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Soins énergétiques

Voici les articles et sujets que vous pouvez actuellement consulter sur cette page :
  • Comment retrouver sa pureté originelle
  • Expérience de programmation d'une huile via un cristal
  • De l'absurdité de la mode
  • Le voyage hors du corps
  • Les chakras majeurs et mineurs
  • Petite technique de réflexologie plantaire pour calmer un enfant au moment du coucher
  • Comment choisir un ioniseur ?
  • Comment développer son ressenti tactile ?
  • Comment fabriquer une eau curative ?
  • Comment s'équilibrer aux énergies cosmo-telluriques simplement et facilement ?
  • Comment peut-on prétendre résoudre un problème de santé si l'on n'en connait pas l'origine ? Le cas de l'infection par Helicobacter pilori
  • La qualité de l'eau que l'on consomme : l'un des facteurs prépondérants de la santé

Comment retrouver sa pureté originelle

Les hommes d’aujourd’hui n’ont généralement pas conscience qu’ils portent accumulées sur eux et en eux toutes les peurs, les tensions et les souffrances qu’ils ont connues depuis leur naissance. Aussi ne prennent ils pas la peine de « se faire nettoyer et récurer » intégralement de temps à autre.

Il est vrai que très peu de thérapeutes, à ma connaissance, sont capables de faire ce travail de « remise à neuf » du corps physique, des corps subtils et de l’âme, lequel exige un amour inconditionnel, un savoir-faire particulier, une grande maîtrise, beaucoup de temps (un certain nombre de jours) et une confiance totale du soigné en son soignant. Je vais vous décrire succinctement une partie de ce travail qui permet d’offrir, à un être humain, de renaître littéralement à lui-même et, par suite, de se trouver dans un état de bien-être originel engendrant un changement radical de paradigme.

Sans doute, la plupart de ceux qui me liront seront surpris par ce que je vais révéler parce que cela est fort éloigné de ce qu’ils connaissent, et que le temps à y consacrer leur paraîtra incompatible avec nos fâcheuses habitudes de vouloir « aller vite et bien ». Un autre point pourra apparaître à certains –surtout les pudiques- comme rédhibitoire car ces soins demandent la nudité du soigné. Toutefois, n’ayez pas un à-priori négatif à cause de cela. Essayez, s’il vous plaît, de comprendre et, croyez-moi, cela vaut la peine !

-1ère étape :

Eléments de compréhension préalables : notre peau, avant de traverser notre chair et de s’installer en notre âme, absorbe toutes les douleurs et les souffrances des personnes, des êtres et des objets que nous croisons. Il est donc extrêmement important de se vêtir, c’est-à-dire de couvrir notre corps, de matériaux naturels et sains tels le coton, le lin ou la laine. Porter des vêtements en matériaux synthétiques est une ineptie : ceux-ci polluent tout notre corps, déséquilibrent notre système nerveux, affectent notre système immunitaire, apportent de la souffrance par le biais de notre sang et perturbent fâcheusement nos cellules. En un sens, nos habits ont une forme de vie et nous devons prendre conscience que nous devons les choisir pour ne pas qu’ils nous empoisonnent. Il est très dommageable, pour l’homme occidental d’aujourd’hui, de ne pas saisir cette évidence. Pour pérenniser la qualité des soins dont je vais faire état, il est essentiel de prendre en compte cette information et, par conséquent, de s’habiller uniquement avec des vêtements qui préservent notre bien- être et confortent notre énergie vitale. Je vais ajouter un élément que je vous conseille de respecter : les habits étant, en quelque sorte, une 2ème peau sensée nous protéger, ils sont à considérer comme des objets sacrés et, comme le prêtre range avec grand soin sa soutane, son étole et sa chasuble, nous avons, de la même manière, à plier délicatement nos vêtements et à les ranger précautionneusement chaque fois que nous les quittons.

Le 1er soin : il consiste à se faire laver, dans une baignoire (ou, à défaut, sous la douche), par le thérapeute. Celui-ci savonne vigoureusement le soigné, des pieds à la tête, avec un savon naturel, le rince, puis recommence 7 fois de suite, avec une grande minutie et beaucoup d’énergie. Ensuite, il lui applique, sur tout le corps, un parfum au galbanum (utilisé en particulier, depuis la nuit des temps, en Iran) qui a de nombreuses propriétés purifiantes, antispasmodiques, tonifiantes, antifatigue, expectorantes, stimulantes et carminatives. Ce lavage procure un sentiment de pureté considérable qui vous fait vous sentir léger et joyeux.

Il est suivi d’un raclage très méticuleux de la peau à l’aide d’un couteau en os , en utilisant la pointe (émoussée) pour gratter toute la surface de peau du corps, centimètre par centimètre. Ce travail, long et fastidieux, est exécuté sur une table de massage ; il a pour objet de déloger toute la concrétion invisible qui s’est formée, sous forme de grains agglomérés, telle une croûte, au fil du temps et des épreuves, et qui est constituée en particulier des peurs vécues ; en outre, elle interagit négativement sur les auras, empêchant celles-ci de se déployer dans l’harmonie. Ce raclage est fait sur l’ensemble du corps, y compris sur la tête, les dents, la langue, le palais, les oreilles, les paupières, les ongles, les testicules et le pénis chez les hommes, le vagin et la vulve chez les femmes, et l’anus. La durée de ce nettoyage est de l’ordre de 3 heures. Et il est renouvelé chaque jour, sur une durée totale de 9 jours consécutifs.

Ceci vous paraît probablement contraignant et, sans doute, vous dites-vous : «Cela n’est pas pour moi ! » . Sachez que le raclage est fait de telle sorte que le soigné ne sent aucune douleur, ni irritation, ni aucune gêne mais, au contraire, un sentiment de purification extraordinaire. Il induit un état de transformation de l’être inimaginable qui s’apparente, d’une certaine façon, à une illumination, avec un état d’euphorie, de bien-être et de joie, et une clarté d’esprit jamais connue auparavant.

-2ème étape :

Le soigné, nu, est installé sur une table de massage et le thérapeute le palpe et enfonce précautionneusement, mais fermement, ses doigts dans sa chair pour prendre, tour à tour, chacun de ses os et les parcourir.

Le soignant doit expliquer que, tout comme la terre tourne autour de son axe, la croissance de nos os se réalise en s’enroulant sur eux-mêmes, ce qui est d’ailleurs visible lorsque l’on examine leur structure. Il prend, tour à tour, avec ses 2 mains, chaque os des membres du corps, soit l’humérus, le cubitus, le fémur, la rotule, le péroné et le tibia, et leur imprime un mouvement de giration vers l’extérieur. Cela provoque une légère douleur, suivie d’une sorte de libération. Evidemment, il importe, durant la séance, d’être le plus détendu possible. Ensuite, le thérapeute demande au soigné de tourner la tête, le plus loin possible, d’abord, à gauche, puis à droite, et ceci à différentes reprises, jusqu’à ce que l’angle de rotation se soit nettement agrandi.

Le soignant pince alors la peau du soigné et l’étire sur la poitrine, les épaules, les jambes, les bras, les paupières, la nuque, le crâne, les testicules pour un homme, le mont de Vénus pour une femme.

-3ème étape :

Le soigné se tient debout devant le soignant. Ce dernier procède, avec beaucoup d’application, au démêlage des nœuds invisibles et au peignage de l’aura, avec ses mains disposées à la manière d’un peigne, jusqu’à ce que l’aura soit homogène, ordonnée et lisse.

Ce soin est suivi du nettoyage de l’ombre du soigné. Là, je sens que je vais me discréditer complètement auprès de certains lecteurs mais, peu importe. Le soigné est placé devant une fenêtre, en choisissant l’orientation pour que son ombre soit projetée dans la pièce. Si le temps ne le permet pas, le soigné sera placé devant une lampe allumée, l’essentiel étant de voir l’ombre du soigné sur le sol. Il est alors demandé à celui-ci de garder une immobilité totale. Le soignant va alors se positionner près de l’ombre avec une bassine d’eau et un savon naturel parfumé à la lavande. Il savonne énergiquement l’ombre, la brosse, enlève la mousse avec une éponge et, enfin, l’essuie avec une serviette. Comprendra qui voudra ou qui pourra mais l’ombre ainsi nettoyée est devenue propre, et le soigné, s’il est attentif, remarquera en lui un changement essentiel…

Cette série de soins doit être faite par un thérapeute homme pour soigner une femme, un thérapeute femme pour soigner un homme, en raison des polarités complémentaires et des énergies nécessaires.

Je suis conscient du fait que ce que je viens de révéler peut paraître incongru et difficilement croyable. Et pourtant, l’efficacité de cette méthode dépasse tout ce que l’on peut attendre d’une purification. Je ne connais aucun autre moyen en mesure de rivaliser avec elle, d’obtenir un résultat d’un niveau aussi élevé, et de permettre au soigné de faire un bond d’élévation spirituelle en avant aussi magistral.

Toutefois, le problème est de trouver un thérapeute pratiquant cette méthode, d’autant que sa gratuité est impérative.

Je conseille aux couples motivés de l’expérimenter, l’un jouant le rôle de soignant et l’autre celui de soigné. Attention de ne pas tomber dans le piège de la sexualité, sinon, il n’y aura rien à attendre de particulier…

Ce que je viens de vous indiquer n’est qu’une partie de cette purification magistrale mais elle est suffisante. Normalement, elle se poursuit par d’autres soins nécessitant un niveau d’amour inconditionnel pour l’instant inaccessible à la plupart d’entre nous. C’est pourquoi, il me semble prudent de ne pas les dévoiler.

Expérience de programmation d’une huile via un cristal

Je viens partager avec vous une expérience de création d’une huile informée en ayant recours à un cristal.

 Pour cette expérience, il est fort souhaitable de disposer d’un cristal n’ayant jamais servi et n’ayant pas déjà été informé. La 1ère chose à faire est, de toute façon, de le nettoyer. Pour cela, on le met à tremper dans de l’eau salée (gros sel) puis on le lave à l’eau courante et on l’expose à la lumière du jour durant 24H (mettre sur une banquette de fenêtre, côté Sud).

On choisit ensuite l’information que l’on veut intégrer au cristal. Dans mon exemple, il s’agit de l’activation d’un chakra. Voici comment procéder : prendre le cristal dans une main, le regarder attentivement et fixement , lui parler, en conscience, à voix haute, et à 7, 9 ou 33 reprises, en disant la phrase suivante : « A chaque fois que je t’approcherai d’un chakra, tu l’activeras fortement. ». Ensuite, il faut valoriser et stabiliser l’information. Je vais vous proposer une autre méthode que celle utilisée couramment par les radiesthésistes (qui ont souvent recours à un émetteur géométrique tel que le double décagone) ; s’assoir devant une table, prendre le cristal dans la main droite, poser l’autre main ouverte sur la table, et abattre énergiquement le cristal sur la main gauche 7, 9 ou 33 fois.

Il faut alors vérifier que le cristal est effectivement programmé. Pour cela, approchez votre main réceptrice à proximité d’un chakra : par exemple, du plexus ombilical, pour ressentir son activité ; si vous n’êtes pas très sensible, faites la vérification de manière radiesthésique. Ensuite, approchez le cristal de ce plexus et regardez son activité ; si celle-ci a nettement été améliorée, c’est que le cristal a correctement été informé. Si tel n’est pas le cas, recommencez depuis le début.

On passe ensuite à la 2ème phase qui consiste à transférer l’information intégrée au cristal dans de l’huile. Personnellement, je prends une bonne huile d’olive bio (mais ce peut être une autre huile). Prenez la précaution d’enlever le papier collé autour de la bouteille et, en particulier, le code- barre, pour éviter que l’huile contienne des informations parasites. La méthode de transfert de l’information est identique à celle précédemment employée : vous mettez, couchée dans votre main gauche, la bouteille d’huile et, dans la main droite, le cristal informé, puis vous abattez, en douceur, le cristal sur la bouteille et, ceci, 7, 9 ou 33 fois.

Il faut s’assurer que l’huile a bien pris l’information. Pour cela, il suffit de procéder comme précédemment lorsque l’on a vérifié que le cristal était bien programmé. Cette fois, on versera une goutte d’huile sur le chakra choisi pour le test. A noter que l’information de l’huile est amoindrie par rapport à celle du cristal en raison du verre de la bouteille mais elle est suffisante.

Ce procédé est valable pour tout type de programmation que l’on souhaite réaliser. On peut, bien entendu, substituer au cristal une pierre cristalline ou bien un objet facilement « imprégnable » , comme du coton hydrophile.

                                             De l’absurdité de la mode

Je vais m’engager sur un terrain qui ne plaira sans doute pas à tout le monde et qui peut sembler ne pas avoir sa place ici…Peu importe ! Dans un monde qui déraille de plus en plus, il me semble bon de prendre un peu de recul et de dénoncer les aberrations de la mode vestimentaire qui atteint des summums de bêtise…pour ne pas dire plus. Ce n’est pas d’aujourd’hui mais je crois que la tendance à porter n’importe quoi pour …paraître mieux s’intensifie.

Je ne ferai pas de psychanalyse sur le pourquoi de telles dérives. Les faits parlent d’eux-mêmes. Ce qui est certain c’est que ceux qui sont à l’origine des modes peuvent emmener une partie de la population à peu près n’importe où…, laquelle pense que les autres, les réfractaires au « dernier cri », sont des ringards et des ploucs ! Pauvres de nous !

Pour illustrer mon propos, il me suffit de  prendre quelques exemples pour montrer à quel point la mode a atteint un point de ridicule incroyable.

  • Le jean troué, cisaillé aux genoux : je croyais qu’il avait fait son temps mais voilà qu’ il a refait surface…en pire ! Non, ce n’est pas qu’une extravagance de riches ! Pour être branché, quoi de mieux qu’un jean (qui était un bleu de travailleur manuel à l’origine ! ) lacéré, moucheté, déchiré, usé, délavé,…un pantalon en loques, à la destruction avancée, que même un SDF ne voudrait pas porter. Un pantalon en bon état ? Pouah, que c’est moche ! Même la Haute Couture fait défiler ses mannequins dans de telles guenilles ! Franchement, faut être barge ! Je me dis que, décidément, la société qui, d’un côté, est croqueuse de confort, en même temps, est capable de s’engueniller simplement parce que quelques « créateurs » de mode (ou plutôt de pompe à fric) leur disent que c’est ce qu’il faut porter ! Amen !

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  • Les chaussures pour femmes à talon aiguille (très) haut : faut-il être maso pour s’infliger pareille torture ! Peut-on marcher normalement dans des « trucs » pareils ? Comble de marketing, pour être encore plus convaincants, les fabricants de ces « tatanes » les qualifient de « très sexy », comme si une femme naturellement non sexy le devenait simplement en chaussant ces chaussures ou comme si une femme sexy perdait ce caractère en se chaussant dans des chaussures plus confortables. Vous qui me lisez réalisez vous bien ce que je suis en train de vous montrer ? Le pire c’est que, pour la plupart, même si , sur le fond, vous êtes d’accord avec que je viens d’écrire, pour autant vous ne vous y arrêterez pas et continuerez à suivre la mode, sinon de quoi auriez-vous l’air ? Moi qui, dans ma jeunesse, parce que j’appartenais à une famille très pauvre, ai marché avec des « godillots » durs et incroyablement douloureux, me suis toujours promis que, dès que je le pourrais, je m’offrirais des chaussures souples et confortables…

  • Les baskets à talon : il n’y a pas de limite à l’aberration ! C’est vrai, je vous le concède, ces baskets là n’ont pas encore envahi tout notre pays et l’Europe. Mais la tendance est là et certains n’y résisteront pas. Moi qui, dans ma grande naïveté, ai toujours cru que des baskets étaient des chaussures pour faire du sport et donc étaient, à la fois, ergonomiques, souples, permettant de marcher, courir, sauter, etc. Eh bien faut croire que j’ai tout faux ! Je vous défie, mesdames, de faire du sport avec des baskets à talon ! Quant au côté sexy de ces « pompes » là, il m’échappe complètement ! Normal, je ne suis pas dans le coup ! Certains iront jusqu’à dire que je suis un marginal, un gars qui ne « vois » pas plus loin que le bout de son nez. C’est vrai que, pour me convaincre de la pertinence de ces « godasses » là, il faudrait une faconde qui n’appartient pas encore à notre monde…….

  • Pour vous montrer que mon discours, en dépit des apparences, s’inscrit bien dans une démarche de santé et a donc toute sa place ici, mon dernier exemple porte sur les bijoux corporels et, en particulier, sur les piercings du nombril.  J’ai lu quelque part qu’ils sont essentiellement destinés à attirer l’attention, l’été, lorsque l’on est relativement dénudé, sur un ventre plat et bronzé. « Attirer l’attention… », le maître but ! Sauf que, quand on sait qu’en thérapie énergétique, le plexus ombilical a une très grande importance dans le fonctionnement de notre système énergétique, en particulier des glandes sexuelles, des glandes surrénales et des reins, et qu’il est le siège de notre tonus et de notre énergie défensive, il est primordial de ne pas y bloquer l’énergie par la pose d’un bijou. Mais a-t-on encore un peu de jugeote pour comprendre cela ? Je peux vous dire que j’ai soigné des personnes confrontées à de gros problèmes de santé dont l’origine se trouvait tout bêtement …à leur nombril. En déposant le piercing et en m’attachant à remédier aux dégâts invisibles qu’il avait provoqué, ces personnes, dont la plupart étaient jeunes, ont vu leurs problèmes s’évanouir. Elles étaient loin d'imaginer qu’un bijou pouvait provoquer la maladie. Quand on pense qu’il y a peu certaines peuplades étaient qualifiées, par les populations « évoluées », de sauvages lorsqu’elles portent des anneaux dans le nez !

Le voyage hors du corps

 

Certains pourront trouver curieux de mettre ce sujet sur une page consacrée aux soins énergétiques ! Pourtant, je prétends qu'il y a toute sa place car le voyage hors du corps (VHC) permet de se libérer de peurs liées à la condition humaine et, ce faisant, de faciliter les circulations énergétiques dans les corps subtils...

Le voyage hors du corps (aussi appelé voyage astral), au-delà de la fascination qu'il peut exercer en raison des expériences fantastiques qu'il permet de vivre, est surtout un moyen unique d'élargir notre conscience jusqu'à nous permettre d'acquérir la certitude que nous sommes des êtres spirituels immortels empruntant un véhicule temporaire (le corps physique). Il  offre aussi l'opportunité de comprendre le sens de la vie et de la mort, de se rendre véritablement compte que l'univers est énergie et est multidimensionnel, de dépasser nos peurs et nos blocages, d'acquérir une plus grande conscience de la réalité et de saisir les conséquences de nos pensées dans la création et donc l'importance de notre responsabilité dans ce que nous sommes appelés à vivre.

En général, nous vivons notre première expérience de VHC consciente de manière spontanée. Le problème qui se pose ensuite est de trouver le moyen qui permette de réitérer cette expérience extraordinaire volontairement. Un certain nombre d'ouvrages traitent des techniques qui peuvent être employées ; peu de ceux-ci sont vraiment explicites et complets et certaines des techniques qui y figurent s'avèrent peu efficientes ou difficiles à mettre en œuvre. Tous s'accordent cependant sur le fait que le VHC nécessite d'être parfaitement détendu, relâché et sur le point de s'endormir et donc de se trouver dans un état modifié de conscience .

D'après mon expérience, la méthode la plus facile à expérimenter est celle qui est axée sur la visualisation. Quand vous êtes couché et que vous vous trouvez dans un état de pré-somnolence, attachez-vous à porter votre attention sur un endroit que vous connaissez bien et que vous aimez. Imaginez, en détail, tout ce qui s'y trouve, même les plus petits objets, avec les couleurs, les odeurs, les sons, les sensations,... et voyez-vous dans cet endroit, avec ce que vous y faites et ce que vous ressentez. Il est important de faire intervenir son affect et d'être totalement dans la scène jusqu'au moment où vous allez vous sentir entrer dans le sommeil. A cet instant charnière, exprimez en vous votre souhait de sortir de votre corps, de manière calme mais ferme, et en réitérant celui-ci le plus longtemps possible : "Je sors de mon corps...Je sors de mon corps...". Surtout ne pas faire intervenir votre volonté mais seulement votre désir. Un point capital : ne jamais penser à son corps physique endormi et, surtout, ne pas chercher à le regarder lorsque la sortie hors du corps est faite. Si vous n'arrivez pas à sortir, demandez aux Etres de Lumière de vous y aider et tendez doucement, par la pensée, un bras. Lorsque vous vous rendez compte que vous n'êtes plus dans votre corps, exprimez le désir de voler et...miracle...vous volerez !  Restez confiant et formulez vos souhaits : ils s'accompliront ! Sachez que toute peur, toute crainte vous fera instantanément revenir dans votre corps physique. Quand on sort de son corps, celui-ci est en état de catalepsie et on entend un bruit analogue à un vrombissement du au fait que, pour changer de plan, il  nous faut changer notre état vibratoire. Il ne faut surtout pas s'en alarmer, sinon c'est le retour, illico-presto, à votre condition habituelle !

Avant de réussir à sortir de son corps, à son gré, et dans la maîtrise de l'expérience, il est souvent nécessaire de tenter quotidiennement l'exercice pendant un certain nombre de jours. Il ne faut surtout pas se décourager et abandonner prématurément : 1 mois voire plus sont nécessaires, le temps de s'absoudre des facteurs inhibiteurs. Mais le jeu en vaut la chandelle ! Alors, bonne chance pour ce voyage fabuleux dans des réalités insoupçonnées !

 Les chakras majeurs et mineurs

Petite technique de réflexologie plantaire pour calmer un enfant angoissé au moment du coucher

Ce protocole est parfaitement approprié pour apaiser les angoisses nocturnes chez un enfant. Il est, en outre, simple à appliquer et ne dure que 5 minutes.

Il consiste à intervenir sur la zone réflexe du plexus solaire sur les deux pieds, en même temps, en utilisant la pression des pouces. Les zones en question sont indiquées sur le dessin suivant ; elles se situent au centre de la ligne du diaphragme.

Les zones réflexes sont 2 à 3 mm sous la peau et il faut donc appuyer fermement avec  la pulpe de chaque pouce pour les atteindre.

On commence en positionnant les pouces sur ces zones et en appliquant d’abord une légère pression, puis en faisant des pressions-rotations (dans le sens des aiguilles d’une montre) sur place. Ensuite, on procède à des rotations, toujours dans le sens horaire, mais en les élargissant progressivement en ovale, tout en repassant toujours par le point de départ jusqu’à recouvrir l’ensemble du creux des pieds, le mouvement le plus ample suivra le sens d’évacuation du colon. Ces gestes doivent être faits fermement mais avec doigté.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment choisir un ioniseur ?

 

L'ionisation de l'air est un élément qui est généralement, dans la vie quotidienne,  peu pris en compte alors qu'elle a un rôle important pour la santé des êtres vivants.

Pourtant beaucoup d'expressions  sont suggestives de cette importance : par exemple, ne dit-on pas qu'"Il y a de l'électricité dans l'air ! " pour exprimer un tension ressentie par chacun ? Cette "électricité" exerce une influence notable sur notre organisme, notre humeur, notre comportement. Avant un orage, l'atmosphère est lourd car il est saturé en ions positifs (néfastes à la vie) et peu chargé en ions négatifs (favorables à la vie),  soit ceux qui possèdent une surcharge d'électrons (d'où le fait qu'on les qualifie de négatifs). Ces ions négatifs (que le professeurs Métadier nommait "oxions") sont presqu'exclusivement des ions d'oxygène. Ils sont très nombreux dans les lieux naturels comme les forêts ; c'est pourquoi, dans ces endroits, on se sent bien. Quand un orage se déclenche, les éclairs produisent des ions négatifs à profusion et l'on ressent du bien-être. Malheureusement, l'homme  est responsable de la création d'une production colossale d'ions positifs si nuisibles à la vie, notamment par l'activité industrielle et les moyens modernes employés. Il s'ensuit qu'il vit dans un milieu électriquement déséquilibré, pauvre en ions négatifs et riche en ions positifs .

L'action des ions négatifs sur la santé a été établie, depuis plusieurs décennies, par d'éminents scientifiques : notamment sur la diminution de l'acidité du sang, sur l'accroissement des globules rouges, sur les graisses du sang et le cholestérol, sur le rééquilibrage de la tension artérielle, sur la ventilation pulmonaire, sur une amélioration du rythme respiratoire, sur l'impact favorable sur le système digestif, sur les performances musculaires, sur le système hormonal , sur la diminution du stress, sur le métabolisme de l'oxygène, sur le choc anaphylactique,...

C'est pourquoi des appareils ont été conçus pour produire une ionisation artificielle de l'air qui permette de compenser, dans une habitation, dans des bureaux ou ailleurs, le déficit en ions négatifs (oxions).

Pour choisir un appareil efficace, il faut prendre en compte les paramètres suivants :

-production très importante d'ions négatifs (des milliers de milliards d'ions négatifs par seconde) : 7 000milliards d'ions à la seconde pour une pièce de 9 m², 8 000 pour une pièce de 9 à 20 m², 9 000 et plus pour une pièce de plus de 20 m²,

-diffusion des ions soit par champ électrique, soit par courant d'air, à forte puissance,

-réglage du débit des ions,

-indication, par le fabricant, du débit d'ions par seconde à la sortie de l'appareil, mais aussi des concentrations des ions par cmᶾ à diverses distances de l'appareil,

-très faible, voire absence de production d'ozone et d'oxydes d'azote.

Un ioniseur est un appareil très intéressant pour assainir l'air (en particulier, dans la chambre à coucher, durant toute la nuit) mais aussi pour se débarrasser de maladies comme l'asthme, la bronchite aigüe ou chronique, la sinusite, l'insomnie,...en utilisant alors l'ioniseur comme appareil à inhalations et en se plaçant juste devant lui, à bonne hauteur, la déperdition en ions négatifs  étant, à cette distance, très faible.

Un bon ioniseur coûte un prix qui peut faire reculer les personnes intéressées . Pourtant c'est, de mon point de vue, un équipement qui vaut la peine de faire un effort financier vu son impact sur le confort de vie et les bénéfices à en attendre sur l'état de santé. C'est pourquoi j'encourage à en faire l'acquisition.

Personnellement, je recommande les appareils  de la gamme Atmostat  (cf. le lien suivant : http://www.atmostat-ionisation.com/frecap.htm ) tout simplement parce que je connais la qualité de ces ioniseurs. Le prix d'un Atmostat  ATM 2000 est, actuellement, d'un peu plus de 800€. Attention aux appareils bon marché qui, souvent, ne sont que des gadgets et sont sans intérêt.

Comment développer son ressenti tactile ?

 

Beaucoup de personnes affirment ne pas ressentir les énergies environnantes avec les mains et se demandent comment elles pourraient y parvenir. Disons le tout de suite, il faut, pour cela, être, avant tout, à l’écoute et attentif,  et laisser venir les sensations.

Il existe beaucoup d’exercices qui permettent d’acquérir et de développer le ressenti tactile. Je vais vous en présenter un qui est facile, rapide et efficace. Il s’appelle l’effet ballon.

Il consiste  à écarter les deux mains et à imaginer tenir entre elles un ballon ou une balle. Pour commencer, il convient de tenir les deux mains assez rapprochées : entre 10 et 15 centimètres environ, et de visualiser, entre elles,  une balle ayant la taille correspondante. Doucement, on fait alors un léger mouvement de va -et -vient avec les mains, comme si l’on jouait du bandonéon, de manière à  toujours toucher la balle. Assez rapidement, vous devriez percevoir une sorte de résistance, celle-ci  devenant de plus en plus perceptible au fur et à mesure de l’exercice. La sensation peut être celle de toucher un obstacle, de sentir de la chaleur au creux de la main ou des fourmillements, voire les deux en même temps, de ressentir des vibrations, une impression de souffle, etc. Le mieux, tout au moins au début, est de faire l’exercice les yeux fermés car cela permet d’être coupé du monde extérieur et de se mettre plus à l’écoute des sensations. Lorsque le ressenti est acquis à cet écartement, on augmente, progressivement, l’espacement entre les mains pour le porter, d’abord, entre 20 et 25 centimètres,  puis au-delà, et, ainsi de suite, jusqu’à parvenir à un éloignement maximal.

Ce qui est ressenti dans cette expérience est, en fait, l’énergie provenant des mains.

Si vous vous entraînez régulièrement, vous constaterez que votre ressenti s’améliore et se développe assez rapidement jusqu’ â€˜Ã  devenir une perception instinctive.

Vous pourrez alors passer au ressenti de divers matériaux : métal, plastique, bois, verre, tissu, etc. Vous vous rendrez compte que certains de ceux-ci sont chauds, d’autres froids, d’autres encore tièdes ; en même temps, vous percevrez une sensation soit agréable, soit désagréable, soit neutre.

A ce stade, vous pourrez vous appliquer à ressentir les différentes couleurs.

Et ainsi de suite, le champ des expériences que l’on peut faire sur les perceptions est infini.

Quand on est assez aguerri à ces exercices de base, on devient capable, par exemple, de scanner avec les mains le corps d’une personne pour détecter les zones et les chakras qui dysfonctionnent, les fuites du corps énergétique, etc.

La perception tactile peut aussi remplacer, en radiesthésie, le pendule et, en géobiologie, les baguettes.

Comment fabriquer une eau curative ?

 

Lorsque l'on suit un traitement médical lourd, comme , par exemple, une chimiothérapie, il est particulièrement intéressant de pouvoir, quotidiennement, boire une eau fortement chargée d'énergies cosmiques (comme c'est le cas des eaux provenant des fontaines dites miraculeuses, ou bien des eaux dites archangéliques), de manière à éliminer la pollution médicamenteuse. Le problème est que l'on dispose rarement d'une telle eau.

Le moyen de pallier à cette difficulté est de fabriquer une eau dont la vibration est fortement cosmique. Pour cela, prenez une bouteille champenoise vide et remplissez là d'eau du robinet ; fermez-là ensuite avec un bouchon de liège et traversez celui-ci, en son centre, avec une fine tige en bois pointue (prendre une tige pour brochette dont le diamètre, la longueur et la pointe sont parfaites pour constituer cette antenne), de telle sorte qu'elle trempe dans l'eau sur une hauteur de 3 à 4 centimètres. Au bout d'une heure, l'eau a acquis des propriétés curatives exceptionnelles et elle peut donc être bue, avec grand profit, comme complément à un traitement médical. De même, on peut l'employer pour soigner des végétaux, en particulier les plantes d'appartement.

Attention, il est indispensable d'utiliser une bouteille champenoise et non pas une bouteille quelconque !  Pourquoi ? Je ne vais pas rentrer dans les détails. Simplement, sachez que le goulot d'une bouteille champenoise a une polarité négative, de sorte qu'elle attire les vibrations opposées, c'est-à-dire les positives, et donc les influences cosmiques. En outre, le fond  de la bouteille est, lui, de polarité positive et, par conséquent, il repousse, les rayonnements négatifs, en particulier les telluriques. Ce sont les ondes (émissions) de forme de la bouteille qui lui confèrent des propriétés exploitables pour construire des dispositifs particuliers pour "transcender "une eau.

Ne croyez surtout pas qu'il s'agit d'un gadget ! Je vous conseille de tester honnêtement, sans à priori, une eau curative produite par ce procédé. Vous pouvez même vérifier qu'une telle eau est équilibrée (par exemple, en mesurant son PH qui se situera à, environ, 7).

Tout le monde peut boire cette eau qui est non seulement curative mais aussi préventive en matière de santé (elle améliore l'eau contenue dans le corps humain : dans les muscles, les os, le sang et la lymphe). Et elle est particulièrement recommandée pour atténuer voir supprimer les effets secondaires des médicaments et traitements médicaux. Alors, à vos bouteilles...de champagne (pardon, d'eau) !

Comment s’équilibrer aux énergies cosmo-telluriques simplement et facilement ?

 

Il existe de nombreux enseignements et méthodes pour nettoyer ses corps énergétiques et émotionnels et  recharger son corps énergétique et ceux-ci sont, en général,  efficaces s’ils sont appliqués avec rigueur et répétition. Le problème est que souvent, ils exigent de la discipline, du temps et que leur compréhension n’est pas forcément évidente au profane. Ils requièrent une solide motivation et une constance d’application qui peuvent  décourager.

Pour ceux qui, comme moi, sont un peu paresseux et peu enclins à s’imposer une « gymnastique Â» quotidienne intangible pour revitaliser et équilibrer leurs corps subtils, je vais proposer quelques gestes et recettes simples, d’ailleurs connus, en vous incitant à les adapter en fonction de votre ressenti, de votre intuition et de vos envies. Il est, en effet, à mon sens, primordial de faire cela avec plaisir et non pas de s’assujettir à des mesures jugées nécessaires et utiles…

 

Pour bien commencer la journée…

1-Lorsque l’on se lève, le matin, commençons par remercier le Créateur de nous proposer une nouvelle journée. Regardons le Ciel, qu’il soit d’azur ou qu’il soit chargé de nuages, et voyons en lui la magnificence et le Divin. Saluons- le, comme un compagnon fidèle et précieux et ressentons l’amour si pur qu’il nous procure. N’est-ce pas une attitude simple et pourtant si riche ?

2-Marchons quelques minutes pieds nus, si possible dans l’herbe (dans la rosée ou la neige, c’est un enchantement !), et respirons en conscience, c’est-à-dire avec le sentiment que l’air est chargé de lumière et d’énergie et sentons  celles-ci se déverser en nous. Si nous avons un jardin, un parc ou simplement un coin de nature chez nous ou proche de chez nous, promenons-nous sereinement en observant toute la Nature avec tous nos sens en action : sentons les parfums, admirons les formes, les couleurs et tous les merveilleux ordonnancements, laissons-nous charmer par l’activité du monde animal, y compris par tous ces petits insectes si habiles et si charmants, et ces oiseaux si gais et piaffeurs, examinons ces pierres dont certaines sont si singulières et rayonnantes, allons à la rencontre des arbres si accueillants, repaissons-nous des innombrables fleurs qui offrent une symphonie extraordinaire, touchons tous ces « Ãªtres Â», percevons leur énergie… Donnons à ce moment de détente et de partage un caractère privilégié, je dirai même sacré.

A ce stade, nous avons déjà bien commencé la journée…

 

Et pour que la journée soit magique…

Si nous avons encore un peu de temps, le week-end notamment,, nous pouvons encore prolonger la magie du rééquilibrage.

Pour cela, allons voir un arbre proche de chez nous, ou dans notre jardin, de préférence un arbre bien charpenté et  qui nous « parle Â». Saluons-le courtoisement (Eh oui, c’est un être comme vous et moi et donc qui mérite respect) et demandons- lui la permission de nous recharger d’énergie par son intermédiaire. Lorsque nous sentons que celle-ci nous est accordée, plaçons-nous face à lui et entourons son tronc de nos bras et mains, comme nous le ferions avec une personne pour lui témoigner toute notre affection. Et, LAISSONS-NOUS ALLER totalement, les yeux clos. Restons-ainsi jusqu’à ce que nous sentions le besoin d’arrêter. Pendant cet échange, confions à l’arbre nos soucis, nos émotions, nos attentes en lui demandant de bien vouloir transformer notre « négatif Â» en positif. L’idéal est, en même temps, de visualiser nos « scories Â» descendre, par le tronc de l’arbre, dans ses racines puis de se répandre dans le sous-sol pour y être transformées ; ensuite, en nous centrant sur notre respiration, à chaque inspir, visualisons une colonne de lumière dorée entrant par la cime de l’arbre, descendant dans son tronc, puis bifurquant par notre corps pour le régénérer.

Quand nous cessons cet échange, remercions chaleureusement l’arbre et souhaitons-lui une bonne journée.

Faire cette expérience une fois par semaine est extrêmement bénéfique.

 

Et, si nous avons encore un peu de temps…

L’exercice que je vous propose maintenant a pour objet de rééquilibrer les chakras et il est très aisé à pratiquer. Préalable : le lâcher-prise…

Imaginons que, sous chaque pied se trouve une boule d’énergie.

Commençons par visualiser celle se trouvant sous le pied gauche. Voyons-là se déplacer doucement remontant le long du côté gauche de notre corps : d’abord, le pied, puis la jambe, la cuisse, la hanche, ensuite le ventre, le cÅ“ur, le bras et la tête ; à ce niveau, nous la sentons flotter, puis nous la voyons entamer une redescente par le côté droit jusqu’à atteindre le pied droit.

Nous allons alors refaire un déplacement de la boule d’énergie mais en partant, cette fois-ci, du pied droit pour remonter le long du corps, dans sa partie droite, avant de redescendre , par le côté gauche, pour aboutir au pied gauche.

Cet exercice se pratique les yeux fermés, pour mieux se concentrer. Et, l’idéal, est de le répéter encore deux fois, mais ce n’est pas une obligation.

Visualisons alors l’énergie qui est en nous et qui se déverse autour de nous, dans une sorte de rayonnement resplendissant mais doux et équilibré. Ressentons, en même temps, la chaleur qui se dégage de nous. Examinons cette lueur diffuse qui est devant nous, autour de nous et derrière nous. Si, durant cette « inspection Â», nous nous balançons, n’y prêtons pas attention, veillons simplement à être parfaitement détendu.

Pour ne pas complexifiez les explications, je n’ai pas parlé du contrôle de la respiration durant l’exercice mais  il va de soi que celle-ci doit s’accorder à chaque phase du déplacement de la boule d’énergie : lorsque la boule monte, nous devons être en inspir ; lorsqu’elle descend, nous expirons lentement.

Par ailleurs, et cela se comprend aisément,, cet exercice est à pratiquer très préférentiellement le matin, le plus tôt possible. Mais, là-encore, ce n’est pas une obligation…

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Comment peut-on prétendre résoudre un problème de santé si on n’en connaît pas l’origine ? Le cas d’une infection par Helicobacter pilori.

 

Poser cette question peut sembler absurde puisque tout le monde sait que n’importe quel médecin, avant de prescrire un remède, procède à un diagnostic. Pourtant, il est bien connu que la médecine allopathique soigne, la plupart du temps, les symptômes comme si ceux-ci pouvaient être assimilés aux causes d’une pathologie. Et c’est bien là que le bât blesse !

Je vais vous en donner un exemple en vous relatant le cas d’une jeune fille que j’ai soignée récemment. Celle-ci a pris contact avec moi car elle souffrait d’une infection chronique, depuis environ un an, se traduisant par de fortes douleurs à l’estomac et des nausées quotidiennes ainsi que de fréquents vomissements et des diarrhées épouvantables. Sur le plan médical, on avait diagnostiqué un ulcère gastrique, à la suite d’une gastroscopie avec biopsie qui révéla la présence du bacille Helicobacter pilori. La médecine conventionnelle considère généralement que ce type de problème est consécutif à une contamination orale et elle préconise un traitement aux antibiotiques par trithérapie, durant une dizaine de jours, pour éradiquer l’importun. Notre jeune fille commença ce type de traitement mais dut l’arrêter dès la fin de la 1ère journée car il s’avéra intolérable et violent. Désespérée, elle se mit en quête d’un thérapeute ayant recours à des solutions naturelles et c’est ainsi qu’elle finit par tomber sur moi. Je tiens à préciser qu’elle est très éloignée de mon domicile (plusieurs centaines de kilomètres) et que, par conséquent, mon évaluation et mes soins ne pouvaient se faire qu’à distance.

Je la priai de m’envoyer rapidement un photo qui allait me servir de témoin radiesthésique. Cela me permit d’établir :

-que l’infection et l’inflammation par Helicobacter pilori n’étaient pas la cause de la pathologie mais sa conséquence,

-que l’origine de ce problème était d’ordre émotionnel,

-qu’un stress intense et prolongé était mémorisé et stocké dans les disques vertébraux D6 et D7.

Moyennant quoi, ma stratégie de soins s’est articulée sur 2 points essentiels :

-d’abord mettre un terme à l’infection et l’inflammation : pour cela, j’ai préconisé de boire, jusqu’à résolution du problème, du jus de pommes de terre crues bio, à raison d’un verre le matin et un verre le soir. Pour préparer ce jus, il suffit de peler puis de couper en morceaux les pommes de terre, de les mettre dans un mixer, avec environ 200ml d’eau pour 3 pommes de terre (dose pour une journée), et de les mixer jusqu’à obtention d’une boisson homogène. Partager entre 2 parts égales : une pour le matin, l’autre pour le soir. Si on dispose d’un extracteur de jus, on l’utilise à la place du mixer (c’est mieux !) et, dans ce cas, on ne rajoute pas d’eau. C’est un remède naturel simple et d’une efficacité remarquable. Il résorbe l’excès d’acidité dans le système digestif sans attaquer la flore intestinale.

-ensuite, rechercher les évènements qui ont provoqué des émotions fortement négatives qui sont enkystées dans le corps et qui provoquent des tensions corporelles anormales. Dans le présent cas, en discutant avec la jeune fille, j’ai appris qu’elle avait énormément souffert de la séparation de ses parents, alors qu’elle était très jeune, puis qu’elle avait été violentée à différentes reprises…Pour moi, il y a un trio fondamental à prendre en compte dans l’apparition d’un grand nombre de pathologies : il est constitué du corps physique, du mental et des émotions qui sont intimement liés et dont il importe de comprendre qu’ils ne sont pas l’être que nous sommes mais qu’ils nous guident dans la compréhension de nous-mêmes. Une douleur physique est toujours un message (le « mal a dit ») à décrypter. La colonne vertébrale est un indicateur de premier plan pour orienter les recherches : les dorsales (D1 à D12) renseignent sur les conflits affectifs, les cervicales sur les conflits mentaux et les lombaires sur l’insécurité matérielle et affective. Dans le cas qui nous intéresse, j’ai pu, à distance, comme si j’avais une réponse sensible, en tapotant en marteau sur chaque vertèbre, déterminer une réaction sur D6 et D7 (correspondance avec le diaphragme, l’estomac, le duodénum et le plexus solaire). Pour améliorer rapidement la situation physique et émotionnelle de la jeune fille, je lui ai demandé de consulter un ostéopathe, un étiopathe, un praticien de Shiatsu ou un masseur ayurvédique.

Bien entendu, je lui ai également conseillé de suivre certains conseils, comme, par exemple :

-boire, quotidiennement, de l’eau plate pure : à jeun, une ½ heure avant le petit déjeuner ; puis environ 2 heures plus tard ; une ½ heure avant le repas de midi ; environ 2 heures plus tard ; une ½ heure avant le repas du soir ; juste avant de se coucher. L’une des meilleures eaux est « Mont Rouscous ». Surtout pas d’eau gazeuse, ni minérale. Je ferai ultérieurement un article sur l’eau de consommation car c’est un sujet extrêmement important, largement ignoré dans notre société.

-éviter toutes les autres boissons et, en particulier, le café, le thé, le soda, le jus de fruit, l’alcool, les boissons froides,…

-supprimer les produits lactés et les féculents de l’alimentation.

-manger bio, de préférence végétarien ou vegan.

-éviter les contrariétés…

En outre, j’ai procédé, chaque jour, à des soins à distance dont les effets se sont révélés si efficients que la jeune fille a cru, dans un 1er temps, pouvoir se passer de boire le jus de pommes de terre crues. J’ai du lui expliquer qu’il ne fallait surtout pas faire cette impasse, au risque de récidiver, les soins devant s’entendre comme un tout indissociable.

Dans un cas comme celui que je viens d’exposer, il va de soi que, pour rétablir une santé pérenne, il faut également  se préoccuper et régler définitivement le problème émotionnel qui est à sa source.

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aux titres et paragraphes.

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La qualité de l’eau que l’on consomme : l’un des facteurs prépondérants de la santé

« Le culte de l’eau pure

Fut le premier culte des hommes,

Car c’était celui de la vie et de la santé » (Louis-Claude VINCENT)

Aujourd’hui, de plus en plus de gens s’accordent à penser qu’une alimentation saine, un air pur, des activités physiques régulières et un état d’esprit serein sont les conditions nécessaires pour jouir d’une bonne santé. Sans conteste, il s’agit là de facteurs effectivement influents pour que fonctionne parfaitement et durablement notre organisme. Mais s’ils sont nécessaires, ils ne sont pas suffisants…

Ainsi, il y a, en particulier, un autre élément essentiel à la vie, largement sous-estimé, qui est celui de la qualité de l’eau que nous consommons quotidiennement. Pourtant, c’est vraiment, en dehors de l’air que nous respirons, le plus important.

Je rappelle que notre corps est composé, en poids, de 60 à 70% d’eau, ce qui est considérable. Si l’on prend une personne qui pèse 70kg, cela veut dire que son corps contient environ 42 à 49kg d’eau pour 21 à 28kg de matières solides ! En outre, il faut savoir que, en raison de leur taille, les molécules d’eau représentent plus de 99% des molécules de nos cellules. Ce simple chiffrage permet de comprendre tout de suite pourquoi la qualité de l’eau et des boissons que nous consommons a une importance colossale dans la préservation ou la dégradation de notre santé.

Nos besoins en eau :

Tout d’abord, il est utile de fournir quelques chiffres, pour être fixé sur nos besoins quotidiens en eau, afin d’assurer l’équilibre hydrique de notre corps. Ainsi, nous perdons, chaque jour, entre 2 et 2.5 litres d’eau (dont 1 à 1.5 litre par l’urine et 0.5 litre par transpiration), voire beaucoup plus dans des situations d’efforts intenses, et qu’il faut donc compenser par une hydratation équivalente (2 à 2.5litres/jour) au moyen de l’eau de boisson (1 à 1.5 litre), de l’eau contenue dans les aliments (environ 0.7 à 1 litre) et de celle provenant des opérations des divers métabolismes (environ 0.3 litre).

Les déshydratants :

Avant de parler de la qualité de l’eau, je voudrais attirer l’attention sur la nécessité de s’hydrater suffisamment et régulièrement car cela a une incidence directe sur la concentration en eau des cellules de l’organisme et, par conséquent, sur les fonctions vitales du corps ; ainsi la déshydratation alcalinise le sang, diminue les capacités d’oxydoréduction et augmente sa viscosité. Les risques encourus sont l’accident vasculaire cérébral ou l’infarctus, des calculs rénaux, des infections urinaires, des calculs biliaires, de l’asthme, des allergies, des difficultés d’érection, des douleurs articulaires, de l’arthrose, des fractures du col du fémur pour les personnes âgées, des brûlures d’estomac (voire des ulcères),…Il faut savoir aussi qu’il n’y a pas que le fait de ne pas consommer suffisamment d’eau qui soit à l’origine de la déshydratation. En effet, outre l’exposition excessive à l’ensoleillement, un chauffage trop élevé, une ventilation trop poussée ou encore une maladie entraînant une forte fièvre, de mauvaises habitudes assèchent le corps ; il en est ainsi, notamment, de la consommation de boissons sucrées, telles que les sodas et les cocas , des boissons alcoolisées (apéritifs, vins, bières) , des boissons diurétiques (café, thé, vin blanc, bière), des aliments salés (chips, charcuteries,….), des aliments sucrés (confiseries, pâtisseries,…), du tabac et d’un grand nombre de médicaments (en particulier, les diurétiques, les laxatifs et les antidépresseurs).

L’eau dite « potable »

Il est naïf de croire que l’eau classée comme « potable » peut être bue sans danger à court ou moyen terme. En effet, cette appellation fait référence à des normes totalement inappropriées et très permissives ; en particulier, elles tolèrent la présence d’ une quantité très excessive de résidus secs (jusqu’à 1500mg/L), de nombreux produits toxiques, de micropolluants tels que les médicaments, de traces de métaux lourds et de pesticides et elles agréent des eaux nocives en raison de leur forte alcalinité (pH accepté jusqu’à 9 !) et de leur oxydation. En outre, les eaux d’adduction sont traitées et …maltraitées (filtration, chlore, ozone, aluminium,…) et soumises à une pression sans commune mesure avec celle que connaissent les eaux dans la nature. Et elles sont également polluées par des champs électromagnétiques omniprésents. Ce qui est absolument certain, c’est que ces eaux mortes, polluées et traitées sont délétères et qu’elles ne devraient, en aucun cas, être consommées, que ce soit comme boisson, ou que ce soit dans le cadre de l’alimentation. Il existe de très nombreuses études scientifiques, étayées par des chiffres, pour démontrer ce fait.

Comment évaluer la qualité d’une eau ?

A ma connaissance, pour qu’une eau puisse être bue sans aucun danger, elle doit présenter les caractéristiques physiques et chimiques définies par la technique de la Bioélectronique mise au point par Louis-Claude VINCENT. Je rappelle succinctement les critères de qualité d’une eau selon cette approche :

-La pureté : absence de micro-organismes pathogènes et de produits chimiques toxiques.

-la biocompatibilité qui se caractérise comme répondant aux critères de mesure suivants :

* 5,5 <potentiel acido-basique pH< 6,9

* 23 <facteur d’oxydoréduction rH2< 28

* résistivité rô > 10 000 Ω.cm

* 3 µW <quantification de Vincent< 30 µW

* 10mg/L <résidu sec< 120mg/L

Il faut souligner, car un grand nombre de personnes ne semblent pas le savoir, que l’homme est hétérotrophe, c’est-à-dire qu’il n’a pas la capacité d’assimiler les minéraux en suspension dans un liquide ; par suite, les minéraux présents dans l’eau encrassent et affaiblissent l’organisme. Les minéraux dont notre corps a besoin proviennent exclusivement des fruits et légumes, et non pas de l’eau.

Par ailleurs, conformément aux travaux du biophysicien DENG VINH LUU, il est possible d’évaluer et de caractériser la présence de polymères dans l’eau. Si l’eau contient des trimères, c’est que l’on a affaire à une eau vivante ; si elle renferme des pentamères, alors il s’agit d’une eau morte. Cette caractérisation peut également se faire par radiesthésie en mesurant la fréquence vibratoire de l’eau ou en examinant les couleurs du spectre sur lesquelles elle vibre.

Enfin, il est un aspect plus délicat de l’eau qui permet de révéler tout son potentiel vital par la technique de la cristallisation sensible.

En France, aucune eau du robinet (à ma connaissance) ne répond aux critères précités et, par conséquent, l’eau dite « potable », selon les normes en vigueur, ne devrait pas être consommée.

Que faire pour améliorer l’eau du robinet ?

Pour rendre une eau d’adduction acceptable, il faut faire appel, au moins, à 3 techniques de correction : la filtration, la dynamisation et la revitalisation.

-la filtration :

*soit au moyen de filtres à charbon actif : ce procédé n’assure pas une filtration complète des éléments toxiques, il favorise l’oxydation et nécessite un changement fréquent des filtres.

*soit par l’osmose inverse ; ce dispositif permet d’atteindre un niveau de pureté élevé mais il est plus beaucoup plus onéreux que le précédent.

-la dynamisation et la revitalisation (moyens de restaurer son potentiel) :

Dans la nature, l’eau est en mouvement, elle tourbillonne en s’écoulant et c’est ce qui lui confère une structure particulière et des potentiels exceptionnels. Dès lors qu’elle stagne, elle s’altère et se dévitalise et devient une « eau morte ». C’est pourquoi, en sus de sa filtration, pour la débarrasser de ses résidus secs et de ses produits chimiques, il est nécessaire et indispensable de la restructurer et de la vitaliser. La dynamisation peut s’obtenir de différentes façons : magnétisme, vortex, aimant, quartz, ondes de forme, correcteur d’état fonctionnel C.E.F. ou plaque de Koltsov), contenant de forme ovoïde,…Quant à la vitalisation, il suffit de mettre dans l’eau quelques gouttes de citron ou de vinaigre bio, ou quelques graines germées, ou encore d’y incorporer une infusion de prêle ou d’ortie.

Les eaux dynamisées présentent les propriétés fondamentales suivantes :

-elles sont informées positivement par des radiations électromagnétiques spécifiques (principalement cosmiques) ou des particules minérales précédemment soumises à ce type de radiations (cf. les travaux de VIOLET, PLOCHER, BENVENISTE,…).

-leur ionisation est améliorée, en raison, notamment, de la présence d’ions hydrure leur conférant un fort potentiel réducteur, donc antioxydant.

-elles contiennent peu de minéraux et ceux-ci sont présents sous une forme particulière.

-elles ont la capacité de se dupliquer par simple contact. Ainsi, si l’on dilue 1 volume d’eau dynamisée dans 9 volumes d’eau « ordinaire », que l’on secoue l’eau mélangée obtenue, et qu’on la laisse reposer quelques heures, cette dernière acquiert les mêmes propriétés que l’eau dynamisée de départ.

Notre civilisation actuelle prétend être technologiquement avancée et, pourtant, quand on regarde objectivement la question de l’eau, si essentielle à la Vie, on se rend compte qu’elle est totalement négligée voire ignorée. Alors que si l’on se réfère aux découvertes archéologiques, on apprend que les Romains et les Grecs antiques savaient parfaitement vitaliser l’eau de distribution. En effet, des tuyaux d’eau en terre cuite, datant du 1er siècle avant J.C., comportant, en leur partie interne, des spires, ont été retrouvés ; ces spires permettaient à l’eau de se déplacer en tourbillonnant, pour conserver son énergie initiale (effet Schauberger).

Les eaux de source en bouteille

Il existe quelques très bonnes eaux de source, commercialisées en bouteilles , provenant de terrains granitiques ou volcaniques (Tarn, Ariège, Bretagne, Massif Central et Vosges d’Alsace) :

-Mont Roucous,

-Montcalm,

-Metzeral,

-Monts d’Arée.

Mais ces eaux, excellentes à la source, perdent en qualité dès lors qu’elles sont mises en bouteilles et stockées ; en particulier, elles perdent une partie des informations contenues dans l’eau à sa source, s’oxydent, s’alcalinisent, se minéralisent, et deviennent mortes. Avant de les boire, il faut donc les dynamiser, par exemple en les faisant tourbillonner à l’aide d’une cuillère de bois ou en les versant d’une certaine hauteur dans le verre (à la manière de servir le thé), pour les oxygéner.

Par ailleurs, elles posent un problème important qui est celui de leur contenant. Lorsque l’on ne consomme que de l’eau en bouteilles plastiques, on ingère, en même temps, de l’ordre de 90 000 microfibres de plastiques par an, et ces microfibres circulent dans l’organisme, avec un impact négatif, notamment sur le système digestif, pouvant provoquer des inflammations, des maladies auto-immunes, des plaques d’athérome, etc.

Comme on le voit, rien n’est simple dans notre choix d’une bonne eau !

Les champs électromagnétiques et l’eau

Il est scientifiquement connu (cf., en particulier, les études du biophysicien Philippe VALLEE) que l’eau est particulièrement sensible aux champs électromagnétiques et  qu’elle change, sous leur influence, de structure électromagnétique par une réorganisation moléculaire, tout en restant chimiquement identique. Cependant, cette connaissance semble complètement faire défaut aux responsables nationaux et locaux qui ont en charge la distribution de l’eau. Ainsi, ceux-ci ont laissé installer, sur plus de 10 000 châteaux d’eau, en France, des stations de base de téléphonie mobile, assurant, à coup sûr, la pollution de toute l’eau distribuée, au grand désintéressement de nos dirigeants. Et la situation ne cesse d’empirer.

Pour les eaux en bouteilles plastiques, ce n’est guère mieux , puisqu’elle sont stockées sans prendre en compte cette donnée, et sont donc exposées aux nocivités des ondes environnantes.

Quelques méthodes de purification et de dynamisation de l’eau du robinet

-Le procédé de Friedrich Hacheney :

Le chercheur autrichien Friedrich HACHENEY a conçu un appareil à lévitation d’eau, au moyen d’un rotor ascendant, qui brise les agglomérations moléculaires, supprime les impuretés organiques, vitalise et restructure l’eau.

-L’eau Grander :

Le procédé de l’autrichien Johann GRANDER repose l’utilisation d’aimants pour activer et informer l’eau. L’appareil Grander se présente sous forme d’un boitier que l’on fixe sur les tuyaux d’alimentation en eau ; il fait vibrer l’eau à très hautes fréquences (de l’ordre de 100 000 Hertz), uniquement à l’aide d’aimants, permettant la dissolution des agglomérations moléculaires, la suppression des mémoires de pollution, la restructuration et l’activation de l’eau.

L’eau Grander Wasser se vend également en bouteilles (en verre) et se conserve durant 4 ans.

-Le système Plocher :

L’appareil Plocher comprend un collecteur en forme d’entonnoir qui capte la bioénergie (éther), l’accumule, la densifie comme orgone et transmet celle-ci à un matériau porteur. L’eau est ainsi dynamisée et catalysée.

-Les systèmes Weber :

Les dynamiseurs d’eau à vortex Weber-Isis reproduisent les effets de la Nature en créant des tourbillons permettant à l’eau de se charger en oxygène et de s’auto-nettoyer (en grande partie).

-Le procédé Alvito :

Le vitaliseur Alvito s’adapte sur les conduites d’eau et emploie la technique de l’aimant permanent pour briser les agglutinations moléculaires et détruire la mémoire négative de l’eau et incorpore de l’argile verte informée pour générer un champ bioénergétique. Il peut s’employer conjointement avec un filtre à charbon actif.

-La dynamisation de l’eau à l’aide de fibre de verre traitée aux tachyons :

Ce procédé, très simple à mettre en œuvre, puisqu’il s’agit d’enrouler, sur au moins 60 cm de long, de la fibre de verre traitée aux tachyons autour de la conduite d’eau froide principale de votre habitation et de la fixer avec un émulsifiant. Personnellement, je n’ai pas trouvé de fabricant commercialisant ce produit, en particulier la société germano-suisse ABEIEZ, sensée le vendre. Si un lecteur peut m’en fournir les coordonnées, qu’il veuille bien me contacter.

-L’appareil élovie :

Inventé par le Français Jean-Philippe CARRERE, ancien Maître électricien, l’appareil élovie est un dispositif de traitement de l’eau du robinet pour la purifier , la débarrasser de sa pollution électromagnétique et la dynamiser..

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