonance avec eux : chacun habite ainsi le lieu qui lui « convient Â». Qu’est-ce que cela signifie ? Tout simplement, cela veut dire que l’habitation est un révélateur de vos conflits intérieurs. Il s’ensuit que vous aurez beau faire procéder à une expertise géobiologique et à une réharmonisation de votre habitat, tôt ou tard d’autres problèmes surgiront peut être, voire même les corrections effectuées par l’homme de l’art  pourront s’annihiler au bout de quelques semaines. Bien pire, même si vous déménagez, vos problèmes vous suivront et, ce que vous avez cru résolu, reviendra avec force et virulence…

Ce que je dis là ne signifie pas que le travail du géobiologue n’est pas efficient, bien au contraire : Il est indiscutable que, par exemple, déplacer un lit situé au-dessus d’un cours d’eau souterrain ou d’une faille , permettra de retrouver un sommeil normal, qu’un bébé exposé à des hyperfréquences lorsqu’il est dans son lit et souffrant de crises d’asthme verra celles-ci disparaîtrent en même temps  que la neutralisation des HF, etc. Ce travail est donc formidablement utile mais il doit, en même temps, être l’occasion d’une prise de conscience qu’il y a « quelque chose Â»  à faire évoluer en soi : sa manière de penser, sa manière de vivre, sa façon de s’alimenter, sa façon de réagir, etc.

Tout est vibration et chaque pensée en est une. Toutes les vibrations influent les unes sur les autres et, par conséquent, rien n’est innocent. Il ne faut pas croire, par exemple, qu’avoir une pensée négative à l’égard de quelqu â€˜un est sans importance dès lors que l’on garde cette pensée pour soi : une pensée négative produit toujours, exprimée ou non, des effets négatifs, à commencer sur soi. Notre éthique de vie doit donc être la plus en accord  possible avec les principes du Vivant. Personnellement, je crois que nous devrions tous bannir, une fois pour toutes, les critiques de notre vie, qu’elles soient à l’égard d’un individu, d’une société  , des gouvernants, des riches, des pauvres, des fainéants, des pays, des systèmes, etc. car, si vous réfléchissez, vous vous rendrez compte que, finalement, c’est vous-mêmes que vous condamnez. Personne ne détient LA vérité ; au mieux, nous n’avons que NOTRE vérité, bien relative et  bien fragile d’ailleurs, et qui, au fil du temps, va, en partie, se modifier au gré des expériences et des prises de conscience.

En définitive, un géobiologue n’est pas seulement un « médecin de l’habitat Â» ; il est –ou devrait être-une personne offrant l’opportunité de se remettre en question, de comprendre que notre lieu de vie est un miroir de ce que nous sommes. Rechercher à expliquer nos problèmes par des causes extérieures, quand bien même celles-ci sont très convaincantes (pour le mental) me paraît être une démarche totalement vaine et vouée à l’échec. Peu de gens ont véritablement conscience que nous sommes entièrement responsable de notre vie dans ce qu’elle a de positif et d’agréable  comme dans ce qu’elle a de négatif et de difficile. Pourtant cette compréhension est fondamentale car elle est un préalable pour s’engager, avec confiance, sur un nouveau chemin, un chemin d’évolution personnelle et d’aboutissement.

Oui, croyez-moi, la maison est un initiateur.

La correction géobiologique est-elle toujours souhaitable ?

 

Cette question peut surprendre, surtout de la part d’un géobiologue. Pourtant, elle se pose inévitablement un jour ou l’autre.

D’ailleurs, elle n’est pas spécifique aux domaines de la radiesthésie et de la géobiologie ; elle concerne aussi d’autres disciplines comme, par exemple, la médecine. Comme la plupart des gens, longtemps j’ai pensé que lorsqu’une personne était malade et qu’elle demandait qu’on la soigne, il fallait l’aider : le médecin (ou un thérapeute),  avec ses connaissances et son savoir-faire,  devait s’efforcer de la guérir. De même, la pratique habituelle d’un géobiologue, que l’on sollicite pour faire le diagnostic d’une maison et qui y découvre des nuisances, est d’intervenir pour réduire voire supprimer celles-ci, de façon à permettre aux habitants d’y vivre dans de meilleures conditions. Ces actions sont considérées comme positives et, même, comme de « bonnes Â» actions.

Pourtant, en y réfléchissant d’un peu plus près, et sous un angle beaucoup plus large, une interrogation vient à l’esprit : comment connaître la chaîne des conséquences engendrées par de telles actions ? A court terme, une intervention de ce type est, pratiquement à coup sûr, bénéfique ! Mais, une chose est également certaine, elle  modifie aussi le chemin d’une vie ou, tout-au-moins, d’une partie de vie ! Et, par conséquent, le négatif transformé, d’abord, en positif, peut, par ce simple fait, générer, ultérieurement, une situation bien plus difficile et bien plus néfaste que ce qu’elle aurait été sans acte extérieur. Voila qui permet de prendre conscience qu’au lieu d’œuvrer au bien d’autrui on a vite fait de jouer à l’apprenti-sorcier...

Et il serait intéressant également, dans certains cas, d’examiner les motivations de celui ou celle qui aide : nourriture de l’ego (« moi, je suis capable de soigner cette personne Â»), chercher à se rendre intéressant ?  Le respect et l’humilité qui devraient toujours présider aux actions vers autrui font, trop souvent, défaut...

Pour mieux faire comprendre mon propos, je vais prendre un exemple qui se rencontre assez souvent en géobiologie. Prenons le cas d’un éleveur qui a beaucoup de problèmes avec son troupeau de bovins : un nombre de bêtes malades anormalement élevé et une production laitière très en-deçà de ce qu’elle devrait être ; le vétérinaire, consulté à différentes reprises, n’est pas à même de fournir d’explications ou bien donne des explications non satisfaisantes. Des animaux viennent à mourir. En désespoir de cause, l’éleveur se résout à requérir l’intervention d’un géobiologue. Celui-ci se rend sur place et découvre rapidement que l’étable est située sur une zone très virulente en nuisances telluriques : une faille importante traverse le bâtiment, de part en part, ainsi qu’un cours d’eau souterrain pollué et, à l’emplacement des vaches mortes, est installée une cheminée cosmotellurique très fortement négative, à plusieurs bras. Le géobiologue réduit considérablement les nuisances par la mise en place de dispositifs adaptés et le niveau vibratoire de l’étable devient normal. Rapidement, l’état des animaux s’améliore et la production de lait augmente.

Si on s’arrête là, on se dit que l’histoire se finit bien. Mais le géobiologue ne sait pas que l’éleveur s’occupe mal de ses bêtes pour lesquelles il n’a aucune considération et son seul souci est de faire un maximum de profit pour un minimum de travail ; elles vivent dans des conditions insalubres et sont mal nourries. Vous me direz que, tout de même, leur situation s’est améliorée grâce à l’intervention du géobiologue. C’est vrai ! Mais cela veut dire aussi qu’elles vont, maintenant, vivre plus longtemps et qu’elles devront supporter les mauvais traitements pendant une plus longue durée. Leur sort a-t-il vraiment été amélioré ? Ce n’est pas si sûr ! Et le seul vrai bénéficiaire, c’est l’éleveur qui améliore ses rentrées d’argent ! ce qui n’est guère moral...

Autre exemple pris, cette fois-ci, dans l’étude géobiologique d’un logement. Encore un classique ! Un géobiologue intervient sur une habitation où une personne est malade et que la médecine n’arrive pas à guérir. Celui-ci découvre des phénomènes négatifs dans la chambre de cette personne et qui affectent notamment le lit où elle dort. Il fait le nécessaire pour neutraliser les nuisances. Par suite, la personne retrouve assez rapidement la santé. Vous allez me dire, non sans bon sens, que l’intervention du géobiologue est un succès total ! D’un certain point de vue, c’est incontestable ! Voyons maintenant ce qui se passe, quelque temps plus tard, dans cet appartement. La personne qui était malade, une femme d’une trentaine d’années, mariée, commence à tromper son mari et à avoir une vie de plus en plus dissolue, ce qui finit par aboutir à des tensions, beaucoup de peine et, enfin, à un divorce. Vous me direz, à juste titre, que c’est là une anecdote courante ! Oui, c’est vrai, mais ce qu’il faut voir, en arrière-plan, c’est que madame, lorsqu’elle était malade, était, en quelque sorte, protégée de ses tendances à la débauche par sa mauvaise santé, ce qui lui permettait d’expérimenter une vie de couple uni...

Est-ce à dire que les actions d’aide, dans quel que domaine que ce soit, sont à éviter ? Sûrement pas ! Mais elles ne doivent pas contrevenir à l’harmonie universelle ; elles doivent respecter le karma individuel et le karma collectif. En d’autres termes, elles ne doivent pas nuire, même au-delà des apparences. C’est pourquoi un radiesthésiste ou un géobiologue, avant d’engager une intervention, devrai se poser une question essentielle : « Où se situe, sur le plan universel,  l’action que je m’apprête  à entreprendre, sur une échelle allant de -50 à +50 ? Â»  ; Si le résultat est  > 0, alors l’opération peut être entreprise puisqu’elle respectera les lois cosmiques. Mais, dans le cas contraire, elle doit être purement et simplement abandonnée.

Le SCAP

 

Tous ceux qui s’intéressent à la géobiologie ont entendu parler voire utilisé un SCAP pour neutraliser des rayonnements nocifs.

SCAP signifie « Symbole compensateur d’André PHILIPPE Â», selon le nom de celui qui est à l’origine de la création de ces symboles particuliers. Un SCAP est un dessin géométrique réalisé d’ après l’étude de nombres, de lettres et de symboles bénéfiques et qui fonctionne par émission et puissance de ses formes et de ses allégories.

Un SCAP peut être porté sur soi en pendentif ou en bracelet pour être protégé de nocivités. Son emploi le plus fréquent est dans les habitations  pour neutraliser des nuisances telluriques, électromagnétiques ou abstraites. Il est exécuté sur des supports comme du papier bristol, des planchettes de bois ou des médailles en métal et positionné, au pendule, sur le lieu à compenser. C’est dire qu’il ne coûte pratiquement rien puisque l’on peut le faire soi-même à l’aide d’un matériau quasiment gratuit. Bien entendu, on peut aussi l’acheter.

Curieusement, les SCAP sont assez peu employés en dépit de leur efficacité : peut-être est-ce le fait de leur quasi gratuité-certains ayant tendance à considérer qu’un dispositif agissant coûte obligatoirement cher ; c’est sans doute aussi qu’ils sont assez peu connus. C’est pourquoi j’ai tenu à les évoquer pour encourager à les découvrir et à les essayer. Les résultats  étonneront sûrement ceux qui les expérimenteront. Sachez aussi qu’ils sont actifs à distance moyennant le suivi d’un protocole strict.

Personnellement, je les utilise très rarement car ils ont un inconvénient majeur : ils se chargent et saturent assez rapidement, ce qui oblige donc à les nettoyer fréquemment.

Voici les plus connus :

Le taux (ou niveau) vibratoire

 

Le géobiologue, dans ses recherches et investigations, évalue quasi-systématiquement le taux (ou niveau) vibratoire (en abrégé : TV) d’un lieu, d’un objet, d’un aliment ou d’un être vivant et cette mesure, faite à l’aide d’un cadran, est, en général, effectuée à l’aide de l’échelle Bovis dont l’unité est, à l’origine, l’Angströms, correspondant  à une longueur d’onde de 1 milliardième de mètre ; en fait, rarement un géobiologue donne une valeur en Angströms : il lui substitue l’unité Bovis (uB), par commodité de langage, mais aussi parce que l’Angströms fait débat pour quantifier un niveau vibratoire. Comment, en effet,  une mesure de longueur métrique pourrait-elle rendre compte d’une estimation de type radiesthésique ? L’unité  Bovis, distincte de l’Angströms, semble, à première vue, lever ce problème.

Toutefois, ce système est ambigu et présente un inconvénient majeur : il ne donne que des valeurs relatives, fonction de l’étalonnage de l’opérateur, de sorte qu’il n’est pratiquement pas possible de comparer, pour une même étude, les résultats obtenus par différents radiesthésistes-géobiologues. Pour s’en convaincre, il suffit de lire les niveaux vibratoires différents relevés par différents auteurs (de livres) et géobiologues patentés sur les mêmes  hauts-lieux ou, par exemple, pour définir la plage des vibrations du cancer.

Il suffit aussi de regarder les abaques et cadrans utilisés par les uns et par les autres. A l’origine, la règle de Bovis, devenue ensuite, par commodité, cadran Bovis, était graduée de 0 à 10 000. Assez rapidement,  certains radiesthésistes-géobiologues,  ont trouvé cette échelle insuffisante et l’ont augmentée en la graduant d’abord, de 0 à 18 000uB, ou de 0 à 20 000uB, puis de 0 à 100 000uB, ensuite de 0 à 1 000 000uB. Aujourd’hui, on trouve des cadrans Bovis allant de 0 à 5 000 000uB et plus, et même, des cadrans allant de  -100 000 à +100 000uB ! Comment s’y retrouver dans une telle jungle ?  D’autant que, pour corser les choses, on fait des mesures du taux vibratoire, pour un même objet, sur plusieurs plans : plan physique, plan éthérique, plan astral, plan mental, plan causal, plan spirituel, plan divin…

Peut-être faudrait-il déjà s’entendre sur ce qu’est un taux vibratoire ! Voici, par exemple, la définition que j’en ai trouvée sur le site d’un géobiologue professionnel : « c’est la fréquence de vibration d’un lieu. ». Tiens donc ! Moi qui croyais qu’une fréquence s’exprimait en Hertz (Hz), c’est-à-dire en nombre de cycles par seconde! Voila qui témoigne de l’imbroglio de cette notion de niveau vibratoire puisque chacun semble ne pas parler tout-à-fait de la même chose.

Essayons de clarifier. Et, pour cela, utilisons quelques dessins. J’y ai mentionnés les composants d’une vibration simple, de type sinusoïdal : la longueur d’onde, l’amplitude et la fréquence. On voit clairement que, pour une amplitude donnée, la longueur d’onde augmente quand la fréquence diminue et inversement.

 

Une vibration donnée doit donc s’exprimer  de façon précise et deux opérateurs ne peuvent pas en donner une valeur (sensiblement) différente, même si la mesure est effectuée de manière radiesthésique.

Pour cela, l’un des outils  utilisé en radiesthésie-géobiologie est le cadran équatorial, dit aussi cadran universel, gradué en degrés (de 0 à 360°), divisé en 2 parties : une partie électrique (de 0 à 180°) et une partie magnétique (de 180 à 360°) et orienté selon les points cardinaux (le Nord se situant à 0°). Sur ce cadran sont également positionnées les couleurs radiesthésiques (au nombre de 12), que l’on retrouve, à la fois, sur la partie électrique et la partie magnétique. Il permet  de définir une vibration donnée exprimée en degrés (ou en couleur, ou en son, etc.). C’est un moyen  très précis  mais peu commode en dehors d’une habitation. Il a son équivalent dans les pendules avec le pendule équatorial, le pendule universel et le pendule à cône fictif, qui sont cependant plus succincts puisqu’ils  ne permettent pas de donner une vibration au degré près, voire à 10° près.

Certains géobiologues se sont totalement écartés de l’échelle de Bovis et ont mis au point des substituts. C’est le cas, en particulier, de Boune LEGRAIS et Gilbert ALTENBACH qui ont défini une nouvelle règle de mesure appelée « Géodynamètre », graduée en unités d’énergie vibratoire allant de -50 à +50, permettant de classer l’équilibre ou le déséquilibre d’un lieu (onde de vie) mais aussi  de préciser l’énergie vitale des aliments ainsi que l’énergie vitale d’un être vivant. Il s’agit là d’un outil extrêmement fiable et qui permet des comparaisons. Personnellement  je l’emploie systématiquement, même si je fais, parallèlement, des mesures avec le cadran de Bovis.

Un autre abaque de mesure mérite d’être signalé : il s’agit  du « Géobiolabe » de Jean-Paul DILLENSEGER, moins connu que le géodynamètre.

A noter aussi que l’on évoque souvent la fréquence de résonance de la terre, appelée résonance de SCHUMANN. Cette fréquence, est constante, en moyenne, à 7,8 Hz . L' accélération que l'on semble ressentir se traduit en termes d’accélération du temps : actuellement, une journée de 24 heures ne correspond plus qu’à 16heures de temps réel ! Tous les êtres vivants de la terre sont ainsi poussés à s’adapter à ce changement phénoménal  qui a des répercussions sur notre sommeil (ondes thêta et alpha), notre relation aux autres, notre système immunitaire, notre perception du temps, etc.

Pour clore cet article, je souhaite attirer l’attention sur un point important : parmi ceux qui s’intéressent à la géobiologie ou (et) qui la pratiquent, il en est qui éprouvent,  jusqu’à l’addiction,  le besoin d’augmenter, vaille que vaille, le niveau vibratoire (satisfaisant) de leur habitat, prétendant que plus celui-ci sera élevé, plus ils s’y sentiront bien. Une telle approche est, de mon point de vue, totalement erronée : un niveau vibratoire trop haut ne permet pas de vivre dans la sérénité et son impact est donc nocif pour ses habitants. Ce qui compte, c’est d’être dans une résonance harmonieuse avec son environnement, sachant que ce qui convient à l’autre ne vous convient pas forcément. Quand je vais faire une expertise géobiologique, je demande, d’abord, aux occupants de l’habitation à étudier comment ils se sentent dans leur logement (sommeil, bien être ou mal être, problèmes de santé, etc.) et, s’il y a des plantes, je regarde si elles sont « joyeuses » et correctement développées, ce qui me renseigne déjà sur la qualité vibratoire du lieu.

 

 

Il n’est pas aussi anodin que çà de brancher une lampe de chevet !

 

Peu de gens savent qu’une lampe de chevet, une lampe de bureau ou une lampe posée sur une commode, si elle est branchée dans le mauvais sens, va rayonner un champ électrique permanent  qui affectera les personnes (mais aussi les plantes ou les animaux) placées à proximité.

Normalement, lorsque la lampe est éteinte, le courant devrait être interrompu et, en même temps le champ électrique rayonnant produit, et donc la nuisance pour les êtres vivants. Seulement, l’interrupteur placé sur les fils, entre la lampe et la prise électrique, est unipolaire, c’est-à-dire qu’il ne « coupe Â» qu’un seul fil. Or, si c’est le neutre (le -) qui est « coupé Â», la phase (le +) n’est pas interrompue et, par conséquent, le câble reste  sous tension jusqu’à la lampe et, bien que celle-ci soit éteinte, le champ électrique rayonne ses méfaits comme si la lampe était allumée. Il suffit de débrancher et de rebrancher en inversant les plots dans la prise pour faire cesser la nuisance.

Ce qui est embêtant, c’est que, lorsque l’on branche la lampe, on ignore quel est le fil « coupé Â» et on ne sait donc pas si la tension électrique est maintenue ou non jusqu’à la lampe. Alors, comment faire ? En fait, il y a plusieurs solutions à ce problème, de la plus simple et économique à la plus sophistiquée  mais plus onéreuse :

-il suffit de débrancher la lampe lorsque l’on ne s’en sert pas !

-remplacer l’interrupteur par un interrupteur bipolaire

-mettre une multiprise avec interrupteur juste avant la prise et utiliser cet interrupteur pour éteindre la lampe

-vérifier le sens du branchement avec un détecteur de champ électrique

-remplacer le câble d’alimentation de la lampe par un câble blindé (ce qui suppose que la prise de branchement soit reliée à la terre).

On comprend mal que le législateur n'ait pas imposé aux fabricants de lampes les interrupteurs bipolaires !

Ce type de problème n’est pas spécifique aux lampes. Il  concerne tous les appareils équipés d’un interrupteur unipolaire (par exemple, les réveils radios). La pollution électrique produite est très loin d’être négligeable, surtout lorsque l’appareil est posé à côté d’un lit (cas des lampes de chevet et des réveils radios). Si, de surcroît, le lit ( ou la lampe) est métallique, la nuisance sera amplifiée.

Sachez que, sur le plan de la santé, ces branchements sont la cause de rhumatismes, d’insomnies, de malaises, de problèmes dentaires, de difficultés à cicatriser des plaies, de tumeurs,  d’algodystrophie, etc. C’est donc une question à prendre très au sérieux et que se pose tout bon géobiologue lorsqu’il procède à des investigations dans une habitation.

 

La radiesthésie mérite d'être universellement reconnue

 

Ce n'est pas parce que la science ne sait pas correctement expliquer la radiesthésie qu'elle doit la nier...

 Armand VIRE, scientifique français,  directeur de laboratoire de biologie souterraine à l'Ecole des Hautes Etudes il y a plus d'un siècle, fut un de ces détracteurs de la radiesthésie jusqu'au jour où le géographe et radiesthésiste Henri MAGER lui proposa une expérience visant à faire découvrir, par des sourciers, un ensemble de carrières dont la cartographie n'était pas publique. Le succès de l'expérience ébranla fortement les convictions de VIRE qui déclara : "...les faits étaient là. Je ne pouvais, ni ne voulais-les étouffer, et force me fut, en examinateur impartial, de proclamer, urbi et orbi, que les sourciers existaient bel et bien, qu'il y avait lieu de les prendre au sérieux et d'examiner scientifiquement les possibilités et les limites du phénomène qu'ils venaient de nous révéler". Cette ouverture d'esprit, qui conduisit Armand VIRE à devenir l'un des plus célèbres radiesthésistes de son temps, n'est, malheureusement , que l'apanage de quelques-uns. Aujourd'hui encore, alors que la radiesthésie a fait, depuis longtemps, ses preuves indiscutables dans un tas de domaines (recherche de  sources d'eau souterraines, de nappes pétrolifères, de gisements de minéraux de toutes sortes, recherche de disparus, résolution d'énigmes policières, recherches archéologiques, etc.), elle reste largement controversée et combattue, voire même considérée comme une forme de superstition ou de charlatanisme, notamment par la très grande majorité du milieu scientifique et, en particulier, en France. Ce mépris et ce déni  affirmés et sans cesse renouvelés n'ont pourtant aucun fondement, en dehors d'une croyance arbitraire qui ne s'est même pas donnée la peine de vérifier que la radiesthésie obtenait des résultats indéniables, souvent bien supérieurs à ceux obtenus par des méthodes scientifiques. On peut même se demander si certains scientifiques ne cherchent pas à discréditer la radiesthésie et ses pratiquants par peur d'être mis en cause dans les résultats aléatoires qu'ils obtiennent dans leur discipline, en dépit de moyens financiers importants.  Dans cet ordre d'idée, on peut citer les géologues et les hydrologues qui obtiennent, dans la recherche de l'eau, des résultats très en-deçà de ceux obtenus par les sourciers, malgré des études longues et coûteuses. Il est affligeant de constater que, par étroitesse d'esprit, on puisse nier, de façon péremptoire, des faits avérés, renouvelés, indiscutables, tout simplement parce qu'on n'est pas en mesure de les comprendre et de les expliquer et qu'ils mettent en cause des doctrines scientifiques.

Toutefois, il faut reconnaître que certains néophytes de la radiesthésie, manquants d'expérience  et de savoir-faire, font des promesses et lancent des défis qu'ils ne sont pas en mesure de tenir, provoquant une suspicion voire un rejet de la discipline. Ces radiesthésistes incompétents (mais n'en est-il pas ainsi dans tous les domaines ?), trop sûrs d'eux, imbus d'eux-mêmes et prétentieux,  ont fait et continuent de faire beaucoup de tort à cette spécialité.

Mêmes les Marines américains eurent recours à la radiesthésie lors de la guerre du Viêtnam pour localiser les tunnels , les caches de munitions, les vivres et les messages secrets du Viêt-Cong.

Les Russes sont, à ma connaissance, ceux qui ont mené le plus d'expériences scientifiques  sur ce qu'ils appellent l'effet biophysique, à partir des années 1960. Certes, chez eux aussi, les partisans de la radiesthésie eurent à faire face aux scientifiques conservateurs et aux sceptiques ; mais les succès obtenus, en particulier en géologie, en géophysique, en recherche d'eau, de pétrole, de gisements de mines, et à grandes profondeurs, ou encore en archéologie, et à des coûts faibles, eurent raison de cette opposition de principe et cette discipline est maintenant largement reconnue dans ce pays et amplement utilisée, y compris par les services de l'Etat.

Chez nous, il en va bien différemment : les "officiels" et le "monde scientifique" gardent obstinément leurs Å“illères.  Vous pouvez multiplier les expériences concluantes : rien n'y fait ! Des milliers de preuves n'ébranlent pas leurs certitudes ! D'ailleurs, il suffit de regarder la définition que donne Wikipédia de la radiesthésie pour être édifié : il parle d'un procédé divinatoire ! Rien que çà !

Combien de temps cette position absurde durera- telle ? Nul ne le sait...Au train où vont les choses, c'est-à-dire bien plus lentement que ce qu'en disent certains,  elle peut continuer de prévaloir encore longtemps, aussi longtemps que le paradigme scientifique abusera d'un pouvoir que la majorité de la population (aveuglée et manipulée) lui reconnaît.

L’eau informée

 

L’eau est le milieu idéal  pour mémoriser des informations et des énergies et pour les transmettre aux êtres vivants. Cette capacité est connue depuis très longtemps, au moins depuis l’époque mégalithique, puisqu’on la retrouve utilisée pour le choix de l’emplacement des menhirs, des dolmens, des cromlechs puis, plus tard, pour l’implantation des chapelles, églises, abbayes et cathédrales romanes.

On sait aussi, aujourd’hui, comment nous recevons, au cours de notre sommeil, des informations de notre Guide spirituel (ou notre « Double Â», si vous préférez) et comment elles sont conservées. Ces informations sont en effet stockées sur notre « Disque dur Â»personnel, lequel est l’eau dont notre corps est constitué à plus de 70%.

On appelle « eau informée Â», une eau dans laquelle on a volontairement enregistré une ou des informations particulières, dans un but déterminé. Un exemple connu est celui de l’ Â»eau diamant Â» qu’a fabriqué et diffusé Joël DUCATILLON.

En fait, n’importe qui peut produire de l’eau informée. Voici une méthode faisant appel à la radiesthésie :

Supposons que je souhaite soigner, de manière biologique,  une plante d’appartement, mais que je n’aie pas le remède approprié ; imaginons que le soin qui serait adéquat pour ce végétal soit une infusion de tanaisie, mais que je n’aie pas cette plante sous la main, et que je ne trouve pas l’infusion dans une jardinerie. Comment faire ? Eh bien, la solution est de donner la vibration de la tanaisie à de l’eau ordinaire et d’arroser, régulièrement,  la plante à soigner avec cette eau informée.

Pour informer l’eau, je vais procéder de la manière suivante :

Il me faut un « témoin Â» de la tanaisie ; pour cela, je vais rechercher dans un livre, une encyclopédie ou sur internet, une photo ou une image de la tanaisie. Ensuite, je vais remplir une bouteille en verre de l’eau du robinet et la poser, sans la fermer,  au milieu de la photo (ou de l’image) de la tanaisie. Je prends alors mon pendule, en giration au-dessus de la bouteille, et le laisse ainsi jusqu’à ce qu’il s’arrête (soit plusieurs minutes), c’est-à-dire le temps nécessaire pour que l’information « tanaisie Â» soit enregistrée dans l’eau ; bien sûr, il faut s’aider d’une convention mentale précise et simple du genre « je demande à ce que l’eau ait toutes les caractéristiques vibratoires de la tanaisie figurant sur la photo, le pendule girera jusqu’à ce que cette requête soit satisfaite. Â». Lorsque le pendule s’arrête, l’information « tanaisie Â» a été transférée intégralement à l’eau. Pour fixer durablement cette information, il reste à poser la bouteille au milieu d’une feuille de format A4 sur laquelle aura été dessiné ou photocopié un décagone et de laisser, comme auparavant, et avec la convention appropriée, girer le pendule jusqu’à son arrêt, ce qui requiert encore quelques minutes. La bouteille est alors fermée hermétiquement et entreposée dans un endroit frais et à l’abri de la lumière.

Cette eau peut, dès lors, être utilisée comme s’il s’agissait de la tanaisie ; elle aura les mêmes effets.

Cette expérience peut être faite avec n’importe quel minéral ou végétal, selon vos besoins.

L'émetteur-grille

 

Les dessins actifs émettent selon les principes de la radionique. Ils ont été découverts après la seconde guerre mondiale et sont toujours utilisés en raison de leur efficacité et de leur faible coût. Ces dessins sont, en principe, tracés à l'encre de chine noire sur des feuilles de bristol blanc mais ils s'avèrent encore plus performants s'ils sont imprimés avec de l'encre magnétique.

Dans cette gamme de produits, je vous présente l'émetteur-grille qui comprend  une grille de 240 cases, un emplacement carré, dans sa partie supérieure droite, destiné à y placer le témoin-sujet (par exemple, une photo d'identité), et un petit décagone, dans sa partie inférieure gauche, où l'on placera le témoin-but (c'est-à-dire l'objectif à atteindre qui pourra être simplement écrit sur un bout de papier). A cela, il faut ajouter 2 petits solénoïdes en cuivre ; on les construit en prenant un support cylindrique de petit diamètre (par exemple, un crayon) sur lequel on enroule , en serrant bien, un fil en cuivre de faible section (un fil électrique fait l'affaire) ; l'un de ces solénoïdes est bobiné dans le sens des aiguilles d'une montre, l'autre en sens inverse ; leur hauteur est de 2 ou 3 cm.

Pour employer l'émetteur-grille, on l'oriente au nord puis on place le témoin-sujet et le témoin-but à leurs emplacements respectifs ; ensuite, à l'aide d'un pendule on détermine le positionnement de chaque solénoïde. Il reste à définir la durée durant laquelle le dispositif doit rester en place et le nombre de séances nécessaires ainsi que leur fréquence pour atteindre une efficacité optimale ; cela se fait également au pendule avec la convention mentale adéquate. En principe, chaque séance dure de 20 mn à plusieurs heures.

Il peut être avantageusement recouru à cet instrument très simple et d'un coût négligeable,  à des fins thérapeutiques (par exemple, pour calmer une douleur) aussi bien chez les êtres humains que chez les animaux, pour la santé et la production des végétaux, dans le domaine horticole ou agricole, pour influer sur le temps et, même, pour agir sur le psychisme. Il va de soi qu'il ne faut pas le destiner à des fins négatives.

Les circuits oscillants simples (bracelets, colliers, ceintures)

 

Qu’est-ce qu’un circuit oscillant simple ?

Un circuit isolant simple est un fil métallique isolé courbé en cercle, soit fermé, soit ouvert avec les extrémités qui se chevauchent, soit avec les extrémités distantes l’une de l’autre.

 

Quelles sont ses propriétés ?

La propriété principale d’un circuit oscillant est d’entrer en résonance, celle-ci ne se produisant qu’à une certaine fréquence (que l’on appelle la fréquence de résonance). Lorsqu’il entre en résonance, il émet une onde électromagnétique. A l’inverse, lorsqu’il rencontre une onde électromagnétique dont la fréquence correspond à sa fréquence de résonance, il produit de l’énergie. C’est sur ce principe que fonctionnent tous les appareils émetteurs-récepteurs (radio, téléviseur, téléphone,...).

Ceci explique que les circuits oscillants ont des effets importants sur tous les êtres vivants (végétaux, animaux, humains). En particulier :

-ils ont une action sur la germination et la croissance des plantes qu’ils améliorent,

-ils atténuent voire suppriment la douleur,

-ils provoquent, chez un organisme agressé, les réactions de défense de celui-ci,

-ils diminuent voire compensent les négativités d’un lieu,

-ils réduisent notablement les effets de la radioactivité,

-ils équilibrent et stabilisent le champ oscillatoire là où ils sont placés.

 

Quels sont les différents oscillants que l’on peut employer ?

Les circuits oscillants simples sont utilisés depuis la nuit des temps. Ce sont principalement les bracelets, les colliers et les ceintures,  qui ont un impact favorable sur celui ou celle qui les porte, mis à part lorsque l’on est affecté par des inflammations. 

Il y a 3 types de circuits oscillants simples :

-l’oscillant ouvert,

-l’oscillant fermé,

-l’oscillant fermé par un diélectrique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment choisir un oscillant ?

Avant de choisir l’oscillant simple que l’on va porter, il convient de prendre en compte les éléments suivants :

-la nature du métal qui le compose influe sur son action,

-de même, la longueur de son périmètre,

-également, pour l’oscillant fermé par un diélectrique, la couleur de l’isolant,

-la période durant laquelle il sera porté et sa durée d’utilisation,

-un oscillant ne doit pas avoir servi à quelqu’un d’autre auparavant.

Le choix de ces différents paramètres se fait au pendule. Ce qui importe, c’est que l’oscillant soit en parfaite syntonie avec celui ou celle qui le porte. Dans ces conditions, son effet favorable sera rapidement et durablement ressenti.

 

Oscillant destiné aux plantes

Le recours à un circuit oscillant simple est une solution tout-à-fait adéquate pour soigner et rétablir une plante malade ou pour protéger un végétal  de l’attaque des parasites. La réalisation d’un tel circuit se fait avec un fil de cuivre ou avec un fil de fer (à déterminer au pendule), formé de 1 ou 2 spires, et selon une longueur définie au pendule (voir dessin ci-après) ; il peut être nécessaire de peindre le fil ou de l’enrouler à l’aide d’un ruban adhésif de couleur (là-encore, c’est le pendule qui permet de le savoir).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce dispositif agit, en outre, sur la croissance de la plante, la fait fleurir plus tôt et plus longtemps et améliore la qualité des semences.

Il est utilisé, avec profit, pour accélérer la germination des graines que l’on va semer et pour obtenir des plants plus robustes. Dans cet emploi, il faut réaliser l’oscillant avec un fil de cuivre de grosse section (diamètre à déterminer au pendule).

Un moyen intéressant pour soigner un arbre consiste à mettre en place 2 spires métalliques autour du tronc : la 1ère (spire B) part de la base du tronc, légèrement au-dessus du sol, et est enroulée, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, sensiblement jusqu’au milieu du tronc ; la 2nde (spire A) est enroulée, à partir du haut du tronc, dans le sens des aiguilles d’une montre, approximativement jusqu’au milieu de celui-ci, en veillant à ne pas toucher la 1ère spire (laisser un intervalle de 1 à 2 cm). La spire supérieure absorbe et restitue les énergies cosmiques tandis que la spire supérieure se nourrit des énergies telluriques et les restitue.

On peut utiliser un système  canalisant les mêmes énergies, pour une plante, à l’aide d’un circuit oscillant ouvert,  avec les pointes respectivement ouvertes en haut (antenne cosmique) et en bas(antenne tellurique).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oscillant destiné aux animaux

L’oscillant simple est également utilisé pour soigner ou protéger les animaux. Pour des raisons de commodité évidentes, la solution la plus simple est d’avoir recours à un collier. Celui-ci est fabriqué, par exemple, avec du fil de téléphone souple, éventuellement peint ou ceinturé d’un ruban adhésif de couleur (couleur définie au pendule). Comme pour l’être humain, il convient de préciser, au pendule, le type de circuit à employer ainsi que sa longueur.

 

Oscillant employé pour les habitations

Bien entendu, et c’est d’ailleurs une pratique relativement courante en géobiologie, une pièce d’habitation peut être protégée de certaines nocivités ambiantes par la mise en place d’un oscillant ouvert. Dans ce cas, il est très important de veiller à placer l’ouverture du circuit au Nord magnétique.

Cependant, il n’est pas toujours possible de poser un tel dispositif. Il peut alors être remplacé par la mise en place d’un pot de terre (genre pot de fleurs) rempli d’un mélange, par moitiés, de charbon de bois et de soufre, dans lequel est plantée une spire en fil de cuivre (voir dessin ci-après). On détermine au pendule :

-le diamètre et la longueur du fil,

-le nombre de spires,

L’endroit où placer le dispositif.

Le mélange de charbon de bois et de soufre est à changer régulièrement car il absorbe les nocivités et finit par se saturer (mélange à changer tous les 2 ou 3 mois. A vérifier au pendule).

 

Les faiseurs de pluie

 

Dans certaines contrées du globe , la sécheresse sévit souvent et longtemps, ce qui rend la vie particulièrement difficile à ses habitants. Dans les pays qui vivent encore dans le respect des  vieilles traditions (par exemple, dans une partie de l'  Afrique), on fait appel aux "faiseurs de pluie", ces sorciers ou chamans qui, lorsque la saison pluvieuse se fait trop attendre, se réunissent  autour d'un sanctuaire pour appeler la pluie , à l'aide de rites, d'offrandes, de chants et de danses et, à la fin de la cérémonie...la pluie se met à tomber ! Pour la plupart des Occidentaux , cela paraît étrange et improbable ! Et pourtant !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                              

De son côté, la technologie occidentale déploie ses moyens d'apprentis-sorciers sur le climat, depuis plusieurs décennies, et est en mesure, elle-aussi, de décider de faire pleuvoir et même d'agir, plus largement ,artificiellement sur la météorologie au point d'engendrer des phénomènes de tous ordres (tempêtes, typhons, tsunamis, sécheresses, etc.)...Depuis les années 60, en utilisant des générateurs d'iodure d'argent pilotés par des ordinateurs, on peut ensemencer des nuages et provoquer des pluies ou des précipitations de neige. Cette technique a, d'ailleurs, été utilisée  par les Américains lors de la Guerre du Vietnam pour rendre impraticable les voies de circulation aux déplacements des engins militaires ennemis. Ce contrôle de la météo n'est évidemment pas sans conséquences et se révèle polluant.

Déjà, au début du XXème siècle, Charles Mallory HATFIELD, par un procédé employant des fumées produites à partir de produits chimiques, pouvait faire pleuvoir à la demande ; il devint d'ailleurs très célèbre dans le monde entier.

A notre époque, les expériences de manipulation du climat se multiplient, dont certaines sont secrètes. D'aucuns ont prétendu que la tempête de 1999 avait été provoquée par les Américains pour peser sur une décision du gouvernement français de l'époque  (celui de Lionel JOSPIN) : il est, évidemment, impossible de vérifier une telle supposition. De même, selon certaines sources, une tempête aurait aussi été déclenchée par les Russes dans les Balkans, et notamment en Roumanie, à des fins politiques.

Wilhelm REICH, au milieu du XXème siècle, a construit un appareil, le cloudbuster, composé de tubes de cuivre et d'orgonite, et sensé faire tomber la pluie, mais il n'a jamais été officiellement reconnu par la communauté scientifique. Don CROFT a ensuite, à partir de cet appareil,   inventé le chembuster, qui comporte, outre des tubes en cuivre et des orgonites, des cristaux de quartz bi-terminés,  et qui favoriserait  une pluviométrie "équilibrée" entre les saisons sèches et les saisons humides. Là encore, on ne peut se faire clairement une opinion sur ces dispositifs très contestés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus récemment une société suisse, travaillant pour le compte des Emirats arabes unis, aurait mis au point un procédé de déclenchement de pluies dans des régions arides à l'aide de parasols ioniseurs géants envoyant massivement des ions négatifs dans l'air pour agréger les poussières et ainsi créer des petits nuages. Ce système aurait été employé, avec succès, de nombreuses fois.

D'autres technologies sont, sans doute, étudiées et employées de par le monde. Nul doute aussi que ces systèmes modernes sont à l'origine d'anomalies climatiques et de catastrophes dites "naturelles". Nous sommes bien loin des "faiseurs de pluie" de la Tradition !

La pensée occidentale  s'appuie sur le principe de causalité et c'est pourquoi elle rejette tout système qui ne permet pas de remonter à sa cause. Elle est donc limitée et ne permet pas de comprendre que le monde est unifié et que tout est relié, hors de l'approche linéaire de l'espace-temps. La pensée orientale a une autre vision du monde et est attentive aux coïncidences significatives. Voici une histoire très connue, très souvent citée parce qu'éloquente, qui illustre mon propos :

Il y eut une terrible sécheresse dans la partie de la Chine où vivait Richard Wilhelm. Après que les gens eurent essayés, en vain, tous les moyens connus pour obtenir la pluie, ils décidèrent d'envoyer chercher un faiseur de pluie. Cela intéressa beaucoup Wilhelm qui s'arrangea pour être là quand le faiseur de pluie arriva. L’homme vint dans une charrette couverte : un petit vieux desséché, qui renifla l’air avec une répugnance évidente quand il sortit de la charrette et qui demanda qu'on le laissât seul dans une petite cabane en dehors du village ; même ses repas devaient être déposés à l’extérieur, devant la porte. On n’entendit plus parler de lui pendant trois jours ; puis, non seulement il plut mais il y eut aussi une grosse chute de neige , ce qui ne s’était jamais vu en cette époque de l’année. Très impressionné, Wilhelm dénicha le faiseur de pluie et lui demanda comment il se pouvait qu'il ait pu faire de la pluie, et même de la neige. Le faiseur de pluie répondit : " Je n'ai pas fait la neige ; je n'en suis pas responsable." Wilhelm  insista : il  y avait une terrible sécheresse jusqu'à sa venue et puis après trois jours il y avait eu des quantités de neige. Le faiseur de pluie répondit :« Oh, cela je peux l’expliquer . Voyez- vous, je viens d’un endroit où les gens sont en ordre ; ils sont en Tao, alors le temps aussi est en ordre . Mais en arrivant ici, j'ai vu que les gens n'étaient pas en ordre et ils m'ont aussi contaminé. Je suis donc resté seul jusqu'à ce que je sois de nouveau en Tao, et alors, naturellement, il a neigé."

(Extrait du livre "Rencontres avec l'âme. L'imagination active selon Jung", de Barbara HANNAH)..

Pour terminer, je voudrais vous conter une petite histoire personnelle qui relève de cet ordonnancement acausal et qui élève la qualité d'un moment temporel, de manière magique.

Je me trouvai, en compagnie de ma sœur, en vacances en Auvergne, au mois de juin 2010. Il faisait, journellement, un temps exécrable et très pluvieux. Nos vacances étaient prévues essentiellement pour des randonnées pédestres pour profiter de la nature singulière de cette région. Les conditions climatiques, particulièrement défavorables, gênaient ce programme, sans toutefois le bouleverser. Un jour que nous avions entrepris l'ascension du Puy de Dôme, les précipitations pluvieuses s'intensifièrent à tel point que nous dûmes absolument nous arrêter et nous mettre à couvert (plutôt symboliquement d'ailleurs car la végétation des arbres était fort insuffisante  et la pluie bien trop généreuse pour que nous en soyons protégé). Nous restâmes ainsi,  cependant, à attendre mais au bout d' une heure la pluie continuait de se déverser d'abondance et il nous semblait que rien ne pourrait l'arrêter. C'est alors que je dis à ma sœur que j'allais m'adresser au Deva de la Pluie pour demander un cadeau exceptionnel : que la pluie s'arrête, durant au moins 3 heures, pour nous permettre de terminer cette ascension et de pouvoir admirer, au sommet du puy, la magnifique étendue des monts et cratères de l' Auvergne. Sitôt annoncé, sitôt fait : avec respect, j'ai sollicité la venue du Deva de la Pluie et je l'ai prié de bien vouloir nous accorder la grâce d'interrompre, pendant quelques heures, la pluie. A peine avais-je formulé cette requête que, comme par miracle, les précipitations se sont arrêtées brutalement et que le ciel s'est éclaircit de manière totalement inattendue.  Ma sœur m'a regardé, incrédule, effarée, n'en croyant pas ses yeux, répétant "Mais ce n'est pas possible !". Cà l'était pourtant ! Ma demande, sincère et confiante, avait été exaucée ! Et le reste de l'après-midi nous bénéficiâmes d'une belle éclaircie. Sitôt rentrés à notre location, la pluie se remit à tomber...

                                                    

Mangez-vous de "bons" Å“ufs ?

 

Cette question peut faire sourire...

Si vous êtes radiesthésiste, vous pouvez y répondre facilement  en vérifiant la polarité du jaune et celle du blanc de l'un des Å“ufs que vous allez consommer.

Comment procéder ?

Prenez un Å“uf et séparez le jaune et le blanc, en les mettant dans des bols distincts. Prenez votre pendule et mettez-vous au-dessus du bol contenant le jaune et lancez-le en oscillations, avec la convention mentale  suivante :" mon pendule tournera dans le sens d'harmonie si la polarité est positive, dans le sens inverse si elle est négative". Faire la même chose avec l'autre bol. Notez les résultats.

Si votre œuf est "normal", vous obtiendrez les polarités suivantes :

-positive pour le jaune,

-négative pour le blanc.

Si vous achetez des Å“ufs "bio", vous remarquerez qu'ils sont correctement polarisés et, par conséquent, leur consommation est bénéfique (résonance harmonieuse avec nos cellules). Par contre, les Å“ufs de batterie ont, systématiquement, des polarités inversées et sont donc nocifs pour la santé (en résonance avec les cellules malades). Pour les Å“ufs élevés en plein air, selon les cas, les polarités sont ou ne sont pas normales selon que  les poules dont ils proviennent sont  ou pas stressées en raison de conditions de vie trop ou pas difficiles , selon l'alimentation qu'elles reçoivent et selon les vaccins et traitements vétérinaires qui leur sont infligés.

Evidemment, ce que je dis là n'est pas écrit sur les Å“ufs et, à ma connaissance, cette différence fondamentale entre les Å“ufs très bon marché et les autres n'a jamais fait l'objet d'une information auprès des consommateurs...Il est vrai que la radiesthésie étant souvent décriée, elle ne fait, pas plus qu'ailleurs, référence dans le domaine de l'alimentation, ce qui est fort dommage car elle permet facilement de séparer le bon grain de  l'ivraie ; mais le veut-on ?

Malheureusement ce que je dis à propos des œufs peut être transposé à tous les aliments. Voila pourquoi, en dépit des progrès indiscutables de la médecine et de la diététique, les maladies se multiplient...avec leur cortège de souffrances.

Les pierres à cupules

 

Dans les Vosges, mais aussi dans d'autres contrées, au gré des randonnées, on rencontre assez fréquemment, des roches anciennes (Néolithique) comportant des évidements cupuliformes plus ou moins grands (de quelques centimètres à plusieurs dizaines de centimètres) et plus ou moins profonds (de quelques centimètres à plusieurs dizaines de centimètres), à plusieurs niveaux (dénivelé fonction de la forme du rocher dans lequel elles se trouvent), souvent reliés entre eux par des rigoles. C'est ce qu'on appelle des pierres à cupules ou des pierres à bassins (pour celles dont les creux sont de taille relativement importante ; lorsque l'on peut s'y assoir, on parle même de baquet). On peut penser que ces pierres se sont évidées par un phénomène d'érosion tenant au fait que le grès rose des Vosges n'est pas homogène et comporte certaines parties plus tendres qui ont pu éclater et se désagréger , au cours des hivers, au gré des épisodes de gel et de dégel. Incontestablement, certaines cupules se sont formées ainsi. Cependant, il est non moins évident que, parmi celles-ci, certaines ont été agrandies, arrondies et reliées par des petits canaux par la main de l'homme (les Celtes et ceux qui les ont précédés, notamment) et que d'autres sont de création purement humaine.

Il est affligeant de constater qu'il est courant que des gens  -en particulier des archéologues-  considérèrent que ces pierres étaient des pierres à sacrifices comme si nos ancêtres gaulois et les peuples qui les ont précédés étaient des barbares violents et sanguinaires...La "petite histoire", enseignée dans nos écoles et même dans nos universités, a imposé cette pensée unique...complètement fausse et... nullement étayée.

La géobiologie, notamment par les renseignements qu'elle donne en ce qui concerne le tellurisme des lieux où se trouvent ces pierres, permet une approche bien différente et bien plus crédible. Car ces pierres à cupules bénéficient généralement d'une vibration cosmo-tellurique élevée, à un point tel qu'elles peuvent souvent être considérées comme étant situées dans des "hauts lieux". Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais l'eau qui stagne dans ces cupules ne croupit pas , en dépit des feuilles qui s'y déposent et de la mousse qui y pousse, sans parler du sable et de la terre qui la troublent. C'est un indice qui montre bien que ces cupules sont des réceptacles sains et situés sur des points particuliers. Il est fréquent de trouver ces cupules et bassins parcourus par un courant tellurique et centrés sur un vortex ou une cheminée  cosmo-tellurique positive ainsi que sur un croisement de réseaux géomagnétiques, de niveau 3 ou 4. Quand on y mesure l'onde de vie, au géodynamètre, elle dépasse souvent + 15 ou +20, ce qui correspond à des hauts-lieux bénéfiques où il est possible de se recharger en magnétisme vital, voire +25 à +35, ce qui correspond à des hauts-lieux à vocation thérapeutique.

Les pierres à cupules sont des pierres guérisseuses ! Cela tient au fait, comme je viens de l'indiquer, de leurs particularités telluriques liées à leur positionnement. Mais cela tient aussi au fait que l'eau de pluie qui séjourne dans ces cupules se magnétise et se dynamise naturellement par ces fortes énergies telluriques mais aussi par les actions conjuguées du soleil, de la lune, des planètes et de toutes les influences cosmiques. Sans exagérer, on peut dire que cette eau est une eau exceptionnelle, miraculeuse, aux vertus prodigieuses. Les initiés Celtes et leurs ancêtres le savaient bien et y faisaient macérer des plantes médicinales pour les utiliser afin de soigner efficacement les personnes malades. Pour accroître les bienfaits de ces macérations, on tenait compte du calendrier lunaire et on sollicitait rituellement l'aide des divinités. Chaque cupule ayant une vibration différente a un effet thérapeutique spécifique ; la pierre , par effet de résonance avec les étoiles, stocke une énergie. L' utilisation efficiente des cupules, à des fins thérapeutiques, nécessite une connaissance et un savoir particuliers. De nos jours, quelques druides et quelques chamans initiés ont encore recours à ces pierres pour effectuer des soins.

Si vous voulez vous convaincre de la puissance bénéfique et très particulière de ces pierres, je vous suggère de vous coucher sur l'une d'elles, par une journée chaude et ensoleillée,  et de vous détendre complètement. Restez ainsi jusqu'à vous sentir à la limite de vous assoupir. Vous constaterez que votre conscience s'élargit et que vous vous sentez merveilleusement bien. Votre corps fera le plein d'énergie et sera purifié.

Les soi-disant bienfaits des lampes à sel

 

Je me décide à écrire un article sur les lampes à sel car, dans la plupart des habitations où j'investigue (en tant que géobiologue), j'en rencontre régulièrement. Elles sont généralement placées dans le salon et les chambres à coucher. Lorsque j'interroge les personnes sur les raisons les ayant amené à acquérir ces lampes, j'obtiens quasi-systématiquement une réponse du type suivant :

-ces lampes produisent une ionisation bénéfique, compensant, en partie, la dégradation de l'atmosphère provenant des pollutions électromagnétiques,

-elles sont reposantes et agréables à regarder.

Le premier de ces pseudo arguments est, bien sûr, celui que le vendeur a fait valoir...Certains fabricants n'hésitent pas à donner des "preuves scientifiques" des bienfaits dit incontestables de ces lampes et le charabia employé va de pair : "caractéristiques biophysiques et biochimiques", "oscillation électromagnétique", "structure atomique électriquement neutre", etc. Ils emploient aussi les arguments des défenseurs du bio (les sels sont naturels, n'est-ce pas !) et de ceux qui se revendiquent "Nouvel Age", dans un savant mélange de phrases et de mots percutants que l'on fait évoluer en fonction du client à qui l'on a affaire. Il faut dire que, la plupart du temps, ceux qui vendent ces lampes font leur commerce dans les salons de bien-être, les salons, les salons zen, et tutti quanti...Et, pour apporter à la confusion, très souvent, ils vendent aussi des pierres naturelles, des cristaux et autres et prodiguent leurs conseils (par forcément éclairés) en lithothérapie...

Soyons sérieux !

Personnellement, je connais assez bien le phénomène de l'ionisation de l'air, depuis les années 1980,  notamment pour en avoir discuté longuement et pour avoir échangé de nombreux courriers à ce sujet avec le professeur METADIER, qui a fait autorité, en France, pour ses recherches dans ce domaine, en collaboration avec des savants soviétiques. Quand on sait, d'une part, que pour une pièce de 9 à 20 m², il faut un flux minimal de 8.000 milliards d'ions négatifs à la seconde, pour que l'ionisation apportée soit suffisante et que, d'autre part, ils doivent être diffusés, par exemple par ventilation, car leur durée de vie est infiniment courte, il paraît tout de suite évident qu'une lampe à sel  est bien incapable d'assurer ces conditions (et pourtant je vois des fabricants de lampes à sel qui osent affirmer que leurs lampes ont une ionisation supérieure à un ioniseur !).

S'il est vrai qu'une lampe à sel produit bien des ions négatifs (ceux qui sont bénéfiques à la vie), il n'est pas moins vrai que :

-que cette production est infime,

-et qu'elle est détruite aussitôt que produite par le champ électromagnétique de la lampe,

-et que, par conséquent, elle n'arrive jamais à destination.

Par contre, les effets négatifs de la lampe à sel (généralement passés sous silence) sont bien là :  ce sont  ceux des lampes classiques (champ électromagnétique) auxquels s'ajoute la diffusion de nanoparticules de chlorure de sodium dans l'atmosphère.

Conclusion : hormis leur aspect esthétique, ces lampes, comme toutes les lampes, sont polluantes et, assurément, pas bienfaisantes.

Pour terminer, je vous renvoie à un  témoignage sur les problèmes de santé qui peuvent être provoqués par ces lampes :  http://www.lamacrobiotique.com/LISEZ-MOI/lampeasel.html

Les téléphones sans fil Eco-DECT+

 

On ne le dira jamais assez : les téléphones sans fil numériques (technologie DECT), tout comme les téléphones portables, émettent des hyperfréquences très préjudiciables à la santé humaine et parmi les plus préoccupantes de l’habitat. Même quand on ne les utilise pas, ceux-ci génèrent  de la pollution électromagnétique depuis leur base, c’est-à-dire 24 heures sur 24, et ceci dans un rayon de plusieurs mètres. Lors d’expertises, il m’arrive fréquemment de trouver des habitations entièrement couvertes par ces  émissions très nocives provenant du téléphone. La sagesse devrait conduire à revenir au téléphone filaire mais qui accepterait, aujourd’hui, de se « priver Â» des nouvelles technologies ? On préfère faire l’autruche sur le danger très important que présentent ces appareils plutôt que de privilégier une attitude jugée ringarde mais responsable consistant à employer le téléphone filaire et à exclure, en même temps, l’usage d’un portable…

Tous les téléphones sans fil fonctionnent sur une plage de fréquences qui se situe autour de 1900MHz, avec des informations pulsées à 100Hz. Le niveau d’émission est variable selon les modèles de téléphone mais il se situe autour de 10 000µW/m², soit 2V/m, à 1m de distance, ce qui veut dire que l’on est aussi exposé que si l’on se trouvait en face d’une antenne-relais !

Quelques fabricants ont mis au point des téléphones excessivement peu polluants, appelés Eco-DECT et, parmi ceux-ci, des modèles Eco-DECT + qui sont ceux qui émettent le plus faible rayonnement.

La réglementation européenne impose que figure, sur les téléphones, le DAS qui est le Débit d’Absorption Spécifique, qui mesure le niveau de radiofréquences émis vers l’usager lorsque l’appareil fonctionne à pleine puissance, dans les plus mauvaises conditions. Son unité est le watt par kilo (W/kg)  ou milliwatt par kilo (mW/kg). La règlementation française (décret du 8/10/2003) impose un DAS<2W/kg (2 000mW/kg) sur 10g de tissu humain, au niveau du tronc et de la tête, ce qui est, pourtant, un niveau de nuisances considérable.

Les téléphones Eco-DECT ont, heureusement, un DAS beaucoup plus faible ; ils se classent en 4 catégories (norme allemande) :

-classe 1 : 0 à 30mW/kg ; appartient à la catégorie des Eco-DECT + +

-classe 2 : 31 à 80 mW/kg ; appartient à la catégorie des Eco-DECT +

-classe 3 : 81 à 130mW/kg

-classe 4 : 131 à 200mW/kg

Par ailleurs, ces téléphones Eco-DECT, contrairement aux autres téléphones numériques, ne rayonnent plus quelques instants après avoir été raccrochés et ils modulent leur puissance, lors des communications, en fonction de la distance qui vous sépare de la base, au lieu d’émettre à pleine puissance comme les appareils DECT classiques.

Mon conseil : équipez-vous d’un téléphone ECO-DECT ++ ou Eco-DECT +. A ma connaissance, les modèles les moins polluants du marché sont les suivants :

-ORCHID LR4620

-SWISSVOICE FULLECO

-SIEMENS GIGASET Eco Mode +

Pendule, baguettes ou biochamp ?

 

Voilà une question d’école ! Selon le formateur en géobiologie à qui l’on a affaire, la réponse –dans la plupart des cas, tranchée- n’est pas la même ! Les radiesthésistes ne jurent que par le pendule et les baguettes alors que d’autres considèrent que se passer d’instruments  et utiliser son biochamp est la méthode la plus sûre !

Personnellement, je fais appel aux deux techniques et ne les opposent pas. Ce qui importe, c’est d’obtenir des résultats.

Les baguettes (rad-masters) sont, pour le débutant, la solution la plus facile ; çà marche tout de suite et çà permet d’être opérationnel dans un temps record ; il faut y associer le pendule qui est un complément indispensable, notamment pour les mesures (en faisant appel à la règle de Bovis et à des cadrans). Avec ce matériel, on peut tout faire, et rapidement. Il faut des conventions mentales précises et rigoureuses et agir dans la neutralité ; sous ces conditions, le succès est assuré. Pour les mesures, il faut avoir conscience qu’elles n’ont, souvent, qu’une valeur relative, mais ce n’est qu’un défaut apparent.

Le recours au biochamp est plus difficile. D’abord, pour ressentir une couche de son corps énergétique, il ne faut pas être squatté par une entité (ou, plus rare, porter sur soi un Esprit de la Nature) ; ensuite, il faut faire attention à ce que votre main gauche (celle avec laquelle vous allez sentir votre biochamp) ne soit pas devant un chakra. Enfin, il faut , pour certains, un entraînement pour percevoir une couche du corps énergétique. Tout ceci est assez subtil et nécessite de l’attention. Ceci étant, il n’y a pas à traîner avec soi un matériel et c’est bien commode. On peut penser aussi que le contact direct est plus fiable que celui qui utilise un intermédiaire amplificateur.

En ce qui concerne les protocoles employés par chaque méthode, ils sont assez semblables et lorsque l’on vérifie les résultats obtenus par l’une au moyen de l’autre, on obtient une confirmation quasi- systématique, sauf, bien sûr, si l’on est inexpérimenté.

En fin de compte, je crois qu’il faut pratiquer la géobiologie et la radiesthésie avec la technique avec laquelle on se sent à l’aise et qui donne des résultats fiables.

Plaidoyer pour une médecine de l’habitat

 

On aurait pu penser qu’avec la percée de la géobiologie et sa vulgarisation naîtrait une véritable médecine de l’habitat, d’autant que la médecine officielle reconnaît, de plus en plus, que les nocivités du lieu de travail et celles du lieu de vie sont à l’origine de problèmes de santé souvent graves et pour lesquels elle se montre relativement inefficace.  On aurait pu aussi s’attendre à un durcissement de la réglementation relativement à la délivrance des autorisations de mise sur le marché d’un certain  nombre  de produits et d’appareils, pour s’assurer de leur innocuité. Eh bien, pas du tout ! Le principe de précaution est ignoré pour ne pas dire bafoué ! Le téléphone mobile est roi, alors que son impact sur la santé est avéré ! Le recours à la  wifi, aux effets si dangereux, est encouragé et cette technologie se développe de façon exponentielle ! Les maisons et les immeubles sont construits sans se préoccuper du tellurisme local, des matériaux employés, sans s’orienter en fonction des réseaux géomagnétiques, sans s’occuper de la proximité de transformateurs EDF, des lignes électriques MT et HT, de relais de la téléphonie mobile, de radars, etc. ! En fait, l’ignorance est reine (mais est-ce vraiment de l’ignorance ? ou bien les intérêts financiers des multinationales ne provoquent-ils pas la censure de toute information objective de nature à leur nuire ?) ! Je laisse à chacun le soin de se faire une opinion...

Combien de souffrances pourraient être évitées !

Non seulement, « on Â» occulte certaines nuisances de la « Fée du modernisme Â»  mais encore Â« on Â» prend des décisions aberrantes...au nom de l’écologie ; un des derniers exemples en date est celui des   ampoules à économie d’énergie, rendues obligatoires et qui sont bien plus polluantes que les ampoules qu’elles remplacent ! Et que dire du scandale du recyclage de matériaux issus du démantèlement d’usines nucléaires qui se retrouvent dans le béton proposé aux entreprises et aux particuliers, et qui a fait l’objet d’un décret en catimini le 5 mai 2009 ? Les exemples de ce type sont légions ! Que font les médias, en dehors de nous abreuver d’informations tronquées ou secondaires ? Quelle manipulation de l’opinion !

Revenons-en à l’habitat (et au lieu de travail). Pour moi, des mesures importantes devraient être prises au niveau des règles d’urbanisme pour que toute nouvelle construction satisfasse à des préalables :

-expertise du terrain par un géobiologue pour vérifier que le tellurisme du lieu est compatible avec une construction ;

-mise sur plan, par cet expert, des nuisances telluriques et autres (réseaux électriques, transformateurs EDF, relais de la téléphonie mobile, etc.).

-préconisations du géobiologue à l’architecte pour une orientation de la construction et pour le positionnement des murs en fonction des réseaux géomagnétiques.

-définitions des mesures compensatoires, par le géobiologue, pour neutraliser les nuisances relevées ou à venir (par exemple, imposer des circuits électriques blindés, plusieurs prises de terre,...).

Voilà pour les mesures préventives.

Reste à traiter tout l’existant ! Tout un programme ! C’est là que la médecine de l’habitat, c’est-à-dire la géobiologie, peut beaucoup faire.

A mon sens, chaque maison devrait faire l’objet d’une expertise géobiologique car il y a forcément, en son sein,  des ondes nocives qui altèrent la santé de ses habitants, ne serait-ce que ce que nous réunissons sous le vocable « Ã©lectrosmog Â» et qui concerne les nuisances électromagnétiques. De la même manière que l’on fait, en médecine,  un bilan santé, on devrait faire un bilan géobiologique de sa maison.

A plus forte raison, si vous souffrez de maux rebelles  que la médecine n’arrive pas à soigner efficacement, vous devriez avoir le réflexe de soupçonner des problèmes liés à votre habitat (ou votre lieu de travail) et faire appel à un géobiologue. Il faut savoir que beaucoup de maladies peuvent être dues au lieu où l’on dort et où l’on séjourne et que, faute de correction du milieu, cela peut conduire , dans certains cas, à la mort. Je vous cite, ci-après, les principaux domaines médicaux concernés, mais la liste n’est pas exhaustive :

-cancérologie

-asthme

-bronchite chronique

-gastro-entérologie

-endocrinologie

-gynécologie et obstétrique

-neuropsychiatrie

-ophtalmologie

-rhumatologie

-maladies du sang

-dermatologie

-arthroses

-fatigue anormale

-vieillissement précoce

J’espère, par ces quelques lignes, vous avoir fait prendre conscience que la médecine de l’habitat devrait être une nécessité et qu’elle peut vous soulager de maux devenus chroniques ou incurables.

L’un des problèmes de la géobiologie, pour sa reconnaissance officielle, est qu’elle fait appel, en partie (et en partie seulement), à la radiesthésie, discipline n’entrant pas dans le domaine de la Science. Même le soutien appuyé de savants comme le professeur Yves ROCCARD n’a pas suffi à convaincre la plupart des scientifiques, arcboutés sur leurs convictions et leurs préjugés, et cela est particulièrement vrai en France. Pourtant quelques médecins (et vétérinaires) font appel à des géobiologues lorsqu’ils voient que leur traitement est sans effet et que la maladie peut avoir une origine dans l’habitat  ; malheureusement, dans certains cas, il est déjà trop tard.

Je formule l’espoir que la géobiologie soit enfin considérée et qu’elle finisse par être enseignée à l’Université et fasse partie du cursus des médecins.

Quand la géobiologie se met au service du jardinier

 

A ma connaissance, peu de jardiniers font appel à la géobiologie pour mieux cultiver. Pourtant celle-ci peut apporter, dans certaines situations, une aide appréciable voire déterminante.

Je ne vais pas dresser un catalogue de tous les bienfaits qu’ils pourraient en attendre ; d’ailleurs, je n’en serais pas capable. Mais je vais donner un exemple édifiant pour attirer l’attention du lecteur et montrer que, comme dans un grand nombre de disciplines, nous avons, en général,  dans le jardinage et l’agriculture,  une vue trop limitée, trop spécialisée et trop cloisonnée des choses.

Vous avez sûrement remarqué que, dans les haies de thuyas, par exemple, il y a, souvent, des pieds qui meurent systématiquement au même endroit sans que l’on puisse déterminer pourquoi. Le fait qu’ils soient préalablement malades ne permet pas non plus d’en connaître l’origine. Vous avez aussi le cas des arbres fruitiers qui sont chétifs à un emplacement, qui ne vont jamais donner une bonne récolte et qui vont finir par mourir. Eh bien, il y a de grandes probabilités pour que ces végétaux soient placés à des endroits particulièrement géopathogènes* (nœuds du réseau Hartmann** situés à l’aplomb de cours d’eaux souterrains, de failles, de cavités, etc.). Il suffit de planter l’arbre à un autre endroit, suffisamment éloigné de la zone virulente, pour qu’il pousse normalement. Mais, pour une haie, ce n’est évidemment pas possible et, en outre, on aimerait bien ne plus avoir d’endroit malsain sur son terrain et pouvoir planter là où on en a envie (et où il y a de la place).

Un géobiologue va pouvoir vous tirer d’affaire : d’abord en vérifiant que vous êtes bien dans la situation que je viens de décrire, ensuite en apportant un remède pérenne ; celui-ci va consister, par exemple, à positionner et à orienter une pierre levée à l’emplacement à corriger ; le taux vibratoire du lieu va alors progressivement augmenter à partir de ce point, de manière concentrique,  jusqu’à rendre l’ensemble de votre terrain propice à la vie et donc à la culture des végétaux. Un résultat similaire peut être obtenu en plantant, sur le nÅ“ud géopathogène, un piquet en cuivre, d’une longueur d’au moins 1m.

Dans un jardin (et ailleurs), il est courant que l’on ait  une zone qui soit géopathogène. Par conséquent, faire appel à un géobiologue,  pour en corriger les anomalies,  devrait être une pratique répandue. Pourtant ce n’est pas le cas actuellement et, au contraire, la connaissance et le savoir-faire de celui-ci  laissent beaucoup de gens dubitatifs…

 *Endroits perturbés, néfastes, s’opposant à la vie.

**Réseau tellurique invisible, composé de mailles régulières, de 21 cm de largeur, qui suivent les directions géomagnétiques du globe, et constitue des sortes de « murs subtils Â» qui, en coupe, ont l’apparence d’une sorte de filet.

Quelles précautions prendre, dans sa chambre, pour bien dormir ?

 

Même si, dans votre chambre, il n’y a pas de nocivités telluriques particulières (faille, cours d’eau souterrain, nÅ“ud tellurique, CCT-, etc.) nécessitant l’intervention d’un géobiologue, il se peut, néanmoins,  que vous y dormiez mal, tout simplement parce que vous êtes affecté par d’autres problèmes auxquels vous n’avez jamais prêté attention. Voici quelques unes des précautions qu’il est utile de prendre en compte, cette liste n’étant d’ailleurs pas exhaustive :

-pas de prise électrique dans un rayon de 50 cm du lit ;

-pas de lampe de chevet, ni de réveil-radio, ni d’autre appareil électrique dans un rayon de 1 m du lit ;

-pas de lit métallique, ni de sommier métallique ;

-pas de lit équipé de dispositifs électriques ;

-pas de couverture chauffante ;

-pas de lampe métallique dans la chambre , ni de lampe halogène;

-pas de chaîne hi-fi, ni de télé ;

-pas de lampe au plafond  située dans la pièce de l’étage inférieur, à l’aplomb du lit ;

-pas de téléphone sans fil dans la chambre et, surtout, au voisinage du lit ;

-se soucier de l’orientation de son lit;

-Eviter d’avoir la tête du lit trop proche du mur (il est souhaitable de s’en écarter de 20 à 30cm), notamment si celui-ci est recouvert d’un lambris ;

-ne pas avoir le lit à proximité d’une cheminée ;

-ne pas avoir sa chambre au-dessus d’un garage, d’un atelier, d’une chaufferie,...;

-ne pas avoir sa chambre en-dessous d’un grenier dans lequel des objets métalliques volumineux sont entreposés ;

-utiliser des draps et couvertures en matières naturelles (coton, lin, laine,...) ;

- ne pas avoir de miroir en face du lit ;

-éviter d’avoir des objets métalliques à proximité du lit, notamment s’écarter d’au moins 1 m du radiateur ;

-ne pas avoir de tableaux métalliques aux murs et éviter certains objets décoratifs susceptibles d’émettre des ondes de forme négatives (masques africains, armes, tableaux abstraits, par exemple) ;

-si vous êtes asthmatique ou nerveux, installer un ioniseur et le faire fonctionner chaque nuit.

Quelques informations et réflexions...

 

-La géobiologie permet de mettre en évidence et de mesurer l’impact énergétique de certains actes ou certains gestes qui peuvent, pour certains, paraître anodins. Par exemple, quand vous rentrez dans une église et que vous trempez votre main dans l’eau bénite du bénitier puis que vous faites le signe de croix, instantanément votre « taux vibratoire Â» augmente, de façon notable. Pour s’en convaincre, il suffit de mesurer la dilation de votre corps énergétique (biochamp) ou encore de mesurer votre « taux vibratoire Â» à l’aide d’un pendule et d’un cadran de mesure Biovis. Cela démontre l’importance des rituels faits en conscience qui permettent ainsi à l’homme de se rapprocher du Divin.

-Autrefois, les jardins des abbayes et des presbytères étaient entourés de buis. Pourquoi ? Parce que, tout simplement, cette plante est un antiviral puissant et que les moines, pour cette raison, la consommaient régulièrement en infusion. En outre, sur le plan géobiologique,  le buis émet une énergie positive importante, ce qui permet d’équilibrer les lieux là où il est planté. D’ailleurs, en géobiologie, on emploie les plantations de buis comme moyen correcteur dans certains terrains perturbés. Certains Esprits de la Nature y sont très sensibles et viennent s’installer dans les buissons de buis, apportant ainsi une vibration bienfaisante supplémentaire.

-L’eau provenant d’une source sacrée est duplicable, c’est-à-dire qu’il suffit d’en ajouter une petite quantité à une « eau normale Â» pour que cette dernière ait les mêmes propriétés vibratoires que l’eau sacrée. Et cette eau, lorsqu’on la conserve, des mois voire des années durant,  à l’abri de la lumière et dans un endroit tranquille et frais, ne s’altère pas. On peut la consommer sans problème à tout moment, tout en bénéficiant de ses qualités gustatives, sanitaires et vibratoires initiales. Ceci est également valable pour l’ Â»eau diamant Â» de Joël DUCATILLON et, dans une plus grande mesure encore, pour de l’eau sacralisée par un archange.

-un dessin ou un objet actif, ayant normalement un fort rayonnement positif, comme un mandala, par exemple, peut devenir puissamment négatif par un effet d’inversion provoqué par l’utilisation d’une colle chimique ou (et) d’un cadre métallique ou par le voisinage d’une pollution électromagnétique. L’inversion peut, d’ailleurs, se produire dans l’autre sens : Un objet rayonnant, par lui-même, négativement pouvant devenir bénéfique, temporairement, par exemple s’il a été aspergé d’eau bénite ou placé à proximité d’une bougie allumée.

Ce phénomène d’inversion touche aussi d’autres domaines : une église romane sacrée où les nazis ont fait  brûler des femmes et des enfants est devenue un lieu très perturbé et négatif où il ne fait pas bon séjourner.

De même, certains aliments (graines germées, oméga 3, etc.),  réputés pour leurs vertus bienfaisantes sur le corps humain et la santé,  peuvent s’avérer particulièrement nocifs pour des individus pollués par une nourriture malsaine ou (et) un environnement destructeur. Pour que ces personnes puissent bénéficier de l’effet réparateur de ces aliments, il leur faut, afin d’éviter le contrecoup d’inversion, d’abord se désintoxiquer.

-de nos jours, on connaît l’envoûtement comme une opération magique pratiquée à partir d’une figurine ou comme une emprise forte sur quelqu’un. Sait-on que l’envoûtement est, à l’origine,   selon l’expression utilisée par Jacques BONVIN, « l’art de mettre sous les voûtes Â» ? Ainsi dans les églises romanes, cet art a été employé,  dans l’architecture,  par la voûte de plein cintre qui provoque un éclatement  des énergies qui montent du bas vers le haut, incitant l’homme à se tenir debout, puis qui redescendent le long des murs, créant un circuit énergétique.

La voûte, sur croisée d’ogives, de l’église gothique,  répartit la poussée sur celle-ci, permettant la réalisation de murs moins épais tout en augmentant la hauteur et la longueur de l’édifice. Bien que différent du Roman, le Gothique est également «  l’art de mettre sous les voûtes Â», en offrant un chemin de passage de la droite à la courbe ; d’ailleurs, son étymologie, qui vient de gÅ“thie, signifie littéralement envoûtement.

-Les vêtements sacerdotaux traditionnels du prêtre sont de forts émetteurs énergétiques ainsi que des habits protecteurs. L’étole, par exemple, par son chrisme central posé sur la nuque, court-circuite le chakra situé sur le point atlas, pour permettre à l’énergie captée par les chrismes latéraux de ne pas passer par le mental. Par ailleurs, elle permet de réguler l’énergie colossale que le prêtre reçoit devant l’autel, notamment au moment de la célébration de l’eucharistie. De même, la chasuble protège le prêtre et diffuse les énergies reçues. Aujourd’hui, le prêtre s’est affranchi de certains vêtements cérémoniels et, depuis Vatican II, l’autel a été changé de place et le prêtre officie face aux fidèles au lieu de leur tourner le dos. Par suite, la messe a perdu beaucoup de son pouvoir sacré et ce n’est pas sans raison que les églises sont de plus en plus désertées.

Savez-vous que l’on peut utiliser des coquilles Saint-Jacques pour améliorer le taux vibratoire d’une pièce ?

 

On a beaucoup dit et écrit sur la coquille Saint-Jacques, emblème des pèlerins de Compostelle et sculptée sur les façades de cathédrales, d’églises et de chapelles. Je ne parlerai donc pas de ce qui la caractérise, que ce soit en géométrie sacrée ou que ce soit en symbolique, il existe toute une littérature là-dessus, et mon propos est ailleurs.

Je vous propose simplement d’utiliser des coquilles Saint-Jacques (vides, bien sûr, mais possédant encore leur petite attache noire qui sert à relier les 2 valves) comme appareil émetteur de vibrations positives (ondes de forme),  pour améliorer l’ambiance vibratoire d’une pièce.

Il vous faut, par exemple, 4 coquilles, en bon état. Vous allez les placer, par terre,  dans une pièce, par exemple sous un meuble, ou dans un endroit où elles seront discrètes (le mieux est de chercher le meilleur emplacement au pendule). Toutes ces coquilles seront orientées,  point d’attache vers le nord, soit partie concave au sud. 3 coquilles seront placées en triangle, face concave vers le sol, la 4ème sera posée au-dessus, face concave vers le ciel. Voilà le dispositif, il est simple et rapidement mis en place et ne nécessite qu’une boussole (en plus des coquilles) ! Et, s’il vous manquait une coquille pour le mettre en Å“uvre, sachez que vous pouvez la remplacer (celle posée sur les autres) soit par une photo, soit par un dessin de coquille Saint-Jacques et que, pour autant, le résultat n’en serait pas affecté.

Des expériences que j’ai effectuées, il ressort que les vibrations d’une pièce peut être portée, par exemple, de 10 000UB à 16 000UB une fois cet « appareil Â» posé. C’est dire que le bénéfice  de ce dispositif gratuit peut être appréciable. Toutefois, ne croyez pas que la pose d’un dispositif de ce type soit à même de neutraliser les nuisances d’un cours d’eau souterrain, d’une faille humide, d’un téléphone mobile ,…

D’autres dispositions de coquilles Saint-Jacques sont possibles sont possibles .

Téléradiesthésie :  astuce pour faciliter la recherche sur plan

 

Lorsque l'on fait une recherche radiesthésique sur plan, par exemple, pour retrouver un objet, il arrive que nous obtenions une réaction du pendule en plusieurs points, parfois en des endroits assez éloignés les uns des autres, ce qui semble exclure, comme cause possible de ce phénomène, la présence, en ces points, d'images virtuelles de l'objet recherché.

Pour pallier à ce problème et déterminer, parmi les points trouvés, celui où se trouve effectivement l'objet recherché, il suffit d'utiliser un petit disque en aluminium. Pour obtenir celui-ci, prendre un rouleau de papier aluminium utilisé en cuisine et y découper un disque de 16 mm de Ø (par commodité, prendre une pièce de 10 centimes qui correspond sensiblement à ce Ø) ; ce petit disque est dépolarisé sur chacune de ses faces.

Placer ce mini disque , successivement, sur chacun des points précédemment trouvés pour la recherche de l'objet. Le pendule ne girera que sur le point où se trouve effectivement l'objet.

Un test très simple pour confirmer la réalité d’un point géopathogène

 

Ce test est très connu de tous les radiesthésistes et géobiologistes. Cet article s’adresse donc aux débutants et aux sceptiques.

Il s’agit de valider, par un test kinésiologique simple, la présence, dans une maison, d’un nÅ“ud géopathogène identifié et localisé par un géobiologiste. S’il y a un point de perturbation tellurique, son niveau vibratoire est nettement plus faible que dans le reste de la maison et, en particulier, dans la zone voisine du nÅ“ud. Cette différence est perceptible par un test musculaire. Pour faire celui-ci, il faut être 2 : celui qui se prête au test (personne A) et celui qui l’exécute (personne B).

-1ère étape : Les 2 personnes se mettent, debout, hors de la zone repérée comme négative. B se place derrière A ; ce dernier lève son bras droit à l’horizontale. B lui demande de résister (normalement) à la pression qu’il va exercer sur son poignet droit. Le bras de A va résister à la pression (le tonus musculaire n’est pas affecté).

-2ème étape : A va maintenant se positionner sur le nÅ“ud géopathogène et B va, à nouveau, exercer sur son poignet droit, le bras droit de A étant à l’horizontal, une pression similaire à la précédente. Le bras va s’abaisser (presque s’effondrer) immédiatement, sans pouvoir résister à la pression.

Cette méthode est très démonstrative et interpelle, en général, ceux qui doutent de la fiabilité de la radiesthésie et de la géobiologie. Toutefois, il faut reconnaître que quelques personnes se montrent insensibles à ce test et que leur bras résiste à la pression quelle que soit la zone intéressée.

Ce test  peut être utilisé pour confirmer d’autres nocivités, y compris des nocivités virtuelles : par exemple, celle d’un téléphone portable, ou encore d’une nourriture malsaine ; sur le plan virtuel, on peut aussi vérifier l’impact d’une suggestion très négative. En fait, il peut être fait appel à ce test kinésiologique pour toutes les expériences qui sont menées avec un pendule ou des baguettes ; ainsi peut-il en être, par exemple, de la  confirmation de la présence d’un Esprit de la Nature détectée au pendule.

On peut économiser facilement de l'énergie

​

On parle beaucoup, aujourd’hui, de la transition énergétique qui désigne un changement de production et de consommation d’énergie visant à passer d’ énergies polluantes (charbon, pétrole, gaz naturel) ou dangereuses (nucléaire) à des énergies propres , sûres et renouvelables (photovoltaïque, éoliennes, géothermie, hydraulique, etc.), tout en améliorant l’efficacité énergétique des technologies et des bâtiments. A première vue, un tel projet ne devrait pouvoir rencontrer que l’adhésion massive de la population

Le hic, c’est que l’on ne tient compte que de la pollution chimique dans l’évaluation des nuisances et que, délibérément, on ignore toutes les autres nocivités, en particulier celles des champs électromagnétiques, des radiofréquences et des hyperfréquences, qui sont pourtant bien présentes dans les systèmes de production d’énergie de remplacement. Il suffit de voir, par exemple, les problèmes de santé, engendrés par l’installation d’éoliennes, sur le vivant (humains, animaux, végétaux).

Par ailleurs, on ne se soucie aucunement des gaspillages énergétiques, liés aux modes de vie, qui sont pourtant considérables, faciles à supprimer et immédiatement applicables, et qui ne coûtent rien ou presque. En matière de normes, des mesures pourraient être prises pour imposer aux fabricants d’appareils électriques et électroniques de proposer des matériels plus adaptés à l’économie d’énergie. Je ne dis pas que l’on a rien fait mais le basique n’a pas été examiné et vous verrez plus loin les conséquences qui en résultent…

Au lieu de cela, notre gouvernement se lance dans une taxation à tout va pour financer la transition énergétique : taxe sur le diesel, sur l’essence, sur le gaz, sur les voitures d’occasion,…En projet, une taxe sur les logements aux performances énergétiques jugées insuffisantes (dans les cartons de Nicolas HULOT) ; également en projet, l’obligation, pour les propriétaires, de faire des travaux d’isolation avant toute vente immobilière…Que ne va-t-on pas faire au nom d’une transition énergétique fort discutable !

Je vous propose une transition énergétique bien différente : sans taxes, sans exposition à des dangers cachés…

Une chose m’a toujours interpellé : comment peut-on, d’un côté, par des mesures normatives, imposer aux fabricants de construire des appareils moins consommateurs d’énergie, et, d’un autre côté, et dans le même temps, passer d’appareils équipés d’interrupteurs à des appareils qui restent en veille (et donc consomment de l’énergie 24 heures sur 24) et ne peuvent être éteints ? Est-ce cohérent ? Ne cherche-t-on pas à faire consommer en plus pour compenser ce qui a été obtenu en moins ? Que nous parle-t-on de transition énergétique alors que l’on n’intervient pas sur ce gaspillage organisé ? …si simple à résoudre !

Pourquoi fait-on construire des immenses bateaux qui consomment une quantité d’énergie incroyable et très polluante ? Pourquoi favorise-t-on les transports aériens de marchandises si consommateurs d’énergie polluante ? Etc., etc. La liste des interrogations est sans fin. Je doute que la transition énergétique s’en soucie ! Je suis prêt à parier que la consommation énergétique va continuer de croitre, peut-être même de façon exponentielle, tout en nous saignant et en nous obligeant à nous plier à des mesures dont certaines sont techniquement très discutables pour ne pas dire absurdes. Ainsi va notre monde…

Examinons maintenant cette histoire des appareils continuellement en veille, comme les téléviseurs, dont on estime, qu’à eux seuls, ils assurent le fonctionnement, en France, d’une centrale nucléaire. Vous rendez-vous compte ? On palabre depuis si longtemps pour en fermer une ! Et il ne suffit, pour cela, que d’éteindre les appareils en veille ! Trop simple pour nos gouvernants ! Allons, allons, pas question d’opter pour une telle décision ! Ce serait implicitement reconnaître que l’on est à l’origine de cette absurdité !

Selon l’ADEME, les appareils en veille consomment, en moyenne, plus de 50W par foyer, ce qui représente environ un coût de 80€ par an.

Savez-vous que, parfois, sur une période de 24 heures, un appareil consomme autant ou plus en veille que lorsqu’il est en marche ? Insensé, non ? C’est pourtant le cas, par exemple, des décodeurs télé et des imprimantes !

Quels sont les appareils courants concernés par le problème de veille ?

Les téléviseurs cathodiques , les téléviseurs plasma, les téléviseurs LCD, les décodeurs de la TNT, les magnétoscopes, les lecteurs DVD, les PlayStations PS2 , les ordinateurs fixes, les écrans LCD, les box, les disques durs, les ordinateurs portables, les imprimantes, les chaînes Hi-fi,…

Il faut savoir également que certains appareils éteints , mais branchés, consomment de l’électricité en permanence; c’est le cas de ceux qui renferment un transformateur qui passe le courant alternatif de 220V en courant continu de 12V et qui, ainsi, fonctionnent continuellement… Nos instances se soucient-elles de ce genre de détail ? Que nenni ! Elles préfèrent prélever de nombreuses taxes sous le couvert de la transition énergétique !

Les chargeurs de téléphone, que beaucoup laissent branchés, alors que la batterie est rechargée complètement, consomment de l’électricité en continu ! Le laxisme est roi !

Il est facile de vérifier la consommation d’un appareil électrique, à l’aide d’un consomètre (ou wattmètre), selon qu’il est allumé, en veille ou éteint. Et, croyez-moi, c’est édifiant !

Vais-je vous faire l’affront de vous dire ce qu’un tel constat implique comme changements dans les habitudes et les mentalités ? Du bon sens suffit : il n’est nul besoin de prescriptions et d’instructions détaillées ! Prenez donc l’habitude d’installer des multiprises avec interrupteur, pour pouvoir éteindre et couper les appareils de l’alimentation électrique ou, tout simplement, débranchez vos appareils après utilisation.

Et puis est-il besoin de dire que nous avons aussi beaucoup de mauvaises habitudes qui entraînent une consommation abusive d’électricité : trop d’éclairages inutiles, que ce soit dans les habitations ou à l’extérieur, trop de téléviseurs allumés simplement pour le bruit de fond, l’installation de climatiseurs pas vraiment nécessaire, le recours à une ventilation abusive, etc.

Comme vous le voyez, chacun peut réduire facilement et d’au moins 10% sa consommation d’électricité sans investissement. Il suffit d’en prendre conscience et de faire les gestes nécessaires. Et, en faisant cela, outre le fait que cela réduira la consommation d’énergie et allégera votre facture d’électricité, vous diminuerez également les pollutions électromagnétiques associées au fonctionnement des appareils électriques, ce qui ne peut que protéger votre santé.

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